COL DE LARCHE: Les chiens d'avalanche hurlent à la mort au survol des O.V.N.I. - Barcelonnette. Le 8 décem- bre vers 23 heures, les sergents- chefs Gaborris et Charrins de la section de montagne du on- zième B.C.A. Cantonné à Mal- Le Dauphiné Libéré 14/12/1976 son-Méane, à proximité de la frontière italienne du col de Lar- che, dans la haute vallée de Lubayette, ont vu un objet de forme allongé qui se déplace dans le ciel venant d'Italie et se dirigeant vers le Nord-Est. Au casernement, les chasseurs alpins leur signalent que les chiens de la section de monta- gne ont hurlé à la mort de façon surprenante. Le lendemain, toujours vers 23 heures les deux mêmes sous- officiers refont le trajet de la veille et quelle n'est pas leur stupéfaction d'apercevoir dans le ciel quatre formes identiques à celle qu'ils ont vue la veille. Ces objets se déplacent sans bruit, dans la même direction Nord-Est, c'est-à-dire vers le col de Mirandol, à une hauteur qu'ils ne peuvent évaluer exac- tement et qu'ils situent entre 500 et 1 500 mètres. A un cer- tain moment une natte huimara s'allume sous l'une de ses for- mes. Chose étrange, à leur arrivée à Maison-Méane, ils apprennent que les chiens ont à nouveau hurlé à la mort. Les deux sous-officiers décident alors de faire leur rapport à la gendarmerie sur les constations faites au cours des nuits précé- dentes. L'enquête conduite par le capl- taine de gendarmerie Montfort, révèle qu'un douanier en poste à Larche a également été le témoin jeudi à 23 heures du survol de la région par les qua- tre O.V.N.I. Un poste de surveillance composé de gendarmes et de soldats du onzième B.C.A. mis en place au col de Larche y demeure vendredi, samedi et di- manche soir mais aucurte nou- velle constation anormale n'est faite