6 Spécial dernière SEPT 77 L'extraordinaire aventure qui intéresse les savants du monde entier SAUVE PAR DES EXTRATERRESTRES EAN MIGUERES vit une aventure exception- nelle. Depuis le 11 août 1969, il sert de cobaye à de mystérieux extraterrestres. Cette aventure peut paraître Incroyable. Mais de grands spécialistes restent bouche bée devant toutes les preuves apportées par Jean Miguères. Jean-Claude Bourret, le présenta- teur du journal de TF 1, a même écrit, au sujet du livre que Jean Miguères a publié, un commentaire élogieux : « Honnête et sérieux ! >> Dans ce livre, «J'ai été le cobaye des extra- terrestres », qui vient de sortir aux Editions Pro- j'ai été le mazur et qui vient d'ob- cobaye des tenir le prix du Récit fantastique, Jean Mi- guères raconte son aventure avec précision. Tout a commencé pour lui le 11 août 1969, à Saint Etienne-du- Rouvray, en Normandie, sur la RN 13 bis. Jean Miguères, à bord de son ambulance, transportait, de Perpignan à Deville- lès-Rouen, un vieillard cardiaque. Celui-ci, au moment de l'accident, était déjà mort. Depuis quelques heures. Car tout commence par un accident. SOUDAIN, C'EST L'ACCIDENT Quelques minutes au- paravant, Jean Miguères ressent une curieuse im- pression: un grand vide dans tête. Et puis une sorte de message qu'il ressent de l'inté- rieur: «Ne crains rien. Laisse-toi guider, il ne t'arrivera aucun mal. Nous sommes là pour protéger et tout te ne sera que fictif pour toi tu ne ressentiras rien, Nous t'ordonnons d'être calme. > Deuxième point, Jean Miguères voit alors une sorte de nuage très bril- lant se diriger sur lui. Intrigué, il poursuit néanmoins sa route. Et soudain, c'est l'ac- cident. Jean Miguères voit arriver devant lui une DS qui circule sur la voie centrale et qui, sou- dain, se jette sur lui. En excellent conducteur, c'est un ancien pilote de moto de course, 11 essaye d'éviter le choc. Mais, curieusement, la DS suit sa trajectoire au dixiè- me de seconde. Pendant ce temps-là, le mystérieux nuage sta- tlonne au-dessus de la route. Le choc est ef- froyable. Jean Miguères, pour- tant, ne perd pas cons- cience. Et, malgré ses terribles blessures, il ne souffre pas, comme le mystérieux message le lui avait annoncé. Dès que son ambulan- ce a fini de tournoyer sur la route, il sent une > le jour de son accident. Il tournoie, se déplace. UN METABOLISME EXCEPTIONNEL Et puis arrive le mes- sage clef de toute l'aventure. «Jean Mi- guères a été choisi com- me cobaye par des extra errestres, cur ils considèrent son métabo- lisme comme exception- nel. Ce sont eux qui, aussi, ont provoqué son Un choc effroyable contre la D. S. accident pour pouvoir mieux l'étudier. » En outre, ils lui confient une mission: les extraterrestres ne veulent pas envahir la Terre. Au contraire, ils veulent aider les Ter- riens à ne pas faire d'erreurs. Mieux encore. Ils l'avertissent qu'en 1996, ils seront obligés d'intervenir directement pour éviter aux habi- Malgré ses terribles blessures, le jeune ambulancier ne sent rien, ne souffre pas tira sans aucune dou- leur. Et que, lui, l'hom- me d'une autre planète, va le régénérer. En même temps, l'homme applique une sorte de disque sur la nuque de Jean Miguères. Au bout de quelques secondes, il disparait en proférant de mystérieuses paroles: «Tu es redimensionné pour être semblable. Cet accident a été nécessaire pour toi-même. Nous re- viendrons te voir.» Pendant 3 h 40, les secours s'efforcèrent de dégager Jean Miguères. Il était littéralement broyé. Mais, miraculeu- pas et restait parfaite- ment lucide. Toutefois, il fut admis à l'hôpital de Louviers en état de « mort clini- que ». Le diagnostic était, en effet, catastro- phique. Outre de multi- ples fractures, il avait la cage thoracique pul- vérisée et des organes tels que la rate, le fole et la vésicule éclatés. «QUITTE CET HOPITAL >>> Contre toute attente, Jean Miguères s'en sort. Grâce au sement, il ne souffrait des extra-terrestres, il CLOTURE DES JEUX MARDI APRÈS-MIDI Notices à votre disposition chez les dépositaires LOTO n'a plus le moindre doute à ce sujet : il ne risque rien. Pourtant, à plusieurs reprises, SB tension tombe à zéro. On l'opère en désespoir de cause et, à chaque fois, il s'en sort. Et puis, un jour, il reçoit un nouveau message télé- pathique Quitte cet hôpital.» Il est dans un tel état que le directeur accepte après lui avoir fait si- gner une décharge : dans son for intérieur, il pense que Jean Miguè- res préfère mourir chez lui, à Perpignan. Le transfert est terri- ble. Ambulance. Avion. Hélicoptère. Ambulance. Théoriquement, Jean Miguères ne devrait pas le supporter. Mais, mi- raculeusement, à l'arri- vée, il vit toujours. On le transporte au centre hospitalier de Montpellier. Là encore, il reçoit un message qul lul dit en substance: > J.-C. BOURRET PREND L'HISTOIRE AU SERIEUX LE CADDIE VOUS TRAHIT AIRE ses cour- ses au super- marché n'a rien d'extraordinaire. Et pourtant! La façon dont vous procédez révèle en partie votre per- sonnalité. En effet, dit le docteur Rousseau, un psychiatre fran- çais, les grands ma- gasins sont des petits mondes » dans lesquels on se conduit souvent comme dans la vie. > Par exemple, si vous détestez faire la queue à la caisse, si vous faites vos achats à toute al- lure, vous êtes sû- rement irascible et impatient. Vous devez vivre sous tension. Votre comportement s'ex- plique aussi par votre grande anxiété. Si vous ne faites jamais de liste avant de partir c'est que vous avez beau- coup d'imagination. Vous êtes optimiste et gale si vous choi- sissez les articles ac- compagnés d'un ca- deau. La vue des éta- lages vous donne des idées de menus. Par contre si vous arrivez au super- marché en sachant exactement ce que vous allez acheter c'est que vous êtes sérieux. Vous ne laissez rien au hasard car vous détestez les surprises, bonnes ou mauvaises. SI CADEAU vous choisis- sez les articles dans lesquels il y a un petit cadeau ou un concours, c'est que vous avez une na- ture gaie et opti- miste. Pour vous, tout est bon pour rigoler. Ceux qui s'amusent à aller de rayon en rayon en poussant leur petit chariot à toute allure sont Ja- mais rationnels, ils préfèrent courir d'un bout à l'autre du magasin plutôt que de prévoir ». EN GENERAL, ILS SONT TOU- JOURS EN RE- TARD. désordonnés. SI VOUS N'AIMEZ PAS ATTENDRE A LA CAISSE