L'ARDENNais 16-10-1956 ? La 'chronique des soucoupes" 1 ite NIMES. " ta ocenuère page Plusieurs chasseurs de la commune de Saint-Ambroix (Gard), auraient récemment aperçu sept êtres minuscules dont la forme rappelait vaguement celle d'un corps humain. Lorsqu'ils tentèrent d'appro cher les êtres se précipitèrent vers un engin phosphorescent, qui s'en- vola aussitôt. n'y porte, le scaphandrier. Je je l'ai vu comme je vous vois. Cela croyais pas, ajouta M. Perano, mais fait un sacré choc ». Après un temps très court environ une minute, le scaphandrier regagna la sphère lumineuse qui s'envola à la verticale, sans bruit et disparut dans le ciel à une vitesse prodigieuse en laissant un sillage de feu. Ilier matin des ont été relevées en plusieurs endroits traces huileuses sur le terrain vague. La police de l'air a interrogé les trois témoins qui ont maintenu leur déclaration en précisant que le mys- térieux individu, mesurant environ 1 m. 20 dépassait l'engin de la tête. et devait, par conséquent, se courber pour y pénétrer. A l'emplacement où se trouvaient les pilotes de la soucoupe volante, les chasseurs découvrirent sur le sol un certain nombre de graines d'as- pect bizarre, qu'ils firent examiner par des grainetiers. Ceux-ci se trou- vérent dans l'impossibilité de les classer dans une espèce connue. MONTLUCON. Un employé de la gare de Montluçon, M. Lau L'un des témoins a assuré que Ja gère affirme avoir pris contact, di-soucoupe était entourée de reflets manche soir, avec un mystérieux in- irisés et émettait autour d'elle un lé dividu sorti d'un appareil en forme ger brouillard. Il a ajouté qu'ayant de torpille. tenu à une vingtaine de mètres par voulu s'approcher, il avait été re- une force paralysante et que, lors- que l'engin s'est élevé dans le ciel, il a été violemment jeté à terre. M. Laugère quittait son travail et traversait les voies à proximité du pont de la S.N.C.F. lorsqu'il vit un engin métallique posé à peu de distance d'un réservoir de gasoil des- tiné à l'alimentation des autorails. A côté de l'appareil qui avait la for- me d'une torpille et pouvait avoir quatre mètres, se trouvait un hom- me tout couvert de poils, à moins qu'il ne fut vêtu d'un manteau à poil un peu long. M. Laugère, sur. pris, lui demanda ce qu'il faisait L'inconnu lui répondit en termes inintelligibles mais le cheminot sem- bla cependant distinguer les mots Cas-Oil ». M. Laugère ne lui en demanda pas davantage et s'en alla alerter ses camarades. A peine avait-il fait cent mètres, qu'il vit l'appareil s'éle- ver à la verticale sans aucun bruit. Il disparut bientôt à ses yeux. Seule la crainte de l'ironie de ses cama- rades l'avait empéché, jusqu' pré- sent, de conter son aventure. TOULOUSE. Un scaphandrier de petite taille avec une téte grosse par rapport au corps, deux yeux Enormes, telle est la description que vient de faire un Toulousain, M. Olivier, d'un mystérieux personnage, descendu d'un engin sphérique qui venait de se poser à 19 h. 35 sur un terrain vague. M. Olivier, propriétaire des éta- blissements Javel Neto, rue des Fon- taines à Toulouse, était accompagné d'un employé M. Perano et d'un jeune garçon d'une quinzaine d'an- nées. Tous trois virent se poser l'engin lumineux, de forme spliérique et de couleur rougeâtre, puis aperçurent venir vers eux le personnage dont le scaphandre, aux dires des témoins brillait comine du verre. Par la suite, M. Olivier, ancien pi- lote d'aviation, dessina à la craie, d'une manière saisissante, sur une S