COTE D'AZUR O.V.N.I. le "retour" : Les revoilà dans le ciel du Midi où, malgré la fréquentation assidue de toute une collection de ces drôles d'objets célestes depuis des lustres, aucune énigme n'a été percée. Une Union européenne de chercheurs vient de se constituer à Villeneuve-Loubet pour le "droit de savoir" dans ce domaine très controversé... " E.T. »en a bouleversé plus d'un, mais beaucoup prennent encore le parti d'en sourire et de camper sur une ferme position d'incrédulité. Il y a, bien sûr, les incontournables « ne se prononcent pas ». Et puis aussi, il faut bien le dire, un nombre croissant de témoins, de «< contactés » et même, aux Etats Unis notamment, «d'abductés ». Autrement dit de personnes enlevées contre leur gré et qui auraient subi des manipulations génétiques et certains implants! Trois ou quatre décennies d'observations, de recueil minutieux des dépositions de mil- liers de témoins et quantité de prélève- ments sur des traces et vestiges de mys- térieux impacts n'ont pas permis de trancher... Bien malin qui pourrait se prononcer aujourd'hui de façon catégorique sur l'hypothèse extra-terrestre. A moins que, déjà consigné dans les dossiers << secret- défense » des grandes puissances, se trouve un début de réponse qu'il serait très prématuré de divulguer... Tel n'est pas le point de vue d'une toute nouvel- le Union européenne de chercheurs (voir encadré) qui vient de naitre sur la Côte d'Azur et rassemble un certain nombre de scientifiques. Des personnalités qui émettent un voeu urgent: celui que «> sur la voute céleste vers laquelle nous ne levons pas assez souvent les yeux... >> Et pourtant, il existe des cas bien pré- is où l'on n'a pas pu se satisfaire, à 'évidence, de telles explications. Et où es scientifiques eux mêmes ont dû - nomentanément sans doute - déclarer orfait. Sans pouvoir seulement conseiller des témoins, de parfaite bonne foi, de onsulter au plus vite un psychologue ! Des cas, par exemple, comme les mys- res du champ de Trans-en-Provence ou u bois de Montauroux, jamais résolus epuis plus de vingt ans, malgré les vestigations très poussées d'éminents écialistes... Enquête d'André LUCHESI. 1. Union européenne de chercheurs pour le droit de oir 17, avenue des Lavandes - Hameaux du Soleil $270 Villeneuve-Loubet. 22615 Un éventuel et présumé impact d'OVNI au Col de Vence 3 (Reproduction N.M.) Pour un "droit de savoir"... Loin d'être de doux rêveurs uto- piques, les membres de l'Union euro- péenne des chercheurs qui vient de se constituer à Villeneuve Loubet... Leur président le Dr Dominique Cosme, diplomé d'immunologie, de bactériolo- gie et de chimie, lauréat de l'Académie de médecine, est le directeur d'un important laboratoire niçois. Autour de lui, on trouve un ingénieur physicien de l'Aerospatiale, résidant à Peymeinade, M. Jean-Jacques Marchal, ainsi que son épouse, Anais, géologue, M. Claude Chapeau, ancien collabora- teur du C.N.R.S., les écrivains spéciali- sés Jimmy Guieu et Guy Tarade, auteurs de très nombreux ouvrages, Mme Marie- Noelle Courreau, cadre dans l'industrie pharmaceutique, M. Patrick Langouet, de Saint-Laurent-du-Var, qui a été le témoin direct d'un phénomène, etc... Leur première démarche a consisté à écrire aux principaux chefs d'Etats ou responsables de très haut niveau pour << obtenir, après les avoir expurgés, des détails pouvant révéler les performances des systèmes de détection », les infor- mations éventuellement disponibles sur le phénomène OVNI « en raison des implications graves dans de nombreux domaines touchant aussi bien à nos conceptions religieuses qu'à nos sciences et notre organisation socia- le... >>> « L'Union européenne de chercheurs sollicite aussi l'autorisation de participer à des études de documents, photos, films d'amateurs et militaires, ainsi que de tout fragment matériel, compte rendu d'autopsies ou autres, détenus secrète- ment et dissimulés, sans justification au public. »> Une missive qui a déjà reçu de pre- mières réponses aimables, mais plutôt laconiques, de M. Philippe Seguin, pré- sident de l'Assemblée nationale et du chef adjoint du cabinet du roi des Belges, S.M. Albert II.