1 MILLION 265.000 AF GAGNÉ grâce au prono le meilleur du MEILLEUR JOURNAL-ANNEE Dir. A. AYACHE N° 350 Du 14 au 20 mai 1978 2 F 20 FB ⚫ 1,80 FS LES "POTS DE VIN" A LA TELE Les accusations d'une chanteuse célèbre W par VOIR DERNIÈRE PAGE JEUDI ! La caresse préférée des femmes L'aveu de Raquel Welch DEUX ASTRONAUTES SUIVIS dex SOUCOUPES VOLANTES La terreur fiscale en Suède PIRE QU'EN FRANCE Ce que les Américains n'ont pas révélé pour ne pas affoler l'opinion publique Le Meilleur est le seul à pourvol vous le dire il s'est passé de bien étranges cho ses au cours du vol d'Apollo XV, a destina- tion de la lune, Worden (à gauche) et Irwin ( droite) en ant sécrète- ment témoigné. LE SECRET DE LA C.I.A EXCLUSIF LES ASTRO SUIVIS PAR UN DOCUMENT TOP SECRET LA C.I.A. POUR NE Von Braun ! Or, ce rapport Ce que le « Meilleur vous révèle aujourd'hui techniciens de Werner est pratiquement la violation d'un secret d'Etat. Lors- que le 2 août 1971, Scott et Irwin,, se posent sur la lune, Worden reste seul aux commandes de la cabine spatiale. Et, pendant vingt secondes, ce fut un drame hors série que vécurent, d'abord les astronautes, mais aussi tous les techniciens de la N.A.S.A. à Houston qui restèrent, d'une manière incompréhensible, cou- pés de toute communication. A l'époque, ce si- lence avait suscité dans l'ensemble de la presse du monde en- tier, des multitudes de questions qui reste- rent naturellement sans réponses. On tourne la page Tout le monde sourit. Diable ! Depuis le temps qu'on en parle des extra-terrestres, et que personne, vrai- ment au dessus de tout soupçon, ne peut sourit. Aujourd'hui, grâce en témoigner, on en à une indiscrétion du « Sommet »>, on est en mesure d'affirmer qu'au moment de son alunissage, la Worden lui-même, a révélé, lors d'une com- parution ultra-secrète à laquelle assistaient, dit-on, deux person- nes (dont le patron de la CIA. en personne) qu'il avait été suivi pendant plus de dix m.nutes par ce qu'il Coupé du monde cabine spatiale amé- pendant dix minutes ricaine a été suivie, escortée, à quelques centaines de mètres seulement, par deux soucoupes volantes ! Et pour confirmer la véracité de ces faits qui peuvent paraître exagérés, sinon ex- traordinaires, il y a dans le rapport du colonel Doulay, qui fut un responsable im- portant de la C.I.A., ⚫ des faits tellement pré- cis et tellement impor- tan's qu'ils n'ont ja- mais été rendus pu- blics, afin de ne pas affoler l'opinion publi- que. DES DETAILS PRECIS Lorsque un gendar- me déclare, même so- lennellement, avoir vu un O.V.N.I., la presse quotidienne en fait dix lignes dans sa page des informations gé- nérales ! Le commandant de la mission Appollo XV, David Scott Cela ressemble un peu au fameux mons- tre du loch Ness ! Si un instituteur ou plusieurs personnes, se rendent à la gen- darmerie pour donner des détails précis sur une soucoupe volante qu'ils ont vue se po- Mais dans le rap- ser, on fait un rapport et, selon la richesse port du Colonel Dou- ou la pauvreté des in- formations, la presse une colonne ou deux lay de la C.I.A., il y a des faits autre- accorde à ces faits, ment plus impor- colonnes. Pas plus. tants et crédibles ! appelle des soucou- pes volantes ». Il a affirmé les avoir vues Et c'est pendant ces dix minutes que Wor- den, aux commandes existe. Il est ce qu'il y a de plus officiel. Et si personne dans la presse, ni à la radio, ni à la télé, n'en n'a jamais parlé, c'est que la C.I.A responsable de la sécurité en Amé- rique, avait reçu la consigne formelle de Nixon en personne de ne jamais en parler. Tout simplement pour ne pas créer un sentiment de panique dans l'opinion publi- que ! Car on peut facile- ment imaginer le trou- ble qu'aurait jeté une déclaration de Wor- den, un astronaute équilibré, parfaitement qualifié pour distin- guer un objet à proxi- mité de la lune. A " Tout le monde aurait su qu'existaient ces objets non identi- fiés et tout le monde aurait voulu savoir à qui ils appartenaient, qui les pilotaient, s'il y avait un danger, bref une foule d'interroga- tions, qui seraient res- tées forcément sans réponse, auraient jeté le trouble dans l'opi- nion publique. Or, il faut se ren- dre à l'évidence: ces soucoupes volantes existent, et elles n'ap- partiennent pas aux Américains! C'est la seule cer- titude actuelle. BROUILLAGE TOTAL Le rapport du co- lonel de la C.I.A. n'est pas connu dans son intégralité, loin s'en faut. Ce que nous pu- blions n'est qu'une in- fime partie de ce dos- sier dont aucun jour- nal n'a eu connais- sance. Il a fallu un concours de circonstances tout à fait fantastique, pour que la fuite dont nous faisons état soit par- venue jusqu'à nous. Disons, pour ne pas mettre en cause no- tre informateur, qu'il de son vaisseau, a été avait de bonnes rai- coupé du monde, a été coupé de Houston, ou seconde par seconde il était suivi par les sons d'être très - in- formé Comment? Top secret | Le 14 août 1971, LE MEILLEUR NAUTES AMÉRICAINS ONT ÉTÉ DES SOUCOUPES! REFUSE DE LE RÉVÉLER Les 'fanas' du porno LES FRANÇAIS QUI NE PENSENT PAS AFFOLER LE PUBLIC QUA CA! dans le numéro 33 du Meilleur ", nous étions alors les seuls de la presse française à faire état de l'étrange message capté par Worden sur la lune, et Robert Charroux, dans livre qui connut grand succès, tenta en reprenant nos révéla- tions d'en donner une explication plausi- ble un un Voici les faits, afin de vous les remettre en mémoire : depuis six minutes, Worden tentait, en vain de rétablir la communica- tion avec Houston. Mais le brouillage était total et il avait perdu le contact avec la base. La panne, qu'il croyait avoir locali- sur la bande magné- tique à bord de la ca- bine. Il pourrait donc l'écouter à son retour sur la terre. Quelques minutes plus tard, L'astronaute Irwin près de la jeep lunaire soucoupes volantes I comme c'est l'ha-êtres qui pilotent les bitude - pris en main par les ser- vices de santé. Mais Worden, qui Les Américains ont développé leurs servi- ces d'études sur ce sée, se transforma après le trou d'une di- avait vu les soucoupes qu'ils appellent en- un brutalement en long sifflement. Son récepteur était tout simplement en train de capter des sons, dont l'origine était impossible à définir. C'est alors qu'un fait extravagant se produisit. Des murmu- res étouffés se répan- dirent dans la cabine, provenant du haut-par- zaine de minutes, le contact se remit com- me par miracle, en marche. La voix de Jo Allen, charge du con- tact avec les astro- nautes, l'appareil. éclata dans Tout le monde à la Nasa lui demanda ce qui venait de se pro- duire. Worden se contenta de leur basculer volantes escorter c'est son mot la cabine spatiale, fut in- terrogé de longues heures. De son audition, rien ne transpira. Le message ne fut Jamais traduit, et, par conséquent, ne fut ja- mais rendu public. Mais, il faut se sou- venir de ce qu'avait déclaré, trois mois plus tôt, avant ce vol, core, avec une cer- taine ironie, les ob- jets volants non iden- tifiés. Ce qui reste non identifié, ce sont ces êtres qui envoient ces soucoupes dans l'es- pace et ceux qui les pilotent. Qu'un astronaute ait vu, à proximité de la lune, deux soucou- pes lui tenir compa- tent, par des moyens que nous ne tradui- sons pas, d'entrer en contact avec nous, les Terriens. DES FAITS NOUVEAUX Tant qu'aucun docu- ment officiel ne sera pas rendu public, l'homme de la rue, qu'il habite New York, Paris, Rome ou Mos- COU, continuera à prendre les histoires de soucoupes... pour quelque vague histoire de science fiction. Pourtant les respon- sables de la C.I.A. le savent, Worden le Le mystérieux message des extra-terrestres: existent la les ont vingt "mots" inconnus des hommes ! à leur. C'était une sorte de modulation inintel- ligible, des mots peine prononcés, dans une langue inconnue et indéchiffrable pour un cerveau humain... Et à plus forte raison, pour un ordinateur ! son Worden était calme, mais dans sa poitrine, il l'avoua plus tard, cœur battait la chamade... Ce n'était pas l'émotion, mais la peur devant quelque chose d'insolite. venait d'entendre une voix et ce n'était pas celle de l'un de ses supérieurs de la Nasa ! 11 ponsable des vols vers la lune, Werner Von Braun Je sais que les hommes de notre terre parleront avec d'autres hommes... Mais il faut être poète le message qu'il avait | le grand savant res- enregistré. Ce fut à la base, le branle-bas de combat, pour décoder ces 20 mots mysté- rieux. Des sons, des mots, mais des sons et des mots vraiment inconnus. Le mystère s'épaississait. Le len- demain, quelques ra- dios faisaient état de cette coupure à bord, et de ce mes- sage incompréhensi- ble. Mais dans le flot des informations, cette anecdote > passa totalement inaperçue. Excepté du Meil- leur 1 Or, dès leur retour gnie, ne relève pas de l'hallucination. Des hommes comme Scott, Irwin et Worden ont des nerfs d'acier. Leur témoi- gnage est la preuve in- contestable qu'il y a EN 1971. vues. Et leurs pilotes ont tenté de leur par- ler. Mais peut-on raison- nablement reprocher aux Américains de taire l'un des plus grands, sinon le plus grand secret de notre ère, s'ils sont incapa- bles d'apporter une explication ration- nelle ? Voilà les faits. Troublants et qui nous laissent, nous le reconnaissons, sur notre faim. Un jour, peut-être, à force d'indiscrétions, ou de pour me comprendre, | quelque part sur no- faits nouveaux, la et Einstein n'est plus tre planète, à moins de ce monde. - que ce soit ailleurs, lumière se fera-t-elle des êtres humains qui sur ces soucoupes nous observent pa- volantes qui nous es- cifiquement l'instant. Ou qui ten- pionnent! sans En fait, Von Braun détenait déjà doute une partie des sur les informations La phrase, que ses >. sur la terre, Worden, oreilles avaient cap- tée, était enregistrée Scott et Irwin furent Pour ■OUT le monde est unanime pour affirmer que le porno est mort en France. Et pourtant, si les curieux ne sont plus des acheteurs ni des specta- teurs en puissance, l'érotisme en tout genre a gardé in- tact son potentiel de clients qui ne pen- sent qu'à çal Il nous a paru in- téressant de recen- ser les pornogra- phes par catégories- socio à un -profession- nelles. Pour arriver tel résultat, nous sommes allé interroger des met- teurs en scène co- chons », des édi- teurs d'ouvrages très spéciaux, des directeurs de théâ- tres pornographi- ques (dont M. Pérez, qui dirige le fameux théâtre Saint-Denis, un des hauts lieux de la participation). PATRONS ET ARTISTES Grâce à ces spé- cialistes de la fesse, nous som- mes en mesure de publier les chiffres suivants, statistiques de cette clientèle è part 25 % sont des industriels, des grands patrons et des personnes tou- chant de très près le milieu de la politique qui ne pensent vrai- ment qu'à ça : ils sont abonnés à de nombreuses revues érotiques, vont voir la majorité des films. et des pièces. pornos. 35% sont des cadres supérieurs et des professions li- bérales. Il faut d'ail- leurs noter une net- te avance pour les chirurgiens (et tous les métiers qui tou- chent de près ou de loin le corps médi- cal) et pour les avo- cats! 23 % sont des gens exerçant des professions artis- tiques : beaucoup d'acteurs, de pein- tres, encore plus de messieurs - dames travaillant à la télé- vision et dans diver- ses stations de ra- dio, plus quelques journalistes ! 12 % sont des retraités richissi- mes ils sont de Le nu sur scène : un succès loin as- les meilleurs clients, car ils dé- pensent, pour souvir leur truc, de véritables fortu- nes. D'ailleurs, ces pépés sont les clients de prédilec- tion des ⚫ profes- sionnelles, car ils ne cherchent plus à consommer et se contentent de satis- faire leurs manies I 5 % provien- nent de professions diverses, c'est-à dire quelques ecclé- siastiques en civil, quelques militaires à plusieurs galons, et certains policiers qui ne font pas qu'accomplir leur travail ! 45% SONT DES FEMMES! Sur cent pour cent de gens qui ne pensent qu'à ça, il est intéressant de noter, qu'il y a 45 % de femmes. Toujours parmi ces 100 %, il faut si- gnaler que les Pari- siens et les banlieu- sards arrivent en un pour- tête avec centage de 65 %. 23 % des ob- sédés viendraient régulierement de leur province. Les 12 % res- tant sont uniquement des étrangers. ri- Il semblerait donc que ce soit parmi les célébrités, les chards et les profes- sions marginales que les gens qui ne pensent qu'à ça fleurissent le plus I