MARS 1972 UNE ENQUETE DE RENE PACAUT Photos René GUILLOIS LE 1er JUILLET 1965 MAURICE MASSE OBSERVA DANS SON CHAMP DE LAYANDE UN ENGIN QUI Y AVAIT ATTERRI ET SES DEUX PILOTES DEPUIS SA MONTRE IEST RESTEE DETRAQUEE PAR LES RADIATIONS. M. Maurice Masse, agricul- teur bas-alpin d'une quaran- tamme d'années, est le con- raire d'un naît. I a, comme on dit, vécu; il a étudié et lu suffisamment pour con- naitre l'essentiel des possibi- Hités actuelles de l'aéronauti que et de l'aérospatiale. I raconte : Je sais que tout cela paraît incroya- ble, mais je serais bien incapable d'in- venter une telle his- toire. Voici : c'était le 1er juillet 1965, à 6 h du matin, Je plochais mon champ de lavande, à 2 km de Valensole, le vil- lage où j'ai ma mai- son. Le temps était magnifique. Quand j'ai en- tendu, venu de je ne sais où, le fracas d'un moteur, j'ai cru à l'arrivée inopinée. d'un tracteur. Mais le bruit, très vite, est devenu une sorte de sifflement strident qui emplit toute la campagne. Y J'AI ESCALADE UN TALUS. QU ME BOUCHAIT LA VUE... ET J'AI DECOUVERT LA CHOSE A 30 METRES A PEINE. Qu'était-ce a u Juste? La taille était celle d'une Dau- phine et la forme celle d'une énorme araignée de métal, posée sur un pivot central et sur six pattes périphéri- ques. UN PETIT ETRE EN COMBI-. NAISON GRIS- VERT REMUAIT, ACCROUPI, A FAIBLE DISTAN- CE. IL PRELE- VAIT UNE TOUF $ FE DE LAVANDE, SUR- VEILLE, DEPUIS LA COU- POLE TRANSPARENTE QUI SERVAIT DE TOIT AU VEHICULE VOLANT; PAR UN COMPAGNON TOUT SEMBLABLE. < Ce deuxième visiteur 'm'aperçut. Il donna sans doute l'alerte car l'autre re- vint à l'engin, Il y fut com- me aspiré. Puis te pivot ren- tra dans la coque et l'en- semble s'éleva à une vitesse fantastique pour disparaître, presque instantanément à ma vue... J'ai couru prévenir lés autorités. > Or, les gendarmes de DI- gne ne se contentèrent pas d'enregistrer son récit: s Frelevèrent aussi des traces extrêmement précises une Cuvette creusée par le décol tage, le trou cylindrique du pivot central et les six au- tres, moins profonds, des pattes répartis en étoile sur les sillons, Notons que cette cuvette et ces empreintes sont exac- tement identiques à celles relevées à Marliens, en Côte- d'Or, dont nous avons déjà TOUT NET, JK CKOIS A L'EXISTENCE DES SOU- COUPES VOLANTES COMME BEAUCOUP CON TINUENT A LES APPE- LER. FAUTE D'UNE ETI- QUETTE PLUS PRECI- SE Ce pourcentage donne penser, oblige les plus scep- tiques eux-mêmes à réflé- chir. Car, depuis 20 ans c'est-à-dire depuis que des groupes d'observateurs ont commencé à étudier ces phé- nomènes c'est par dizal¬ nes de milliers que se chiffre le total des visites ». _ Rien que pour la Fran- ce, dit Pierre Delval, on en a compté 300 en 1971, M. Pierre Delval est le di parlé. Les spécialistes n'hési-recteur de la revue du Cer- tent d'ailleurs plus à parler d'un aspect classique » des apparitions d'objets yo lants non identifiés, tant ils en ont connu de semblables L'un de ces spécialistes est le colonel de gendarmeria Lobet, qui commande le groupement des Alpes-de Haute-Provence. Cet officier est un cher cheur passionné qui s'as treint à la méthode rigou- reuse des hommes de sclen- ce, Il y a des années qu'il se penche sur les manifes- tations d'objets volants et sur l'hypothèse de la venue d'extra-terrestres sur notre vieille planète. J'ai analysé, dit-il, Paffaire de Valensole avec toute la minutie pos- sible. Et j'ai interrogé très longuement le cultivateur. Maurice Masse. Je suis ab- solument convaincu de la véracité de ses dires et même. de l'exactitude des détails fournis. Le colcnel quitte son bu- reau et va chercher un dos- sier volumineux. Ce n'est, d'ailleurs, qu'un témoignage parmi bien d'au- tres. J'en ai recueilli un jol nombre. Ils sont si bien éta- blis, si parfaitement concor- dants qu'il est devenu im- possible de ne pas croire à T'existence de ces engins étonnants. cle Français des Recherches Ufologiques qui, à Grenoble poursuit un programme de travail patient et rigoureux. Son chiffre est confirmé par un autre spécialiste émi- nent, M. Charles Garreau, qui tient à jour un fichier. I déclare: pro- Je suis persuadé que les soucoupes >,<-cigares ou disques lumineux viennent d'une autre pla nète que les pilotes de ces engins sont des extra-terres- tres. Je suis d'accord, en cela, avec la plupart des sa- vants qui ont eu à connat- tre de ces ces mystères. CES SAVANTS - DES ASTRONOMES, PHYSI CIENS ET ASTRO-PHYSI- CIENS AFFIRMENT, DEPUIS LONGTEMPS DE- JA, QU'IL EXISTE D'AU- TRES MONDES HABITES, D'AUTRES VIES, PEUT- ETRE TRES VOISINES. DE CELLE DES TER- RIENS. On oublie trop, explique encore M. Garreau, ou on ignore que le système solaire dont la Terre fait partie n'est lui-même qu'un infime fragment de l'univers où se meuvent des milliards d'as- tres. Certains chercheurs vont jusqu'à prétendre que plus de 100.000 planètes ont des chances d'être peuplées. Comment, dès lors, ne pas admettre, que certaines J'ESTIME, QUANT Ade MOI, QUE, SUR CENT RE- CITS ENREGISTRES, 75 SONT ABSOLUMENT SE- RIEUX. ET. JE LE DIS ces civilisations lointal- nes soient techniquement en ☐ avance sur la nôtre, peut- être de plusieurs siècles? Qu'elles alent déjà construit et mis en service des vais+ seaux intersidéraux capables de leur faire traverser les es- paces infinis ? Mais cette logique ne ré- pond pas encore, hélas, aux deux, principales questions que tous, aujourd'hui, se po- sent, avec parfois une cer- taine angoisse pourquoi ces voyageurs sidéraux s'intéres- sent-ils à nous ? Pourquof leurs passages se sont-ils & ce point multipliés depuis quelques années? Nous en sommes, cette fois, réduits aux hypothèses. Voi- ci l'une des plus fréquem- ment formulées: Il n'est nullement ridicule d'admettre que l'attention des extra-terrestres & été attirée sur nous par les ex- plosions atomi ques. Nos champignons mortels ont pu, observés de très loin, devenir des manifesta tions de vie et agir sur les na- vigateurs de l'es- pace comme un signal, un fanal, un phare. CAR, FAIT REMAR- QUABLE, ON N'AVAIT JA- MAIS ENTEN- DU PARLER DE PAREILS MYSTER ES, JAMAIS AS- SISTE A RIEN, EN UN MOT, AVANT L'EX- PLOSION DE LA BOMBE A. On peut ajouter que les incursions terrestres de ces cruels et ravageurs du feuille- ton de la télévision, Nous-mêmes sommes dis- posés le mieux du monde ou plutôt de l'Univers à leur égard. La preuve en est que nous cherchons, de notre côté, à établir le con- tact avec ces cousins de l'infini : depuis quelques, jours le missile Pionnier 10 >, parti de Cap Kennedy, s'est élancé hors du système solaire. Il porte en ses flancs un premier message une plaque d'or gravée à l'effigie d'un couple humain, au bras levé dans un signe d'amitié. Puisse ce courrier > at- teindre son but! Puissions- nous en recevoir un en re- tour, aussi chaleureux, aussi amical, venu promettre la paix aux êtres de bonne vo- lanté, non plus sur la Terre, seule, mais dans l'immen- sité de toutes les routes se- mées d'étoiles ! 624 CETTE SOUCOUPE A ETE PHOTOGRAPHIEE LE 12 FEVRIER 1971 EN CORSE. CE DOCUMENT QUI FAIT PARTIE D'UNE SERIE DE TROIS CLICHES, NOUS A ETE FOURNI PAR UN DES MEILLEURS CENTRES DE RECHERCHES, LE G.F.R.U., 1, RUE SAINT-EXUPERY A GRENOBLE.