« L'affaire de Chabeuil >>> En septembre 1954, une femme avait été traumatisée à la suite d'une «< Rencontre du 3º type » L'année 1954 avait été fertile en observations d'Objets Volants Non Identifiés en tous genres. Dans le ciel, au sol, les témoignages avaient été particulièrement nombreux et l'éventail professionnel était extrêmement large, de même que l'éventail géographique de ces apparitions insolites. << C'était dimanche. M. et Mme Lebœuf qui demeurant à Valence étaient venus passer la journée à Chabeuil, chez le grand-père de Mme Lebœuf (1). << Le repas terminé, Mme Le- bœuf partait vers 14 h 30, en compagnie de sa chienne Dolly, pour ramasser des champignons, dans le bois situé à proximité du château, non loin du cimetière. Son mari la suivait. Il se trouvait à une centaine de mètres d'elle lorsque l'événement s'est produit. << Mme Lebœuf ceuillait des mûres dans un buisson pro- che de la route lorsque tout à coup sa chienne se met à aboyer puis à hurler d'une façon lugubre >>. UN PETIT ÊTRE EN SCAPHANDRE « Elle se retourne et aperçoit l'animal arrêté à la limite d'un champ. Derrière lui, se dresse une silhouette que Mme Lebœuf prend d'abord pour un épouvan- tail à moineaux. << Mais en faisant quelques pas pour se rapprocher de l'« épou- vantail », elle réalise sa méprise : il s'agissait en réalité d'un petit scaphandre en matière plastique translucide mesurant à peu près un mètre de haut et dont la << tête » est également transluci- de. a « Rapidement elle constate qu'il y « quelque chose >> dans le scaphandre et que, derrière la paroi du casque, deux yeux la regardent. Deux yeux qui parais- sent plus grands que ceux d'un humain. A Chabeuil, localité située à une dizaine de kilomètres au Sud-Est de Valence (Drôme), une femme qui était allée ramasser des champignons devait faire, le 26 septembre 1954, une rencontre dont elle se serait sans doute fort bien passée que la malheureuse a été traumatisée à la suite de cette affaire qui avait, en son temps, fait grand bruit. « Presque immédiatement, l'é- trange créature s'avance vers elle, d'un pas chancelant mais rapide. En voyant la « chose >> s'approcher, Mme Lebœuf que la surprise a clouée sur place est prise de panique. Elle pousse un cri de terreur, fait demi-tour et se précipite dans les buissons tout proches pour s'y dissimuler. « Lorsqu'elle se retourne, il n'y a plus rien. << Pendant ce temps, la chienne n'a pas cessé de hurler lugubre- ment tandis que les chiens du voisinage lui faisaient écho >>. UN ENGIN CIRCULAIRE... « Soudain, un objet métallique et plat, de forme circulaire, surgit du milieu des arbres, à une faible distance de l'endroit où Mme Lebœuf s'était réfugiée. Il passe à une très faible distance au-des- sus du champ de maïs et s'éloi- gne, à une allure réduite, en faisant entendre un léger siffle- ment. Ayant traversé le champ, il prend de l'altitude, se balance pendant un court instant tout en continuant à s'élever dans les airs, puis il démarre à une vitesse inimaginable, en direction du Nord-Est où il disparait. « Attiré par les hurlements de la petite chienne, le cri de terreur poussé par sa femme et l'étrange sifflement émis par l'appareil, M. Lebœuf accourt. Les personnes qui se trouvaient dans les envi- rons et qui ont tout entendu, arrivent elles-aussi. « Peu à peu les chiens cessent leurs aboiements et toute la population des environs est ré- unie sur le lieu de l'événement >>. DES TRACES D'ATTERRISSAGE « A l'endroit d'où le mystérieux engin s'était envolé, on découvre alors un emplacement de forme circulaire d'environ 3,50 mètres de diamètre, à l'intérieur duquel les arbustes et les broussailles sont écrasés. Cette zone était entourée d'acacias. Sur l'un d'eux, une branche de 8 centimè- tres de diamètre, ne tenant plus au tronc, que par quelques fibres, a été cassée par une pression exercée de haut en bas. << Sur un autre arbre, une branche située à 2,50 mètres du sol, au-dessus de l'emplacement cir- culaire « d'atterrissage >> est complètement dépouillée de ses feuilles. « Enfin, les premières rangées d'épis de maïs, les plus voisines du point de décollage de l'engin, sont couchées sur le sol. << Tous ceux qui sont accourus pour porter secours à Mme Lebœuf, la trouvent en proie à une très vive émotion. Elle devra d'ailleurs s'aliter pendant deux jours avec une forte fièvre et la commotion a provoqué chez la malheureuse, des troubles typi- quement féminins. << Enfin, durant les trois jours qui suivirent cette étrange affaire, la petite chienne Dolly devait de- meurer très craintive et se com- porter bizarrement >>. X X X (1) D'après l'ouvrage d'A. Ribera, <<< Ces mystérieux O.V.N.I., jusqu'à présent ils ont épiés, mais de- main? » paru aux Editions De Vecchi. nous ECRIVEZ-NOUS LES ASSOCIATIONS Un jour, peut-être avez-vous eu l'occasion d'observer un phénomène étrange, dans le ciel ou... au sol. Il est possible également que des parents ou des amis vous aient raconté une avenue insolite ou une observation curieuse. Nous vous demandons de nous en faire part, soit en écrivant Jean Leclaire, « Vaucluse Matin Dauphiné Libéré », 4, rue de la République, 84000 Avignon, ou en nous téléphonant pour nous donner les indications nécessaires (82.32.80.). Veuillez préciser si vous désirez garder l'anony- mat. Ainsi, nous pourrions faire profiter nos lecteurs de vos témoignages. D'avance, nous vous remercions de cette collabo- ration à notre rubrique. Le G.R.E.P.O. (Groupement de recherches et d'études du phénomène O.V.N.I.) assurera une permanence de 15 à 19 heures, chez M. Camille Ferrier, 18, rue Paul-Cézanne, Cédex 9, 84130 Morières-les-Avignon, tél. 31.26.17. En cas d'observation dans le Nord-Vaucluse, vous pouvez vous adresser à M. Jean-Jacques Mon- toya, impasse de la Lavande, 84100 Orange, tél. 34.59.10. Enfin, le groupe V.E.R.O.N.I.C.A. est installé, 1, rue Vauban, 30000 Nîmes, tél. 16. (66) 21.44.78.