FRANCE DIMANCHE N° 2437 mai 93. L Tore ELUL LOVA MOOR J'ai rencontré DIDIER DERLICH Séductions 024 RTL des extraterrestres!" 'ORDINAIRE, c'est elle qui, par son charme, par sa beauté, éblouit les hommes Eh bien, cette fois, c'est elle, Lova Moor, qui a été éblouie ! Et pas par n'importe qui, jugez-en par des extra- terrestres ! Elle ose le raconter première fois dans un livre da de Didier Derlich: « Séductions », (Editions Jean-Claude Lattès), dans lequel elle dévoile au- 4 cette rencontre des avait gardée secr secrète années. Et elle ous l'a racor racontée à nouveau au cours d'une interview qu'elle à bien voulu nous accorder. Pendant sept ans, Lova n'a rien dit de cette fantastique aventure qui lui est arrivée le a 19 novembre 1986. Ce jour-là, triste jour, Lova et son mari, Alain Bernardin, le patron du cabaret le Crazy Lova et Alain : unis par l'amour mais aussi par leur expérience vraiment hors du commun! 'Le 19 novembre 1986, en revenant de l'enterrement de Thierry Le Luron avec mon mari, j'ai soudain été éblouie par une grande lumière blanche!" L'OVNI de Lova ressemblait, en plus gros, à celui qui apparaît ici. NCORRIGIBLE Lu- ciano Pavarotti ! Trop gros, il l'est et il le sait, mais il est si gourmand qu'il ne parvient pas à s'imposer un petit régime. Et son poids lui joue des tours, et pas des plus drôles I En mars dernier, nous vous le racon- tions, il a dû être opéré d'un genou qui avait « claqué » à force de supporter la masse imposante de son corps. Un mois après, dans un hôtel, il a inondé la Isalle de restaurant qui se trouvait juste au-dessous de sa chambre, en... pre- nant son bain ! Et maintenant... Maintenant, il met pratiquement sa dié- téticienne particu- lière au chômage en n'écoutant aucun de ses conseils ! Non seulement il ne tient aucun compte de ses pro- grammes culinaires c'est-à-dire qu'il augmente toujours Il met sa diététicienne au chômage! N° 2437 Horse, revenaient de l'enterre- ment de Thierry Le Luron, à Ploumanac'h, dans les Côtes- du-Nord. La journée avait été éprouvante. Pendant tout le trajet qui les ramenait chez eux, dans leur maison des Yvelines, Lova pen- sait à Thierry et au grand vide qu'il laissait derrière lui. bas- Terriblement attristée, Lova regardait par la fenêtre de la voiture, quand, tout à coup, elle vu un faisceau lumineux balayer le -côté Pendant un kilomètre, il ne m'a pas quittée, avoue Lova. Il éclairait la route. Quand nous sommes arrivés devant l'église de notre village, nous avons aperçu au-dessus du clocher une forme lumineuse de la grosseur d'une voiture. » Peur Cela ressemblait à deux as- siettes posées l'une sur l'autre avec des flammes blanches tout autour. Alain a stoppé net. Il a voulu descendre... « Mais je l'en ai empêché, poursuit Lova. J'avais trop peur. Puis, devant nous, la sou- coupe est devenue folle. Elle descendait et remontait sur nous. J'ai demandé à Alain de démarrer et de partir au plus demar vite. Arrivés chez eux, Lova et Alain se sont mis à la fenêtre de leur chambre pour regarder le clocher et la soucoupe. L'OVNI avait disparu. Le lendemain matin, Lova et Alain, encore sous le choc, sont allés au commissariat de Ver- sailles pour raconter leur éton- nante aventure. Et ils ont ap- pris n'étaient pas qu'ils les seuls à avoir vu une soucoupe volante Intrigué, Alain a contacté des scientifiques, spécialistes des phénomènes surnaturels. Et ceux-ci, intéressés, se sont installés dans leur maison pen- dant une semaine. 'Souvent, la nuit, 'ILS me parlent et me demandent de ne pas les oublier' PAVAROTTI les quantités pres- crites - mais, en plus, à Marseille où il donnait un concert la semaine dernière, il s'est arrangé pour lui fausser compa- gnie! meilleurs restaurants de la ville. D'abord, Et qu'a-t-il fait ? II un gigantesque plat s'est offert trois re- de spaghettis à la pas pantagruéliques bolognaise, suivi dans un des deux heures après d'une succulente bouillabaisse et, pour faire bonne me- sure, il a absorbé, après le concert, quelques bons petits légumes farcis du midi. Indignée, sa diététicienne l'a me- nacé d'arrêter de tra- vailler pour lui ! C'est une question de conscience pro- fessionnelle ! Elle ose le raconter pour la première fois, dans un livre de Didier Derlich, 'Séductions Avec Didier Derlich: Lova ne lui a rien caché... «Tous les matins, ils me de- mandaient de leur raconter mes rêves, raconte Lova. Ils voulaient savoir si les extra- terrestres n'avaient pas laissé un message pour expliquer leur apparition... » Et justement Pendant huit jours, Lova a fait le même cauchemar. Un homme descendait de la sou- coupe, il la prenait dans ses bras, lui disait : « Tu as bien fait de ne pas t'approcher de nous, tu serais morte. » Mais en même temps, cet être venu d'ailleurs lui de- mandait de ne pas les oublier! Lova a mis plusieurs se- maines à se remettre de cette fascinante et troublante ren- contre. Mais le plus extraor- dinaire, c'est que cette scène a bouleversé sa vie de femme. * Depuis ce jour, je suis une autre, reconnaît-elle. Je suis calme et heureuse à chaque instant de ma vie. Avant, tout m'angoissait. J'avais peur de la mort, de la maladie, et peur du bonheur aussi. La moindre petite chose devenait un drame. Depuis ce jour, j'ai l'im- pression d'être baignée d'un bonheur intense et d'une nou- velle sérénité. >> Aujourd'hui, sa peur enfuie avec les années, Lova contemple chaque matin le clo- cher du village, et elle rêve de revoir une deuxième fois sa soucoupe volante et les visi- teurs des étoiles qui lui ont ap- porté la sérénité. Ghislaine BERTIN-DENIS Photos: J.-C. WOESTELANDT Depuis ce jour, sa vie de femme a été complètement bouleversée ARIELLE DOMBASLE Elle ne supporte pas qu'on lui touche le cou! P OUR un comédien, il a des rôles qu'on n'oublie pas, des rôles dont on ne parvient pas à se défaire, même des années après le tour- nage. Des rôles qui vous « collent à la peau ». C'est le cas d'Arielle Dombasle qui ne sup- porte pas... qu'on lui touche le cou, en souve- nir de son tout premier film! « J'avais 23 ans, dit- elle, et je devais mourir étranglée. Sur l'instant, pendant les prises de vues, je n'ai pas trop été impressionnée. Mais avec les mois, les années, il m'est venu comme une phobie. Dès qu'on s'ap- proche de moi, qu'on m'effleure la nuque, je revois cette scène du film et je me sens si mal à l'aise que je romps tout contact immédiate- ment. »>