MFT PPS Dimanche Saône-et-Loire -24 novembre 1995 MYSTÈRE Le courrier le Progee's 5 MAG SAÔNE-ET-LOIRE Implants extraterrestres Une preuve directe des enlèvements? (1) Tous les congrès ufologiques de cette année - Sheffield, San Marin, Greensboro, Lyon... ont donné la part belle à cette annonce stupé- fiante: des opérations chi- rurgicales, menées sur des victimes alléguées de rapts E.T. (on les appelle les ab- ductés), auraient enfin enté- riné le caractère objectif de ces kidnappings... « Le 19 août 1995, dans mon cabi- net de Camarillo, Californie, j'ai pro- cédé à deux interventions chirurgi- cales gratuites qui m'ont permis de récupérer, sur une femme et un homme, trois «objets» peut-être des- tinés à transmettre des messages di- rectement au cerveau». Ainsi s'expri- mait le Dr Roger K. Leir, devant une assistance d'ufologues britanniques médusés. Et de fournir des détails. Les interventions «Les patients, persuadés d'avoir été les victimes d'extraterrestres qui leur ont enfoui sous la peau quelque chose visant à contrôler leur compor- tement, étaient localement anesthé- siés, l'une au gros orteil gauche et l'autre à la main. En plus, ils étaient sous l'influence d'une hypnotiseur . qualifié, Derrel Sims, de Houston, Texas. «Les corps étrangers avaient été si- tués aux rayons X et caractérisés comme hautement magnétiques à l'aide d'un gaussmètre. Cela me per- mit rapidement de les atteindre au scalpel. «Quand je tentai de les extraire, les patients sursautèrent vivement comme si les objets étaient directe- ment connectés à leur système ner- veux. La première intervention dura une heure et la seconde un peu moins. Tout se passa sans pro- blème.>> La forme des implants Le premier objet récupéré était en forme d'étoile de cm sur cm; le second de la taille d'une graine de cantaloup en possédait aussi la forme; le troisième était presque identique au deuxième. Tous étaient recouverts d'une mem- brane très dure, inattaquable au scal- pel, ressemblant assez à de la céra- mique (on a parlé aussi de kératine, ce qui n'est pas tout à fait la même chose). Aucune cicatrice n'était là pour témoigner de leur introduction dans le corps des «abductés». Sous lumière ultraviolette, les «