e S a- a- confédération générale de l'Agricu Dossiers insolites Une rubrique animée par Jean Leclaire P le S à ΟΙ est our Un Sorguais de 47 ans, M. Pierre Monnet qui se dit a Se ne la ha- V eu- ure 57 été in- ne uc a- le nt té t 6. e e a e S r r u e et é e << contacté par les extra-terrestres », répondra samedi soir, aux questions de Philippe Bouvard, dans l'émission << sur la sellette >> Agé de 47 ans, M. Pierre Monnet est gardien d'usine. Il est père de trois enfants et demeure à Sorgues. Jusque là rien ne le différen- cie du français moyen dont il a le physique. Mais M. Monnet n'est pas tout à fait un homme « comme les autres ». Il affirme avoir été « contacté iar les extra-terres- tres », il y a quelques années, tout près d'Orange. I ne nous appartient pas d'apprécier si ses déclarations sont farfelues ou font peu ou prou partie du domaine du pos- sible. Nous avons rencontré néan- moins M. Monnet, nous l'avons interrogé, voici ce qu'il nous a raconté : « UN ENGIN DE 25 METRES DE DIAMETRE >>> « C'était en juillet 1951, la nuit était sans lune, je venais de passer la soirée en compagnie de ma fiancée à Courthézon, et je regagnais Orange, où j'habi- tais avec ma mère, à bicy- clette ». (1) « J'avais quitté Courthézon à 1 h 30 du matin. Je me trouvais soudain transporté 5 kilomètres plus loin, à environ un ou deux kilomètres d'Orange. Sans sa- voir pourquoi je bifurquais, sur la droite et m'éloignais dans un petit chemin conduisant à une clairière de laquelle émanait une clarté ». Celle-ci provenait d'un étrange engin en forme de dis- que, rappelant un casque an- glais, d'environ 25 mètres de diamètre. Il semblait métallique et d'une couleur blanc-arnt, entouré d'un halo bleuté avec des pulsations lentes. Il se trou- vait immobile à moins d'un mètre du sol ». « J'étais fasciné. Tout celà me paraissait à la fois beau et inquiètant. C'est alors que j'aperçu sur la droite quatre êtres humains, de grande taille (Plus de 1m85). Ils portaient des combinaisons métalliques, avaient des épaules larges et des visages très fins encadrés par des cheveux blonds ». Tout en approchant d'eux, je n'entendais plus les bruits extérieurs (la R.N. 7 très fré- quentée était pourtant toute pro- che, les grillons chantaient pour- tant, et le bruit de mes pas était étouffé. Je ressentais quelque chose de pas ordinaire. « Je n'étais plus qu'à trois mètres d'eux. Ils souriaient puis ils ont levé la main droite, paume tournée vers le ciel et se sont adressés à moi. Pas en me parlant véritablement, mais, je pense, en m'envoyant des im- pulsions télépathiques. « Ils ont cherché à me cal- mer. « Nous sentons de la crainte, en toi, m' nt-ils fait compren- dre, qu'elle te quitte. Nous vou- lons le bien de tout être humain à condition qu'il ne soit pas agressif. Mais ne t'approches pas du vaisseau, les vibrations qu'il émet peuvent détruire les cellules de ton corps >> LE TEMPS A SUSPENDU SON VOL... «Nous ne sommes pas des envahisseurs écris, parle et fais savoir qui nous sommes, ce que nous sommes ! « D'ailleurs nous allons regé- nérer tes cellules pour que tu vives 120 ans !(2) «Puis je les quittais et je repartais sur ma bicyclette. J'ar- rivais à Orange. L'horloge indi- quait 1 h 35. C'est-à-dire que depuis mon départ de Coeurthe- zon, mon arrêt à la clairière qui avait duré environ 20 minutes, et le moment où j'avais repris ma progression à bicyclette, le temps s'était arrêté ! Mais il avait repris sa marche pour la courte distance séparant la clai- rière, de l'agglomération d'Orange. « Complètement éberlué, je décidais d'en avoir le cœur net et je repartais, toujours à bicy- clette, jusqu'à Courthézon où j'arrivais vers 2 heures. Puis- qu'il faut habituellement une vingtaine de minutes pour ac- complir ce trajet. Ma montre et les horloges ne mentaient pas : le temps s'était bien arrêté pen- dant largement 20 minutes (3). « Je suis enfin revenu à Orange où je me suis touché me demandant si j'avais rêvé ou pas. D'ailleurs, depuis cette pé- riode j'ai eu des insomnies. «Mais, craignant de passer pour un fou, je n'ai parlé à personne de mon étrange aven- ture. Ce n'est qu'en 1962, alors que j'étais marié que j'en ai parlé à un repas de famille. Personne ne m'a cru. Et jus- qu'en 1974, je ne suis jamais revenu sur les lieux.. « Pourtant, depuis, j'ai eu avec eux des contacts télépathi- ques. Ils m'ont expliqué que la Terre, avec ses charges nucléai- res, représentaient un potentiel négatif pour les systèmes solai- res voisins. Ils ont, parait-il, tenté d'entrer en rapport avec des gouvernements mais sans succès. « Selon eux, je suis pas seul à avoir été contacté », plus de 300 000 personnes l'ont été dans le monde, mais beaucoup n'osent pas en parler, par peur du ridicule. « Ainsi, lorsque je me trouve tranquille, au calme, chez moi, je reçois des messages télépathi- ques. J'ai appris des informa- tions sur la composition des vaisseaux des extra-terrestres. Ils sont constitués par un alliage de métal très léger auquel on a ajouté de la silice et peuvent, sous l'effet d'impulsions magné- tiques, devenir transparents. Et même, être traversés par l'homme. « Propulsés par l'énergie ato- mique et magnétique, ils sont capables de translation dans le temps et évoluent dans l'espace à une vitesse six fois supérieure à celle de la lumière » « BASES AUX LIMITES DU SYSTEME SOLAIRE » «Ils viennent depuis leurs vaisseaux-mères qui se trouvent aux abords de notre système solaire. Ceux-ci, au nombre de deux cents, sont immenses: plusieurs kilomètres de long sur plusieurs centaines de mètres de large. « Chacun de ces vaisseaux contient 3500 disques d'explo- ration: ce sont ceux que nous voyons arriver de la Terre. Ils sont basés à proximité de Sa- turne, de Jupiter et sur l'un des satellites de Vénus. Mais ils ont également des bases sur notre Terre. Elles sont camouflées par des rideaux magnétiques qui transforment les molécules d'air en prisme et personne ne peut les voir. Dans d'autres cas, les promeneurs qui seraient tentés de s'approcher de ces bases, sont invités, par impulsions télé- pathiques, à changer de direc- tion, sans qu'ils puissent s'en apercevoir.... » Tout cela est bien étrange. Y-a-t-il une part de vérité ?. Nous ne pouvons, bien entendu, pas le contrôler. Mais en tout cas si vous voulez poursuivre votre information en forme de rêve, nous vous invitons à assis- ter samedi à 22 h 15, sur Antenne 2, à l'émission « Sur la sellette ». Vous verrez M. Pierre Mon- net, répondre aux questions de Philippe Bouvard. Cela pourra toujours vous permettre de confirmer votre opinion, dans un sens ou dans l'autre, sur un sujet particulièrement Insolite ! (4). 0 0 0 (1). Hélas, M. Monnet a ou- blié la daté, mais à cette époque nous a-t-il précisé, j'étais sur le point de me marier et je ne voulais pas que ma future épouse et ma belle-famille puis- sent me prendre pour un fou. D'ailleurs aujourd'hui, ils ne croient toujours pas mon his- toire. (2). Le rendez-vous est pris pour l'an 2051. A moins que d'ici là le monde médical ait réussi a examiner M. Monnet pour déterminer l'état de ses cellules. (3) Cela n'est pas sans rappe- ler l'étrange affaire survenue au Chili au caporal Valdes, dont Jean-Claude Bourret parle lon- guement dans son dernier livre : «La science face aux Extra- terrestres ». (4) M. Monnet vient de pu- blier un livre aux Editions Alain Lefeuvre à Nice sous le titre : Les Extra-terrestres m'ont dit... ». Un titre qui est à lui seul, tout un programme. of e n u La vie n le n des associations es ur ar es re re ui $1 e a a a e S n S Chaque mercredi Les permanences du G.R.E.P.O. seront assurées tous les jours de 15 à 19 heures chez M. Camille Ferrier, 18, rue Paul-Cézanne, Cédex 9, Morières-les-Avignon 84130 tél. 31.26.17. En outre, en cas d'observations dans le Nord Vaucluse, vous êtes priés de téléphoner dans les meilleurs délais, aux numéros suivants : M. Jean-Jacques Montoya, impasse de la Lavande, 84101 Orange, téléphone personnel 34.59.10 ou le 16.66. 89.50.36. (professionnel). M. Georges Murzilli 23 115 Base Aérienne 115, tél. 34.04.00. Postes 26-26 ou 23.17 ou 24-10. Rappelons que la S.O.V.E.P.S. (Société Vauclusienne d'étude des phénomènes spatiaux) organise chaque dernier samedi du mois une réunion d'information pour les personnes que le phénomène O.V.N.I. intéresse. Cette réunion a lieu à 21 heures dans la salle du Centre social du Pontet adresse de la S.O.V.E.P.S. chez M. Tralongo, 2, place de l'Eglise, 84300 Le Pontet. Le groupe Ouranos représenté dans le Sud-Lubéron par M. Yves d'Onani, quartier Saint-Martin 84120 Pertuis, tél. 79.03.20. Enfin voici l'adresse du groupe Veronica 1, rue Vauban, 30000 Nimes. Chaque mercredi la rubrique « Dossiers insolites » est publiée dans nos colonnes. Echos, enquêtes, reportages, lettres de lecteurs, vie des associations, annonce des conférences sur les O.V.N.I. où sont rassemblés de façon à constituer un véritable dossier hebdomadaire ces phénomènes souvent inexpliqués. Ecrivez-nous Si vous-mêmes, des membres de votre famille, des amis, avez été un jour témoin d'un phénomène étrange, dites-le nous. Ecrivez- nous ou téléphonez au journal. Si vous le demandez, votre anonymat sera scrupuleusement respecté. Mais précisez si possible votre identité et votre adresse pour nous permettre de prendre votre témoignage en considération. Et si vous pouvez accompagner votre récit d'un schéma, il sera très favorablement accueilli.. Merci d'avance, adressez-vous à Jean Leclaire, «Vaucluse Matin Dauphiné libéré » 4, rue de la République, 84000 Avignon, tél. 82.32.80. 17.1.89 la d d Ce c d M