«MARINER » N'A PAS REJOINT VENUS MAIS DES FRANCAIS ONT VU DES MARTIENS PRES l'échec de Mariner» l'envoi sur Vénus d'un nouveau laboratoire spatial permettra-t-il de savoir si la vie existe sur cette planète ? Les techniciens de l'espace l'affirment. Mais, pour plusieurs Français, depuis des an- nées déjà, le doute n'est plus possible. Il y a de la vie sur Vénus et sur Mars aussi. Cinq Français, ont vu des Martiens et « Sans bras >>> C'est dans un champ de mais que Mme Leboeuf, de Chabreuil (Drôme) apercut. en octobre 1954, un homme d'un autre monde. C'était, dit-elle, un étre de petite taille, vetu d'une combinaison trans- parente. Il avait l'air d'un gosse qu'on aurait « L'EXTRATERRESTRE » DE MARCILLY-SUR-VIENNE LUI RESSEMBLAIT. oins, en sont sûrs parce qu'ils des Vénusiens. mis dans un sac de cé- lophane. Son visage était Icelui d'un homme, mais il ne semblait pas avoir de bras... Mme Leboeuf fut si ef- frayée, qu'elle ne le détailla NUDISME Albums abondamment illustrés de vraies photos naturistes Noviciat nudiate grand format luxe; Chez les dieux nus gd format luxe; Paradie hud #1 format luxe e et guide activités mudiate a nudistes: Je aula un Budiate 248 pages, Un album 11 NF. es volumes et 2 autres - vrages du même auteur, selt 7 ouvrage Paris (COP 7816-18) NF Pyréndes + COLLA+ tout articles d'hygiene. TOUTES PHARMACIES TETINESS OJDE J OLIE, riche et célibataire la princesse Soraya, qui vient d'acheter un appartement à Saint- Tropez, reste cette année encore une des ve- dettes de la saison sur la Côte d'Azur. Une vedette de qui l'on parle beaucoup, à qui l'on prête un nouveau flirt dès qu'elle se montre en public avec quelque play boy à la mode, mais dont la vie privée conserve pourtant un mystère. La princesse solitaire TICH Les photos publiées dans ce numero sont des Agences Lynz. Parimage, A.GIP Dalmas, Rapho, Keystone et de nos collaborateurs Lu- rien Viguter Lestang, Col- leen et Roger Frey. Distribue par pas plus avant. Elle alla se cacher dans une haie. Mais. soudain, elle vit un étrange engin s'elever dans le ciel. Il pouvait avoir, ajoute le témoin, trois mètres de diamètre et soixante centi- mètres d'épaisseur. Je l'aper- cus qui volait en biais pen- dant une centaine de mètres, puis, qui basculait de l'ho- rizontale à la verticale pour s'élever tout droit à une vi- tesse vertigineuse... Boelété d'Edision et de Publica- La Prome tion du Tour oublies dan La Tous les articles t Presse sont places sous la protes tion du copyright international Leur reproduction est interdite EN accord. 7, rue du A la même époque, úne creature. extraterreste est aperçue dans la Vienne, à Lavoux. Ce cas, écrit le grand spécialiste Aimé Michel, est un de ceux qui ont le plus contribué à répandre l'opi- nion que toutes les soucou- pes volantes de l'époque furent inventées par des cer- velles facétieuses ou déran- gées, ce que je me garderai bien de contester, pourvu que l'on m'accorde que dé- rangement et facétie obéis- sent à une stricte géomé- trie. > Le président du Consell d'Admi- nistration, directeur de la pu. blication : G-E D'ALaports-Presse Des traces laissées dans le champ par l'en- gin (épis brisés, bran- ches arrachées) ont con- firmé le témoignage de Mme Lebœuf. ABCDEFG La Presse PAGE 14 3-8-62 Vers 19 heures, donc ce soir là, M. Roger Barrault, de Lavoux, roulait à bicy- elette près du village, lors- que, dans le crépuscule tom- bant, il se trouva soudain nez à nez, avec une sorte. d'être indéfinissable logé dans un scaphandre». COMPOSE AUX IMPRIMERIES LAMARTINE SA 59.61, rue La Fayette, Paris IMPRIME ( INDUSTRIELLE A L'IM-landen, lary Selee - Il était haut d'en- viron 1 m 50, affirme M. Barrault, ses Jam- bes n'avaient pas de talon, il disposait d'une tête» ressemblant à une vaste touffe de poils avec des yeux» bril- Cet étrange "Sexy" qui courtise Soraya.. tlons draconiennes, dont la première serait que l'ex.impératrice ne convolerait pas sans son consentement. cette idylle (?) quand. le beaut Sacha ayant pour un temps dis- paru de l'horizon tropézien, un nouveau chevalier servant apparut au côté de la fascinante jeune femme le champion belge de tennis Philippe Washer. Le couple devait bientôt se rendre à Paris dans la Mercédés décapota- ble que la princesse pilote elle- même. Délivrée de tout souci matériel par l'énorme pension alimentaire que lui verse l'époux qui la répu- dia. le Shah d'Iran Mohammed Rezachal Pahlevi. l'ex-impératrice avoue volontiers à ses intimes que. malgré les attraits de la dolce vita, elle s'ennuie, et depuis des années. C'est ce désavrement qui, un de moment. l'incita à envisager faire une carrière d'actrice au cinéma, un projet auquel le Shah mit son velo. C'est encore lui qui. l'année dernière, la poussa à s'oc- caper d'affaires. On sait qu'elle commandita M. York Noble, un industriel viennois avec qui elle créa Baden une usine pour la fa- brication d'une petite voiture à trois rours, la Noble, dont le suc cès ne répondit pas aux espirances des constructeurs. La princesse, cepen- dant, souffre moins de son inaction que de sa solitude. A trente ans, elle doit lutter contre une certaine tendance à l'embonpoint- un dur combat, car il se trouve que la gourman- dise est l'un de ses pé- chés mignons -et devenir elle a peur de laide et de vieillir avant d'avoir refait sa vie avec le compagnon de son choix. A différentes reprises, il a sem ble qu'elle ne tarderait pas à se re- marier. On l'a dite fiancée successi vement au prince italien Orsini, banquier espagnol Antonio Munoz, au baron allemand Ha- rald von Krupp Boblea. enfin à l'acteur irlandais Hugh O'Brien. Toujours, l'idylle tourna court. lants; deux espèces de phares superposés ver- ticalement, extrêmement lumineux, remar- quaient à mi-corps. sur face avant. se L'être se déplaça sur la route pendant une minute environ devant M. Barrault paralysé puis disparut entre les arbres de la forêt proche. Par la volonté, di- sent les gens informés, de Téhéran ». On prétend, en effet, que, s'il a rendu sa liberté à sa première épouse en assurant des reve- lui nus princiers, le Shah a mis à ses largesses certaines condi- Un rayon paralysant L'un des plus intéres- sants récits sur les sou- Icoupes volantes et leurs. pilotes, est celui de M. Marius Dewilde, métallo de Quarouble (Nord). C'était un soir de septem- bre, à 22 h 30. Alertè par son chien, M. Dewilde aper- cut, derrière la palissade de son jardin, deux êtres qu' décrit ainsi : Ils avaient la tête enfer- mée dans un casque de sca- phandre. Ils étaient de très petite taille, pas plus d'un Un consentement qu'il aurait jusqu'à présent toujours refusé. sous un prétexte ou sous un au- tre. mètre, mais extrêmement larges d'épaules, et le casque protégeant la tete me parut Deux flirts sans importance... Masy énorme. Je vis leurs jambes, proportionnées à leur taille.. Par contre, je ne leur vis pas COMME ON LES VOYAIT AUTREFOIS Il y a quelques semaines. on parlait beaucoup, à Saint-Tropez. A QUAROUBLE (NORD), LES « MARTIENS >> ETAIENT DEUX. romance entre Sacha June Distel et Soraya. L'ex-fiancé de B.B. caur à prendre depuis qu'il a rompa avec la jolie Francine Briand, avait rencontré la prin- cesse Chez Ghialaise » et dansi elle jusqu'aux premières lurars de l'aube. Au petit jour. tous deux étaient partis, la main dans la main. avec On s'interregeait encore sur LES LITTERATEURS ONT DONNE AUX CREATURES D'AUTRES PLANETES DES ASPECTS VARIES. DE GAUCHE A DROITE: UN MARTIEN ET UN SELENITE, VUS PAR H.-G. WELLS; UN SELENITE D'EDGAR POE ET UN AUTRE SELENITE DE GEORGES MELIES, PIONNIER DU CINEMA. de bras. J'ignore s'ils en avaient. Lorsqu'ils m'aperçurent, ils braquèrent sur moi un pro- jecteur qui émettait une lueur intense à reflets verts et dont le faisceau me paralysa. J'avais envie de crier, mais je ne le pouvais pas. Je vou- lais continuer d'avancer, mais mes jambes ne m'obéissaient plus. J'entendis, comme dans un rêve, à un mètre de moi, un bruit de pas sur la dalle de ciment posée devant ma porte. C'étaient les deux êtres qui se dirigeaient vers la voie ferrée proche. Enfin, le projecteur s'é- teignit. Je retrouvai le con- trole de mes muscles et m'a- vançai vers la voie. Mais déjà une masse sombre, qui y était posée, s'élevait du sol. Elle montait en se balançant, un peu comme un helicoptère, sans autre bruit que le sif- flement d'une épaísse fumée noire qu'elle me projetait au visage. L'engin monta à la verti- cale, jusqu'à une trentaine de Quelques jours plus tard So TATA revenait seule à Saint-Tro pez. On se rappela alors que Phi lippe Washer était lié par de ten dres liens à la blonde Christine Howard, cependant que les esprits sabtils se demandaient si ces deux flints trop visibles a en cachaient pas un troisième infiniment plas sirirax (et plas direct): Faimable garçon que toute le monde sur la Cote connait sous le diminutif fa- milier de Saxy . parfois trans formé en Sexy . ...et un troisième qui compte « Saxy » s'appelle, de son vrai Inom. le baron Gunther Sachs von Opel. C'est du moins le nom qui s'inscrit sur ses cartes de visite. un peu abusivement peut-être, d'au- cuns lui contestant aussi bien le ti- tre que le « von » et l' « Opel »>. Gunthers Sachs, qui POUR SORAYA, GUNTHER SACHS VON OPEL N'EST QU'UN CHE- VALIER SERVANT PARMI TANT D'AUTRES. POUR «SEXY », UNE IMPERATRICE MANQUAIT A SA COLLECTION. métres, puis piqua droit vers l'ouest, en prenant encore de l'altitude. Il avait la forme d'une cloche a fromage, hau- te d'environ trois mètres et d'un diamètre de cinq à six, Quand il fut à une certaine distance, il prit une phos- phorescence rouge. En une minute, il avait disparu... a vu le jour il y a vingt- huit ans à Schweinfurt, en Bavière, n'appartient pas à la célèbre famille des constructeurs d'au- tomobiles. Son père, mort il y a une dizaine d'années, était un petit inventeur qui devint milliardaire en lançant la première bicyclette à roue libre. Les usines Sachs comptent par- mi les plus prospèces d'Allemagne. La police de l'air, ap. pelée à enquêter sur les faits observés par M. De- L'HOMME D'UN AUTRE MONDE APERÇU A CHABREUIL. wilde, relevèrent des traces de martèlement sur les pierres du ballast et les traverses des rails. Toujours petits Premier témoignage collectif, celui du chef de chantier de Marcilly- sur-Vienne (Indre-et- mais Gunther, qui en est le direc- teur nominal. n'y parait que rare- ment. Il préfère vivre sur la Côte d'Azur. Vadim, le prince Victor-Em- manuel. le tennisman Jean-Noël Grinda, l'Aga Khan Karim et le comte Volpi sont ses amis intimes et il a apporté sa contribution à la chronique scandaleuse du secteur en se fiançant » à un nombre. imposant de charmantes personnes. parmi lesquelles on peut citer la championne de ski Marina Doria, le mannequin Paule Rizzo. la co. médienne Mara Lane et l'héritière Sylvia Casabiancas, l'ex-fiancée de Karim Aga Khan, qui renonça à devenir Bigum par amour pour Grinda. Depuis quelque temps. « Sexy » passe le plus clair de ses journées dans la compagnie de Soraya et il est évident que l'ex-impératrice n'est pas insensible au charme de ce beau garçon, sportif accompli et danseur hors classe, qui excelle à mettre de l'animation dans les joyeuses nuits de la dolce vita tropézienne. Il semble surtout qu'elle ait été la première à deviner le a secret s de Gunther, que son intutition fé- minine lui ait fait pressentir que le play boy extravagant jouait un role pour se donner le change à lui-même. Gunther, en effet, a perdu il y a quelques années une épouse qu'il adorait, et c'est pour s'étourdir et ou- blier qu'il s'est Jeté dans une vie de plai- sirs, à laquelle il s'ar- rache de temps à autre pour aller embrasser en Suisse son fils, un garçonnet de six ans, en pension à Lausanne. La princesse, elle aussi, cherche A ou- blier, et 11 est très possible que l'analogie de leurs situations ait rapproché Soraya et Gunther. En fast-il conclure que, pour l'un comme pour l'autre. la e ro- mance serait, cette fois, un peu plus qu'une romance» ? D'au- cans le pensent, qui marmarent que, de nouveau, la princesse fe- rait des projets d'avenir. Mais qu'en restera-t-il demain si une fois encore la jalousie ré- trospective du Shah vient rappeler à Soraya qu'une impératrice d'Iran, mime ripodile, n'est pas une femme comme les autres, une femme qui a le droit d'aimer selon son cœur, et sans rendre de comp- tos à quiconque LES ANGES APERÇUS PAR LE PROPHETE EZECHIEL, AVEC LEURS MASQUES D'HOMMES OU D'ANIMAUX, N'AURAIENT ETE QUE DES CREATURES EXTRATERRES- TRES VENUES PAR UN VAISSEAU-MERE (EN HAUT, A DROITE) ET DES MOYENS DE DEPLACEMENT INDIVI- DUELS EN FORME DE ROUES (A GAUCHE EN BAS). Loire), M. Georges Ga- tey et de ses six ouvriers. L'engin aperçu par eux était de forme circulaire. Il élait surmonté d'un dome equipe de pales semblables à celles d'un hélicoptère. Il était gris et pouvait mesurer 4 m 30 de diamètre et 2 m d'épaisseur. Il ne se posa pas. Il se tint en vol immobile à un métre du sol. les pales tournant très rapidement. Un homme de petite taille, 1 m 50 environ, coiffé d'un casque en matière opaque ressemblant a du verre brouille, se tenait à proxi- mité. Il était vêtu d'une com- ton binaison de neutre, chaussé de bottillons et tenait à la main une sorte de gros revolver ou un tuyau. Sur sa poitrine, un disque très bril- lant émettait un jet d'une lu- mière très intense. M. Gatey est formel: l'en- gin et son pilote étant restes une demi-minute, il a cu tout le temps de l'examiner. Mais, de même que ses ca marades, il ne put rien faire. pour entrer en communica- tion avec l'étrange visiteur. Comme M. Dewilde, il fut cloué au sol et pa- ralysé par le mystérieux rayon lumineux. Jusque dans la Bible On pourrait multiplier les témoignages. Et pas seule- men en France, puisque, rap- pelons-le, c'est un aviateur américain, Kenneth Arnold, qu aperçut le 24 juin 1947, au-dessus du mont Rainier (Etat de Washington). neuf objets scintillants évoluant à hauteur du pie neigeux qui, précisa-t-il, ressemblaient à des soucoupes surmontées d'une protubérance qui af- fectait la forme d'une tasse renversée ». Mais sl Kenneth Ar- Inold reste l'inventeur de la formule volante. (flying sau. cer). soucoupe ARMI les nombreuses réponses qui nous sont parvenues à la sulte de notre question : « Et vous, condamneriez-vous P B.B. ? et qui, toutes, concluent par la négative en voici deux particuliè- rement significatives: Je ne rois pas pourquol le journal du Vatican a chol- al Brigitte pour cette se- monce morale. Elle a les maurs de toutes les stars et une grande partie de sa notoriété est due à la publi- cité que lut font les journa- listes et les photographes. ILS NE CONDAMNENT PAS B.B. B. B. Absoute J'incline à penser que les spectacles des Foltes Bergère. du Casino de Paris, du Sexy. etc., sont aussi peu chas- tes que les déshabillés de B.B. et les formes impeccables de cette jolie femme n'acill- ralent pas le ciscau d'un nou- veau Phidias. D'ailleurs < l'Observatore romano alme aussi les déshabillés, par exemple quand il fait re- commander, sous la tiare pontificale, le parfum tou- te poésie et désir» par des femmes sery> pendues au cou d'un gentleman, dans le numero du 24 décembre 1926 ! > il est loin de l'être de la elle-même. chose en puisqu'on en trouve des témoignages jusque dans la Bible. notamment à propos d'une vision d'E- zéchiel, l'un des quatre grands prophètes hé- breux ayant vécu au VI siècle avant Jésus- Christ. Et que, la littérature et le cinema s'en mélant, on con- nait déjà les Venusiens et Se- lénites sortis de l'imagina- tion d'Edgar Poe, H.-G. Wells, Méliés et autres. Jolie Brigitte, méprisez les menaces contre tos films. Ce serait la meilleure réclame, On y courrait I. ON LA TETE DU MARTIEN DE LAVOUX ETAIT GARNIE DE POILS. Firmin Granlé Boujan-sur-Libron (Hérault) Dans cinquante ans per- sonne ne demandera à B.B. de jeter ses colles mais pour Tinstant elle fait partie d'une famille de cing cent millions d'admirateurs. C'est un plai- air sans cesse renouvelé des sens par tous ses aspects agreables. Je plains sincèrement les Jalour et moralistes a rebours car ces derniers se gardent bien de stigmatiser les films d'horreur et de détraqués au- trement redoutables sans par- ler des énervés, blousonS CO- lories, apaches en tous gen- res et autres graines de vio- lence! B.B. a un genre blen per- sonnel extrêmement sympa- thique et puis Dieu n'a pas fait de belles choses pour qu'elles restent cachées. Pour le reste, son corps est à elle et les moralistes attar- dés seraient mieur inspirés s'ils employaient leur puis- sance terrestre et occulte pour lutter contre les fauves de la route par exemple, plus redoutables et presque im- punis, Marcel de G. rue Barla Nice (A.-M.) HUMOUR B ERNARD SHAW atten- dans l'anticham- bre d'un dentiste. En- tre une dame qui, tout de suite, se précipite vers l'écrivain Y a-t-il longtemps, monsieur, que tous allen- dea? Alars Bernard Shave, ca ressant sa barbe blanche: - Rassures-rous, mede- me; je l'avais avant de venir ici.