72 cing COSMOS Mwy Roumanie Une Selection BOZZESI Liana Orfei - Bella Cortez LE ROI D'ATLANTIDE ww 3e Année - N. 50-24 Août 1963 F. 1,20 LES HABITANTS DES AUTRES MONDES INTRODUCTION Depuis bien des années, il n'est pas rare de rencontrer dans la Presse des articles tels que ceux-ci, extraits du « Provençal », journal quotidien de Marseille: Aix-en-Provence (C.P.) 27-11-1961. Un mystérieux objet lumineux a été signalé, hier soir, dans le ciel d'Aix-en-Provence. Les autorités ont été informées. Il présentait le même aspect qu'une étoile et avan- çait lentement; c'est du reste ce qui l'a fait repérer, puisqu'il se dé- plaçait par rapport aux autres étoiles. Par moments, il s'immobi- lisait et acélérait. De 17 h 50 jusqu'à 18 h 20, il se dirigeait de l'ouest à l'est di- rection ouest. Plus tard, dans la soirée, le mystérieux objet était en- core visible. 30-11-1961. Dans notre numéro du 28 no- vembre, nous avons annoncé qu'un objet lumineux avait été observé la veille dans le ciel d'Aix-en-Pro- vence. A ce sujet, un de nos lec- teurs de Vallauris nous écrit pour nous faire connaître que le 27, à 17 h. 40, en sortant de son travail, il avait aperçu un objet identique qui avait l'apparence d'une étoile de deuxième grandeur, se dépla- çant lentement de l'ouest à l'est. A son grand étonnement, l'objet stoppa une première fois, puis une deuxième fois, près de l'horizon. Après tout ce qui a été écrit (et dit) d'absurdités ou de vérités sur ce que l'on désigne sous le nom de « soucoupes volantes» un grand nombre de lecteurs ne savent plus que croire et cela se comprend - blasés, ils jettent un bref re- gard sur de tels articles, ne cher- chant pas à comprendre ce qu'une telle observation représente d'é- 62 par RENE SAMSON trange. Il serait pourtant intéres- ant d'analyser le fait. Une étoile peut-elle se déplacer, stopper, repartir et cela plusieurs fois de suite? Non, naturellement. Donc, ce n'est pas une étoile mais un engin lumineux évoluant dans le ciel et fort probablement obéis- sant à une intelligence qui le di- rige. L'homme est-il en mesure de construire de tels engins lumineux pouvant se stabiliser dans notre atmosphère et en repartir selon son gré? Pas à ma connaissance. De telles observations ont été d'ail- leurs effectuées bien avant que les avions ne soient conçus. Serait-ce donc une « soucoupe vo- lante»? Et que devons-nous en penser? Pour répondre à de telles ques- tions, prenons connaissance de ce que disait, le 7 novembre 1958, l'un des plus grands savants du monde, le Professeur Herman OBERTH, de retour des U.S.A., où il travailla sur un projet secret au centre des fusées de l'armée américaine à Alabama. Il déclara à la presse, à Francfort-sur-le-Main: « Je crois que les "soucoupes volantes" sont pilotées par des for- mes de vies supérieures. J'appelle ces créatures Uranides et je crois que ce sont des êtres très intelli- gents, qui observent la terre de- puis lontgemps »>. Ce même savant, prenant la pa- role à un congrès sur les « soucou- pes volantes » à Wiesbaden, les 22 et 24 octobre 1960, déclarait: << Pour ce qui est des rapports sur les engins de l'espace on ne peut guè- re glisser sur le fait que plus de 70.000 témoignages aient été re- cueillis. Et le fait qu'il puisse s'a- gir de vaisseaux de l'espace venant d'univers étrangers est une chose qui ne peut entrer en contradiction avec les témoignages; elle peut donc servir d'hypothèse de travail. Depuis que l'humanité a une his toire écrite, on rapporte l'existence des disques lumineux apparaissant de temps à autre dans le ciel. Les anciens Egyptiens les appelaient « Cercles lumineux », les Romains << boucliers lumineux ». Aujourd'hu nous ne savons pas au juste com ment les appeler. L'expressior « soucoupes volantes » ne me plaît pas, elle rappelle trop les drames de cuisine; l'expression « vaisseaux rayonnants » ne me plaît guère nor plus, car, primo, ils ne rayonnen¹ pas toujours, secondo, le rayonne ment n'est peut-être qu'un phéno mène secondaire. De toutes les ex pressions utilisées jusqu'ici, celle d'U.F.O. (Unidentified Flying ob jects), c'est-à-dire Objets volant: non-identifiés, est encore la meil leure. D'après mes informations, com me je l'ai dit plus haut, nous avon: aujourd'hui plus de 70.000 témoi gnages, plus de 100.000 d'aprè: Lord Dowding, ancien Maréchal d l'air britannique. Partout où l'on a fait des observations et des in vestigations, on a pu attribuer 1: moitié des phénomènes à des cau ses connues: ballons-sonde, lumiè res à bord des avions, avions vc lant à basse altitude avec le solei à l'horizon, météores, éclairs sphé riques, reflets atmosphériques, ar mes secrètes (V 7), avions-cous sins etc. Il reste cependant 11% de témoi gnages, ce qui fait 8.000 rapport où ces explications ne jouent plus Ici le mensonge et la farce son exclus, car il s'agit de pilotes-of ficiers, de repérages par radars o de photos faites par des gens qu ne sont ni des farceurs ni des am bitieux et qui ont même renforc leurs témoignages devant des ap pareils à détecter le mensonge. Tous ces rapports font apparaî- tre une telle concordance qu'on ne peut en déduire qu'une cause com mune ou similaire. A mon avis la science se devrait de considérer tout phénomène com- me possible aussi longtemps que les observations n'ont apporté de preuves contraires. Elle se doit donc d'accepter toute déclaration comme hypothèse de travail, jus- qu'à preuve du contraire. Que l'on puisse créer des champs de gra. vitation artificiels n'est pas connu de la science d'aujourd'hui, cepen. dant les recherches accomplies par le physicien du froid à l'Université d'Oxford, le Professeur Mendel. sohn, font ressortir que la force de gravitation, en général, se laisse modifier. C'est ainsi que les corps proches de la température du zéro 273,16 degrés plus légers (c'est- à-dire de la température à -273,16 degrés C. A cette température, les molécules d'un corps ne se dépla- cent plus mais restent figées les unes à côté des autres). a- Nous, voyons ainsi que la théo- rie des vaisseaux de l'espace ve- nant d'autres univers ne se trouve pas en contradiction avec nos théo- ries scientifiques contemporaines, et nous sommes conséquemment en droit de poursuivre nos recher- ches à leur sujet et de recueillir les témoignages. Mais au point où en sont les choses aujourd'hui, le savant moy- en ne peut se permettre le luxe de disperser ses efforts. C'est pour- quoi, le plus souvent, il prend une attitude négative en face de nou- velles idées, inventions et décou- vertes, ne serait-ce que pour ne pas être obligé de s'en occuper ac- tivement. Et pour peu que ses in- vestigations dans ce sens soient mal vues de la hiérarchie, il adop- te une attitude vraiment hostile >>. Après de telles déclarations éma- nant d'un homme de science haute- ment qualifié, on ne peut plus con- sidérer les « soucoupes volantes >> comme étant un mythe, dans ce cas il faut admettre que la vie exis- te sur d'autres mondes. Voyons, à ce sujet, ce que l'as- tronomie nous révèle. Effective- ment, nous avons constaté une grande analogie entre l'aspect de certains astres et les « soucoupes volantes >>. DE LA GALAXIE A LA SOUCOUPE VOLANTE Aussi loin que nous remontons dans le passé, nous constatons que de tout temps, l'homme doué d'une intelligence sans cesse grandissan- te, plein d'ambition, insatisfait de ce que la nature lui a donné, a tou- jours cherché à imiter celle-ci, non Galaxie NGC 5746 dans la Vierge dont la forme rappelle une sou- coupe volante. seulement en la copiant, parfois à ses risques et périls, mais aussi en la perfectionnant pour mieux l'a- dapter à ses exigences sans cesse accrues. Tel que l'homme a été créé, sans son intelligence, il était voué à res- ter toujours rivé à notre globe. Son plus grand désir fut donc d'ac- complir ce que la nature lui avait refusé: quitter la surface de la ter- re, évoluer dans l'espace, conquérir le ciel. Cependant, jusqu'en 1783, ce rêve demeura impossible. Ce fut Mont- golfier qui, constatant que l'air chaud, plus léger, s'élevait, eut l'in- génieuse pensée de construire un immense ballon de papier, gonflé à l'air chaud. Le premier pas était fait et le 22 septembre 1783 la pre- mière expérience eut lieu, effectuée par le Marquis d'Arlandes et Pila- tre du Rosier dans le jardin de la Muette à Paris. Bientôt l'air chaud fut remplacé par des gaz plus légers que l'air, tels que l'hydrogène et le gaz d'é- clairage. Avec la disparition des Montgolfières apparurent les pre- miers ballons sphériques. Parallè lement aux progrès réalisés en aé- ronautique, les autres branches de la science évoluaient, elles aussi. La découverte des moteurs à es- sence permit, en les adaptant sous des enveloppes de ballons armatu- rés, de faire évoluer ceux-ci au gré des aéronautes. Les premiers bal- lons dirigeables voyaient le jour et nous étions en 1900. Pendant que les dirigeables fai- saient leur carrière, d'autres cher- cheurs, insatisfaits de ces premiers résultats obtenus, s'attaquèrent au plus lourd que l'air, c'est-à-dire à imiter le vol de l'oiseau. Malheu- reusement la sustentation et la propulsion par ailes battantes ne furent jamais couronnées de suc cès. Elles furent abandonnées pour les ailes rigides, ce qui permit seu- lement d'imiter le vol plané de cer- tains oiseaux. L'adaptation des mo- teurs à essence à ces planeurs fit naître les premiers aéroplanes. Ce ne fut qu'entre les deux guer- res mondiales que l'aviation prit réellement son essor. Enfin, depuis quelques années, grâce aux moteurs à réaction, des vitesses et des altitudes qui pa- raissaient nuisibles à l'organisme humain, sont atteintes, sans aucun danger pour la vie des pilotes. Ce nouveau mode de propulsion, joint à de nouveaux profils d'avions per- mirent de se déplacer à des vites- ses transoniques et supersoniques. Le rêve de l'homme est enfin at- teint et même dépassé: le ciel lui appartient et déjà un autre désir se fait pressant: quitter cette at- mosphère, vaincre définitivement la pesanteur et fuir dans les espa- ces cosmiques de l'univers à la re- cherche de nouveaux mondes. Les avions ne répondant plus aux exi- gences que demandent de tels voyages de nouveaux modes de lo- comotion doivent être recherchés. (suite page suivante) DANS QUEL PAYS AIMERIEZ-VOUS AVOIR DES AMIS? Très loin, dans une île du Pacifique? Tout près, en Espagne? Plus près encore, dans votre région? C'est bien facile puisque l'I.C.C. met à votre disposition ses correspondants (tes) de France et du monde entier. Docum. grat. contre 3 timb. à I.C.C. (C.O.) 31 bd Rochechouart Paris-9º. 63 1 Astronef interplanétaire entouré de son fluide magnétique formant écran et rendant l'air environnant luminescent. Les pointillés repré- sentent les lignes de force du champ magnétique assurant sustentation. (suite de la page précédente) Seule, pour le moment la fusée pa- raît remplir les conditions néces- saires. Jusqu'ici l'homme n'a fait que copier ce que la nature a créé sur la terre en perfectionnant sans cesse ses découvertes et, brusque- ment, voilà qu'apparaissent dans notre ciel de « mystérieux objets >> aux formes inconnues, évoluant dans le silence complet, pour dis- paraître à des vitesses fantastiques. Bien des personnes ne peuvent admettre que ces objets célestes soient réels et viennent d'autres mondes, étant habitués à ne con- cevoir la vie que sous les formes connues sur terre et à ne voir évo. luer dans les airs que des appareils construits par l'homme, aux for- mes devenues familières et qui ont pris place dans leur vie quotidien- ne. Cependant les problèmes que nous posent ces étranges appari- tions sont sérieux et méritent tou- te notre attention. Portons un regard sur quelques rapports d'observations; nous ver- rons que les soucoupes volantes ne sont pas le fruit de l'imagination ni d'hallucination collectives, mais qu'elles sont bien présentes et que les formes sous lesquelles elles se manifestent n'ont rien de mysté- rieux. 1 Le 7 janvier 1948, marque une date très importante dans l'étude des astronefs extra-terrestres. Le capitaine Thomas F. Mantell pilote chevronné de la dernière guerre trouvait la nort en prenant en chasse une gigantesque soucoupe. Pour les personnes qui s'en sou- viennent, le cas Mantell fit beau- coup de bruit dans le monde à cette époque. Vers 13 heures 15, le 64 ciel de l'Etat de Kentucky était traversé par un gigantesque disque paraissant métallique, d'un diamè. tre d'environ 75 mètres. Le dessus épousait la forme d'un cône ren- versé, sur le sommet duquel cli- gnotait par intermittence, une lueur rouge. Des milliers de per- sonnes observèrent l'objet. Fort Knox, immense coffre-fort où est déposé tout l'or des U.S.A. était sur la trajectoire. Par prudence, la police d'état alerta le fort; mais l'objet poursuivait son vol et, à 13 heures 45, évoluait au-dessus de la base aérienne de Godman, pro- che de Fort Knox. Alertés par un guetteur, tous les officiers de l'aé- roport, y compris le colonel Guy Hix, chef de la base et son second, le commandant Woods, observe- rent l'étrange astronef. Au même moment, trois chasseurs Mustang F. 51, commandés par le Capitaine Mantell, effectuaient un vol d'en- traînement. L'ordre fut donné par la tour de contrôle de prendre cet immense disque en chasse. La poursuite commençait: à 14 heu- res 45, Mantell faisait savoir que l'objet était juste au-dessus de lui, qu'il paraissait être métallique et énorme. A 15 heures 8, la voix de Mantell se faisait entendre à nouveau dans les hauts parleurs et pour la der. nière fois. Il annonçait que l'objet montait à la vitesse de 500 kilo, mètres à l'heure et qu'il le poursui. vrait jusqu'à 7.000 mètres et, s'il ne pouvait le rattraper, il abandon- donnerait la chasse. Puis, ce fut le silence. Mantell avait disparu, et la soucoupe aussi. Plus tard, dans la journée, on retrouvait les débris de son avion dans un rayon de plusieurs kilo- mètres. Le F. 51 avait été pulvé. risé en plein ciel. Une explication satisfaisante de cette désintégra- tion ne fut jamais donnée. Une autre observation qui fit beaucoup de bruit sans causer, cet- te fois de pertes de vies humaines, fut celle d'Oloron (Basses-Pyré- nées). L'enquête fut effectuée par la commission « Ouranos ». Le phé. nomène se produisit le 17 octobre 1952. De nombreux témoins purent l'observer. Parmi ceux-ci se trou- vait Monsieur Yves Prigent, sur- veillant général du collège d'Olo- ron, Mme Prigent, sa femme, insti- tutrice, le concierge du lycée, M. Pardie et sa femme et M. Bordes, maire de Géronce. Il était 12 heures 50 quand ap- parut dans le ciel un corps cylin- drique incliné à 45°. Sa couleur était blanchâtre et à son extrémité supérieure s'échappait une fumée d'un blanc bleuté. Il se déplaçait en direction sud-ouest à une alti- tude évaluée à 2 ou 3.000 mètres. A quelque distance à l'avant du cylindre, une trentaine d'autres objets de forme sphérique, sui- vaient la même trajectoire. Ils avançaient par groupes de deux en un mouvement ondulatoire et en zigzags rapides et courts. Quand ces soucoupes volantes s'écartaient l'une de l'autre, une traînée blanchâtre, identique à un arc électrique, les unissait. Obser- vées à la jumelle, elles apparais- saient sous la forme d'un globe rouge entouré d'un anneau jaunâ- tre très incliné. Cette inclinaison cachait presque la partie inférieure de la sphère. De tout ce cortège d'objets mys- térieux tombaient lentement une abondante quantité de fils sem- blables à du nylon qui s'accro- chaient aux arbres, aux fils télé- phoniques, aux buissons. Récupé- rés par de nombreux, témoins, ces fils à la stupéfaction de tous, passèrent rapidement à l'état gé- latineux, puis à l'état volatil: ils se sublimaient pour disparaître entièrement. Les professeurs du collège purent constater malgré tout que, lorsqu'ils y mettaient le feu, ils brûlaient comme de la cellophane. Malheureusement, au- cune analyse ne put en être faite. Dix jours après, c'est-à-dire le 27 octobre à 17 heures, un phé- nomène identique se reproduisait cette fois dans le ciel de Gaillac. Ces rapports d'observation (cas Mantell, Oloron, Gaillac), nous montrent que ces astronefs se sont montrés sous des formes différen- tes, l'une: un gigantesque disque, les autres: un cylindre escorté d'astronefs sphériques entourés d'un anneau. L'observation effec- tuée au Bourget dans la nuit du 13 juin 1952, nous montrera un autre type de ces mystérieux cbjets célestes. Cette nuit-là, Messieurs Vullot et Damiens, tous deux techniciens à la tour de contrôle, étaient de service. Le ciel était couvert à 5/8 à 1.000 mètres, et à 8/8 à 3.000 mètres. C'est-à-dire com- plètement. Soudain, dans la direc- tion sud-Ouest, les deux hommes apercevaient, immobile dans le ciel, une boule rouge. Elle appa- raissait environ trois fois plus grosse que Vénus lorsqu'elle at- teint son maximum. Ils l'observe- rent pendant une heure, toujours à la même position. est alors que l'avion postal F.B.E.F.M. venant de Nice et s'ap- prêtant à atterrir, observa à son tour l'étrange phénomène et le si- gnala à la tour de contrôle. Tandis que l'avion s'immobilisait sur le terrain, la boule rouge se mettait en mouvement dans la di- rection de l'ouest. Dix minutes plus tard elle disparaissait. Dans cette observation, l'astro- nef prend l'aspect d'une sphère rouge. Mais de nombreux rapports mentionnent des sphères d'un éblouissant, ou d'un très blanc beau vert. Pourquoi ces astronefs venant d'autres mondes ont-ils des formes si particulières? Ces aspects n'ont- ils pas suscité bien souvent chez des personnes sceptiques, se refu- sant à croire aux soucoupes vo- lantes, de la moquerie ou du doute? . Rien de ce que nous possédons à notre disposition sur notre terre ne peut nous permettre de répon- dre à de telles questions. L'expli- cation doit donc venir de ce qui est au-delà de notre globe, c'est-à- dire, par ce qui constitue et meu- ble l'espace stellaire. L'astronomie va, de nouveau, nous être utile. Ces habitants des autres mon- des, qui ont construit, étudié, et qui pilotent ces étranges astronefs, ont peut-être passé, aussi, sur leur planète d'origine, et il a sans doute de cela très longtemps, par des stades de civilisations et d'évolu- tions identiques aux nôtres. Ils ont pu faire les mêmes découver- tes que nous posséder des moyens de locomotion identiques aux nô- tres, ils ont pu avoir des avions, puis des fusées qui leur ont per- mis de faire comme nous leurs premiers pas dans l'espace. Leurs astronefs actuels nous prouvent' qu'ils ont atteint la perfection dans les voyages sidéraux. Les formes qu'ils leur ont données ne peut être que le fruit des recherches qu'ils ont effectuées dans l'espace. Si l'étude du vol de l'oiseau a été utile aux hommes pour cons- tuire des appareils leur permet- tant de se déplacer dans l'atmos- phère, il paraît logique que l'étu- de de la forme des astres se ré- vèle nécessaire pour la construc- tion d'astronefs destinés aux (suite page suivante) AUJOURD'HUI "STAR CINE ROMAN,, VOUS PRESENTE ケノン L'EPEE ET L'AMOUR AVEC: REX HARRISON-VIRGINIA MAYO GEORGE SANDERS MISE EN SCENE: DAVID BUTLER 65 (suite de la page précédente) grands voyages dans les espaces sidéraux. Chaque étoile, chaque planète prend l'aspect d'un globe. Plus la planète est grosse, plus elle est ovalisée. La galaxie, constituée par des milliers et des milliers d'étoi- les et de planètes, forme un en- semble encore bien plus ovalisé, puisqu'elle prend l'aspect d'un disque. Ces différentes formes d'astres, ou d'ensemble d'astres, sont ob- tenues par les forces créatrices de l'univers, transformant les diffé- rentes énergies en matière et per- mettent à cette matière, devenue des astres, de se déplacer dans l'univers à des vitesses prodi- gieuses. Peut-être est-ce à la suite de ces observations, puis de ces études qu'ont été créées les soucoupes vo- lantes. Reprenons l'observation du Bour- get. Ce globe rouge qui fut ob- servé par des témoins sérieux et qualifiés, ne peut-il pas être com- paré à une minuscule planète? Comme elle, il peut grâce à sa forme, fuir dans l'espace à des vitesses fantastiques. 2 3 Ces immenses navires de l'es- pace serviraient à effectuer les voyages entre les planètes. Ren- dus à proximité de notre atmos- phère, ils largueraient et récupé- reraient des appareils plus petits Les sphères entourées d'un an- neau et observées à Oloron, ne sont-elles pas la reproduction de LES MOTS CROISES 4 5 9 7 DO 8 G 10 la planète Saturne? Si les anneaux de cette planète ne nous ont pas livré leurs secrets, ils ont certai- nement une grande utilité qui a été comprise et mise à profit par les habitants des autres mondes. Pour les grands astronefs dis- coïdaux si souvent observés et semblables à celui pris en chasse par le Capitaine Mantell et qui fut la cause de sa mort, semblables aussi à ceux qui furent observés dans le ciel des U.S.A. principale- ment dans le sud et le sud-ouest des Etats-Unis pendant l'année 1957, et dont certains atteignaient un diamètre de 150 mètres, on ne peut rester indifférents en com- parant la similitude de formes exis- tant entre ces appareils et une galaxie, par exemple la galaxie spirale d'Andromède. Si ces galaxies peuvent être comparées à d'immenses vaisseaux naturels, transportant des milliers de soleils avec leurs planètes, il apparaît d'après bien des rapports d'observations, que les immenses disques seraient des astronefs- mères, transportant des appareils de dimensions plus réduites. 1 66 ITTYVIXX SOLUTION HORIZONTALEMENT: 1. Remplaçant; 2. Ava- rice; 3. Corée Sels; 4. Olives; 5. Nuée Oak (oak Ridge); 6. Ternissure; 7. Ar (Ra) - Insista; 8. Croire; 9. Léo - Uas (USA); 10. Eliminera. : ERTICALEMENT: 1. Racontable; 2. Evo- luer El (le); 3. Marier - Coi; 4. Prévenir; 5. Liée Inoui; 6. AC assez) CES Sir; VIII. Epouseur; 9. Nul - Art - Aa; 10. Tes - Keats. Session; 7. HORIZONTALEMENT 1. Sur la touche pendant le match. 2. Symbolisée par. Harpagon. 3. Au nord-est de la Chine - Composés chimiques, 4. Avec l'apéritif. 5. Grand nombre d'une ville du Tennessee. 6. Supprime l'éclat. 7. Envers d'un dieu égyptien Appuya. 8. Prendre pour vrai. 9. Prénom étranger Ana- gramme d'un pays. 10. Supprimera. VERTICALEMENT - - 1. Peut-être narré. 2. Progresser Envers d'arti- Partie cle. 3. Associer Sans rien dire. 4. Devancer. 5. Attachée - incroyable. 6. Euph: cela suffit - Pour qu'une assemblée délibère. 7. Démonstratif - A un anglais respectable. 8. Prétendant. 9. Personne - De chaque pays, Fleuve de chaque époque du Nord. 10. Possessif Poète anglais du XIXe siècle. IMPRIMERIE IN,GRA.B.E. S.p.A. - 93, Via Galla Placidia - Rome chargés d'accomplir des missions autour de la terre, ou sur la terre. L'observation effectuée dans la nuit du dimanche 22 au lundi 23 Août 1954 par Monsieur Bernard Miserey nous en montre un exem- ple: le témoin, fils d'un commer- çant de Vernon (Eure), venait de mettre sa voiture au garage. Il était une heure du matin. Le ciel était clair. M. Miserey jeta négli- gemment un coup d'oeil vers la Seine qui coulait à proximité de la rue, quand à sa grande stupé- faction, il vit dans le ciel plafon- nant en un point fixe, au-dessus du fleuve, un objet allongé de très grande dimension, de couleur rou- ge et paraissant relativement bas. Il se tenait sensiblement à la ver- ticale au-dessus du pont enjam- bant la Seine. Soudain, de l'avant de l'astronef se détacha un disque de couleur sombre, surmonté d'un dôme rou- ge. Un hâlo lumineux enveloppait l'appareil. Ce disque plongea ver- ticalement vers la Seine, puis ef- fectua un large virage et disparut à grande vitesse vers le Nord. Presque aussitôt sortirent de l'as- tronef « porte-soucoupes » un deu- xième, un troisième puis un qua- trième disque identiques au pre- mier. Après avoir effectué la mê- me manoeuvre, ils disparaissaient dans la nuit. Au bout de quelques minutes d'accalmie, une cinquième soucou- pe apparut et plongea, elle aussi, vers la Seine, mais si bas, qu'elle donna à M. Miserey l'impression qu'elle allait s'engloutir dans le fleuve. Elle s'immobilisa à quel- ques mètres de l'eau, puis, dans un démarrage foudroyant, prit la direction du Nord. Pendant cette dernière manoeu- vre, le grand astronef s'était lit- téralement évanoui. L'observation suivante, effectuée le 6 décembre 1952, au-dessus du golfe du Mexique, nous montre un phénomène inverse. Ce jour-là, un avion américain fut pris en chasse par un groupe de soucoupes volantes quand, sou- dain, l'équipage de l'avion aperçut huit de ces appareils disparaître dans un énorme astronef qui s'é loigna à une vitesse prodigieuse. Tous ces rapports d'observations ne nous montrent-ils pas la preu- ve irréfutable que les Etres qui viennent nous observer ont cons- truit leurs appareils d'après les principes de l'univers? Il est fort possible, qu'un jour, ces formes d'appareils encore étranges pour nous, seront pour. les générations futures, devenues familières. Ne représentent-ils pas l'avenir de nos voyages dans l'espace? René Samson EDITE EN ITALIE SCC 50