Cambriolage nocturne à Croix-Rouge: une association d'entraide dépouillée l'union FORD, accédez à la valeur technologique. FORD C-MAX 15490 page 8 Ford 6002 ford fr GROUPE SAINT CHRISTOPHE REIMS 03.26.08.24.66-CHALONS-EN-CHAMPAGNE-03.26.64.49.37-ÉPERNAY 03.26.55.59.65 Lundi 14 novembre 2011 - N° 20967 C.P.P.A.P. 0415 C 86339 www.lunion.presse.fr 0,90 € REIMS Après des semaines d'hésitation, une Rémoise témoigne Rencontre avec un ovni Ce montage photo a été réalisé sur les indications de la Rémoise. page 18 Remi WAFFLART Semaine solidaire WAL Un début en fanfare Remi WAFFLART -Sports-51 Tous les résultats du week-end page 5 cahier central LE TEMPS Météo complète en dernière page lundi 14 novembre Reims 12 Mae Epernay Châlons-en- Champagne 12 3 Ste-Menehould Sézanne 12 Vitry-le- François 13 4 En vente chez votre marchand de journaux LA VIE SOUS L L'OCCUPATION L'OCCUPATION 5€ HORS-SERIE Funion 18% RENDEZ-VOUS GASTRONOMIQUE 18, 19 et 20 Novembre 2011 Ouverture des 10h Entrée 100 CHALONS PARC DES EXPOS www.foiredechalons.com RICHESSE DES TERROIRS SALONS DE LA GASTRONOMIE ET DU VEHICULE D'OCCASION LES novembre 18 19 20 à Châlons-en-Champagne OUVERTURE DES 10H 3€ pour les 2 salons www.foiredechalons.com 12salon 3 JOURS 18 REIMS er concours aéronautique militaire Une conférence pour le centenaire Centenaire du 1er concours aéronautique militaire Marne REIMS Ovni en plein jour au quartier de la Verrerie Un «< grand cercle brillant >> vu dans le ciel par une passante 1911-2011 10 ANORAA REIMS-BETHENY (51) 17 novembre 2011 Une carte historique symbolisant l'événement sera réalisée par le club de Saint-Brice-Courcelles. En fixant un cahier des charges précis aux constructeurs et en vérifiant la fonctionnalité des appareils proposés par ceux qui tiennent à marquer des points et à conforter l'idée de l'emploi de l'aviation dans la Défense natio- nale, l'armée ne veut pas se trom- per. Performance, maniabilité, efficacité sont autant de condi- tions impératives fixées. Quelles sont les règles imposées, pour- L'association nationale des offi- ciers de réserve de l'armée de l'air du secteur Champagne-Ardenne présidée par le capitaine Laurent Marchwant, et l'association Edmond Marin la Meslée présidée par Hervé Chabaud organisent en partenariat avec le lycée Saint- Jean-Baptiste-de-la-Salle de Reims, rue de Contrai, le jeudi 17 novembre à 18 h 30, une soi- rée pour se rappeler le centenaire du 1" concours aéronautique quoi, comment l'Américain Wey- militaire qui s'est déroulé à Reims à l'automne 1911. On sait quelle place tient Reims dans l'histoire mondiale de l'aviation. Événement philatélique aussi Cette commémoration corres- pond à un choix méthodologique très important de l'armée alors que les clignotants sur la stabilité politique en Europe sont passés à l'orange. Deux ans après la Grande semaine aéronautique de Champagne qui est le premier meeting international aérien à avoir été organisé et qui a déplacé au moins un million de visiteurs, se déroule en périphérie rémoise à la charnière avec Bétheny le premier concours de sélection d'avions militaires. mann sur Nieuport à moteur Gnome va remporter le concours, quelle est la composition du podium, quels sont les grands pilotes qui participent aux épreu- ves, 'autant de questions qui seront abordées par Hervé Cha- baud, et Frédéric Lafarge, admi- nistrateur du musée de la BA 112 et de l'aéronautique locale. Cette soirée est doublée d'un événement philatélique avec l'émission d'une carte historique symbolisant l'événement réali- sée par le club de Saint-Brice- Courcelles présidée par Luc Per- lot. Une carte, un timbre personnalisé et un cachet qui sera de Bétheny, sont annoncés. Un rendez-vous aussi à ne pas man- quer pour les collectionneurs. Pour participer à cette soirée, merci d'appeler le 03.26.79.51.86. CHÂLONS/Remplacement Une visio-conférence au CDDP Jean-Michel Perron, responsa- ble de l'Agence nationale des usages des technologies de l'information et de la communi- cation pour l'éducation (TICE) avait prévu de venir de Vendée pour diriger une conférence de trois heures à Châlons. C'était sans compter sur une grève SNCF La crainte de rentrer dif- ficilement en Vendée, a remis en cause cette organisation. Donc, le Centre départemental de documentation pédagogique (CDDP) de la Marne a proposé de mettre en place une Visio- conférence pour les quarante professeurs documentalistes qui sont venus de tout le départe- ment pour participer à cette jour- née de formation. Jean-Michel Perron est finalement intervenu depuis Poitiers au sujet de << notre empreinte et notre ombre numé- rique : quelles sont les traces que nous laissons lors de nos multi- ples connexions? >> Les professeurs documentalistes de tout le département. Cette visio-conférence a placé le public immédiatement en situation pratique et expérimen- tale. Bien que le conférencier soit à plusieurs centaines de kilomè- tres de Châlons, le public a pu s'adresser directement à lui, et lui, a pu visualiser la salle grâce à une webcam. Cette nouvelle modalité d'organisation permet de raccourcir les distances, d'allé- ger notre trace carbone et malgré tout d'avoir des échanges directs et spontanés. Nathalie Steg ne s'explique toujours pas le phénomène qu'elle a observé à cet endroit du ciel en plein jour, début septembre, rue de Couraux à Reims. Alors qu'elle marchait dans son quartier, une Rémoise a vu au-dessus d'elle, en plein jour, un «< immense cercle brillant » qu'elle a pu observer une à deux minutes. Elle cherche une explication. « A fait une dizaine d'années que j'habite ici, jamais je n'ai vu un truc pareil. » Rémoise de 38 ans domi- ciliée rue de Couraux, au quartier rémois de la Verrerie, Nathalie Steg n'est pas près d'oublier l'étrange histoire qui lui est arri- vée en septembre, mais qu'elle ne révèle aujourd'hui qu'après bien des hésitations. « C'était en semaine, quelques jours après la rentrée, vers 9 heu- comme une bulle d'eau. Ça éblouissait un peu car le cercle était brillant, peut-être à cause du reflet du soleil. J'ai du mal à défi- nir sa couleur. Il y avait du blanc, comme de la fumée, mais aussi du bleu. Ça donnait l'impression d'une épaisseur, de quelque chose de matériel, mais translucide en même temps. C'est comme si on aurait pu rentrer la main dedans et la ressortir. >> res, 9 h 30 du matin. Je sortais de Fuite précipitée chez moi pour aller voir ma mère. Arrivée au bout de la rue, alors que je marchais sur le trottoir, j'ai levé la tête machinalement et là, dans le ciel, j'ai vu un rond immense, un grand cercle. La lune, à côté, c'est un bébé. Le contour était net, bien dessiné. On aurait dit Immobile, silencieux, le phé- nomène était visible « dans un ciel tout bleu, sans nuage ». La pré- cision est importante car on peut penser à une parhélie, un reflet du soleil sur les cristaux de glace des nuages de haute altitude, une explication d'ailleurs rejetée par Mme Steg après consultation de photos sur Internet. << Ça n'a rien à voir. » Elle était seule dans la rue quand le phénomène s'est pro- duit. «<< Il n'avait pas l'air très haut. Je suis restée à le regarder pen- dant une à deux minutes. J'étais comme hypnotisée. Je me posais des questions: « C'est quoi ce truc- là ? Qu'est-ce que ça fait là ? ». Au bout d'un moment, j'ai eu peur. Je suis partie en courant pour préve- nir ma mère. J'ai regardé une ou deux fois en arrière, c'était tou- jours là. » La mère de Mme Steg habite à une cinquantaine de mètres du lieu de l'observation occulté par des immeubles. «< Ma sœur était chez elle. Nous sommes ressorties toutes les trois. Nous avons regardé partout mais il n'y avait plus rien. C'est incompréhensible et pour- tant, je n'ai pas rêvé. >> D'autres témoins? Par peur du ridicule, Nathalie Steg a d'abord gardé le silence avant qu'une deuxième observa- tion faite par son fils (lire par Une observation en cache une autre Nathalie Steg n'aurait rien dit publique- ment de son observation du début du mois de septembre si son fils de 14 ans n'avait été lui aussi témoin d'un phéno- mène qu'il n'a pu s'expliquer. « C'était le lundi 7 novembre, vers 7 h 45, alors que j'avais pris le bus pour me rendre au collège », raconte Mickaël. « Il faisait encore un peu noir. J'étais assis contre le carreau lorsque pendant l'arrêt du bus (NDLR: à la station Gon- zon, visible dans l'étroit prolongement de la rue Henri-Paris, à droite de la tour des Argonautes. En raison des mauvai- ses conditions d'observation (éloigne- ment, semi-obscurité, vision fugace), on ne peut exclure une confusion avec un objet conventionnel mal interprété, mais la présence de cette boule a d'autant plus intrigué le jeune homme qu'il avait en mémoire l'observation de sa mère. zalle rue Albert-Thomas), j'ai vu quelque La série du 10 chose de rond dans le ciel, une boule transparente comme une goutte d'eau. Le bus a redémarré et je l'ai perdu de vue derrière un mur. » Observée pendant une dizaine de secon- des, la boule était assez basse sur l'hori- Dans la Marne, les derniers cas signalés d'ovnis, ou supposés tels, remontent également au mois de septembre, dans la soirée du 10, avec l'observation de trois boules lumineuses à Cormontreuil vers 21 h 50, d'une boule lumineuse à Photomontage réalisé sur ses indications ailleurs) ne l'incite à révéler ce qu'elle a vu pour savoir s'il y a eu d'autres témoins. Ce serait logi- que, vu la grosseur du phéno- mène observé au-dessus d'un quartier, mais les spécialistes rétorquent qu'il n'y a justement rien de logique avec les << vrais >> ovnis, au sens d'un phénomène réellement inconnu dont l'ori- gine quelle qu'elle soit échappe à nos connaissances actuelles. Comme l'indique Joël Mesnard, directeur de la revue spécialisée Lumière dans la nuit, l'une des caractéristiques du phénomène lorsqu'il se produit est de n'être visible que par un groupe res- treint de témoins liés entre eux, voire un seul. « Les incidents de cette sorte en zone urbaine sont nombreux. Ils concernent bien sou- vent des objets lumineux dont on imagine que dans des conditions normales, ils auraient dû attirer le regard de dizaines, voire de centai- nes de témoins et le plus souvent, il n'y en a qu'un seul. »> Rue de Couraux, l'ovni s'est dis- sipé mais le mystère toujours pas. Fabrice CURLIER Warmeriville à 22 h 40 puis de deux << assiettes renversées » à Saint-Brice- Courcelles à 23 h 45, avant qu'un Rémois domicilié rue Léopold-Charpentier ne voie lui aussi une boule lumineuse pas- ser au-dessus de la ville (l'union des 14 et 24 septembre). Aucun autre témoignage concernant cette soirée n'a été recueilli depuis. Pour le Geipan, l'organisme officiel chargé de l'étude en France des « phénomènes aérospatiaux non identifiés », cette série d'observations - survenue un samedi - s'explique probablement par des lâchers de lanternes volantes lors d'événements festifs (mariages, anniversaires, etc.) qui n'ont toutefois pu être localisés. F.C. www.lunion.presse.fr Lundi 14 novembre 2011