besie savons ouvert dans nos valu un volumineux courrier. les unes vindicatives, les nous clôturerons les débats. ages entendus, réquisitoires niversitaire connu.... docteur liser un pseudonyme, la ses propres termes « de »! mar H. les nier a priori, c'est non d'un manque de prcbité, mais ceux qui ont vu, et que leur némoigner par écrit, des résul- souvent les bénéficiaires Mais aussi, avouer implicitement e sans la connaître. au lieu de ces milliers de que quelques-uns, ce serait Tattention d'un esprit scienti- difficilement que des faits whé, et qui sont demeurés sans suscité plus de moqueries que Tétude de la radiesthésie cité de celle des rayonnements. aines personnalités scientifi- tions officielles des résultats adeptes de plus en plus grand a su résister à tous les détrac- e antiquité, sont une série de preuves - pour ceux qui, en nt savoir... pr H. SILT bérie médicale. Novembre: La cembre: La radiesthésie archéolo- a adresser ces numéros mande à Tout Savoir, 49, avenue e. Joindre 100 francs par exem- aire désiré. (2) Il nous parait utile d'en citer lques-unes, je nommerai, en plus CENX déjà cités dans notre aite: Charles Richet, d'Arson- Lallemand, de l'Institut; Louis fact, R. Dautry (ancien élève de technique, ancien directeur géné- des Chemins de Fer de l'Etat, cien ministre), C. Dumanois (Ins- er général de l'Aéronautique), Farnier (ancien chef du laboratoire Rayons X au ministère de l'Air), Hersent (ancien Président de la ciété des Ingénieurs Civils de France), Général Hirschauer (ancien Directeur de l'Aviation militaire), Pitois (Ingénieur en Chef de Aironautique), docteur Pauchet, cien Président de la Société des Midecins de Paris; Armand Viré facteur ès sciences, ex-Directeur du Laboratoire de Biologie souterraine du Masium National d'Histoire Natu- alle; et Mme Colette, de l'Académie Goncourt. en Voici les « lumières de Lubbock »>, sur l'une des cinq photo- graphies prises 1951 par un jeune homme de 18 ans, Carl Hart, habitant Lubbock, au Texas. Elles ont intrigué les savants les plus émi- nents. Mais dès 1886, un jeune homme du pays de Galles signa- lait un fait exacte- ment semblable. LES SOUCOUPES VOLANTES? UNE VIEILLE HISTOIRE !... Robert L. Unger l'archiviste des soucoupes volantes. Il y a dix-neuf siècles les Latins avaient déjà remarqué ces « boucliers de feu » dans le ciel de la campagne romaine et le sage Sénèque en expliquait tout bonnement l'appa- rition par le « choc de masses d'air condensé >>. SAN ANS remonter jusqu'aux premiers âges de notre ère, Robert L. Unger, spécialiste de la question, a pu trouver plus de 300 récits faisant état de phénomènes analogues au cours des der- niers siècles. Ainsi, en 1872, longtemps avant l'apparition des avions ou des ballons-sondes en plastique, la Société Royale de Météorologie de Grande- Bretagne reçut une étrange communication de la part du capitaine d'un voilier, le Lady of the Lake. Alors qu'il faisait route vers l'Angleterre, revenant des tropiques, l'équipage avait attiré l'attention du capitaine Banner sur une vision stupéfiante, dans le ciel teinté par le soleil cou- chant. Par la suite, le capitaine Banner la décrivit sur son livre de bord comme « un nuage de la forme la plus curieuse ». C'était une lueur cir- culaire d'un gris clair. Cela ressemblait, écri- vit-il, à « un soleil ou une lune entouré d'un halo ». De plus, cela se comportait tout diffé- remment d'un nuage. Cet engin étrange pro- gressait face au vent s'élevant d'un point dans le sud-ouest où il n'y avait aucun nuage, jus- qu'au moment où il arriva presque à la verticale du navire. Là, il plana un instant, et les marins surpris remarquèrent qu'il portait des marques bizarres et qu'il était doté d'une queue bien distincte, comme celle d'une comète. Le capitaine nota en outre que « des morceaux de cirro-cumulus semblaient s'échapper de l'arrière ». Au bout d'un moment, piquant vers le bas, l'engin se dirigea vers l'horizon, toujours face au vent, et disparut dans le nord-est, alors que la nuit tombait. Une copie de ce récit, extrait du livre de bord, fut envoyée à la Société Royale de Météo- rologie. A la séance qui suivit, le 15 juin 1873, la communication fut lue, commentée et écartée... comme inexplicable. S'il s'agit d'une mystification, elle est à l'échelle... astronomique. De pareils phénomènes confondent encore les savants. Certes, nombre de « soucoupes volan- tes» aperçues au cours de ces dernières années se sont révélées n'être que des ballons-sondes de météo ! Mais un porte-parole de l'Aviation américaine déclarait encore au printemps der- nier « Un grand nombre des apparitions dont il a été rendu compte ne peuvent être expli- 81 quées. En conséquence, aussi longtemps qu'il le faudra, l'aviation militaire continucra d'étu- dier ce problème. >> C'est précisément à ce fameux problème que réfléchissait Robert L. Unger, actuellement agent technique de la R.A.C. de Farmingdale. Il se demanda depuis combien de temps de tels engins faisaient de furtives apparitions dans notre ciel. Pendant la guerre, il avait piloté des forteresses B 25 et, depuis, il suivait les cours de l'Université. C'est au cours de cette dernière période qu'il découvrit la longue his- toire des « soucoupes volantes »>. Il déclare maintenant qu'il a pu rassembler des centaines de documents dont certains remon- tent à 355 ans et qui relatent des faits ana- logues à ceux qui furent rapportés par le capi- taine Banner il y a 80 ans. Les livres d'un certain Charles Fort, autenr mi-scientifique, mi-mystique, qui mourut en 1932, l'incitèrent à poursuivre cette fascinante recherche. Fort avait compulsé des centaines d'écrits scientifiques; certains d'entre Cux remontaient au seizième siècle. Il en avait extrait les comptes-rendus d'événements étranges qui s'étaient produits dans le ciel et que la science n'était jamais parvenue à expliquer d'une manière satisfaisante. Les << lumières >> de Lubbock ont encore obscurci le problème. Unger, dès 1948, suivit les traces de Fort, triant avidement tous les rapports qui concer- naient des apparitions de « soucoupes ». Il remonta soigneusement à la source de chacune de ces informations, et en trouva ainsi un bon nombre d'inédites. De tous les phénomènes déconcertants signa- lés depuis 1947, époque à laquelle remonte le vocable de « Soucoupe volante », les plus dif- ficiles à expliquer sont ceux qui concernent les lumières de Lubbock. C'est le nom donné à de mystérieux groupes de points lumineux aperçus par plusieurs observateurs dignes de foi, habi- tant la ville de Lubbock dans le Texas et qui, à plusieurs reprises, virent ces points traverser silencieusement l'obscurité du ciel en 1951, ceci à une vitesse fantastique, et très distinctement en formation de vol épousant la forme d'un V. Quand Unger lut les premiers rapports en provenance de Lubbock, il se souvint aussitôt d'un cas communiqué à la revue américaine Monthly Weather Revue en 1904 par L. H. Schofield, lieutenant à bord d'un ravitailleur de la Marine. Peu après 6 heures du matin, le 28 février de cette année-là, le lieutenant et deux membres de son équipage furent frappés de stupeur en voyant ce qui semblait être des météores, 82 1 L 182 **** fe43 *************** ******** ************************* ************************* ******** ******** ******** ***************** (Bahag*** **$4 www *******S ***** Packers Des météores >>> se déplaçant en groupe et se comportant comme une formation aérienne chargée d'une mission bien précise avaient été vus en mer... venant du nord-ouest en un petit groupe serré et se précipitant en direction du navire. « Tout d'abord, écrivait Schofield, leur dépla- cement en piqué était extrêmement rapide et leur coloration d'un rouge brillant. Mais alors qu'ils approchaient du navire, leur trajectoire se releva de 45° et ils bondirent vers les nuages. qu'ils ne tardèrent pas à traverser. Puis leur course se redressant progressivement, ils sem- blèrent s'écarter de la terre sous un angle de 75" et disparurent dans la direction de l'ouest- nord-ouest. >> Le plus gros des météores, aux dires de Scho- field, paraissait six fois plus gros que le soleil, avait la forme d'un ceuf. et menait la marche. Deux autres étaient parfaitement ronds, l'un d'eux avait deux fois la taille du soleil, l'autre. avait celle du soleil lui-même. Quand ils s'écar- tèrent brusquement de la direction du navire, qu'ils suivaient jusque là, il n'y eut pas de modifications dans leurs positions relatives »>. Quand, en 1948, les journaux commencèrent dès 1904. Unger a constaté << soucoupes » en trois catégori rapidement. C'est en à parler de terrifiantes boul brillant, que des centaines d sud-ouest avaient vues trave rapide, horizontal et silenc collines dénudées. Unger se compte-rendu similaire qu'il un vieux numéro d'un maga teur, un astronome anglais, le plus frappant qui lui avan d'un tel phénomène, s'était claire soirée d'automne. De mystérieux astre observent d'un au « Un grand disque cireuls dâtre apparut soudainement comme un astre venant jas traversa le ciel d'un mouve constant que celui du soleil, étoiles, mais près de mille écrivait-il. Comme il se dépl 2009/2010/111SUT se déplaçant en groupe et ne formation aérienne chargée cise avaient été vus en mer... en un petit groupe serré direction du navire. rivait Schofield, leur dépla- ait extrêmement rapide et rouge brillant. Mais alors da navire, leur trajectoire bondirent vers les nuages pas à traverser. Puis leur progressivement, ils sem- la terre sous un angle de ans la direction de l'ouest- météores, aux dires de Scho- Hois plus gros que le soleil, af, et menait la marche. #parfaitement ronds, l'un is la taille du soleil, l'autre i-même. Quand ils s'écar- de la direction du navire, que là, il n'y eut pas de s positions relatives »>. les journaux commencèrent dès 1904. Unger a constaté que tous les comptes-rendus datant des trois derniers siècles classent les fameuses << soucoupes »> en trois catégories disques, objets en forme de cigares et lumières inexplicables se déplaçant rapidement. C'est en 1947 que ces phénomènes reçurent le nom de « soucoupes volantes »>. à parler de terrifiantes boules de feu, d'un vert brillant, que des centaines de personnes dans le sud-ouest avaient vues traverser le ciel d'un vol rapide, horizontal et silencieux, au-dessus des collines dénudées. Unger se souvint encore d'un compte-rendu similaire qu'il avait relevé dans un vieux numéro d'un magazine de 1882. L'au- teur, un astronome anglais, disait que l'exemple le plus frappant qui lui avait été donné de voir d'un tel phénomène, s'était produit par une claire soirée d'automne. De mystérieux astronautes nous observent d'un autre monde. Kötula « Un grand disque circulaire de lumière ver- dâtre apparut soudainement dans l'est-nord-est comme un astre venant juste de se lever, et traversa le ciel d'un mouvement aussi uni et constant que celui du soleil, de la lune ou des étoiles, mais près de mille fois plus rapide », écrivait-il. Comme il se déplaçait << d'une pro- gression égale et uniforme d'est en ouest »>, il s'étira. Quand il croisa le méridien passant juste au-dessus de la lune, sa forme était presque celle d'une ellipse très allongée, et divers obser- vateurs en parlèrent comme ayant « la forme d'un cigare », d'une « torpille », d'un « fuseau >> ou d'une « navette »>. Comme le Dr. Walter Riedel, le célèbre pyro- technicien allemand, et comme le Dr. Maurice A. Biot, spécialiste des choses de l'air, fort connu en Amérique, Unger est convaincu que les soucoupes volantes, les « cigares » et autres lumières inexplicables des cieux nocturnes sont les indices des visites qui nous sont faites par d'autres planètes ! Mais pour lui ces engins peuvent ne pas comporter d'équipages; ils pourraient être radio-guidés, équipés par des appareils de télévision à l'échelle d'un autre monde, et capables d'enregistrer les faits et gestes des Terriens. Si nous nous en rapportions à cette opinion, il faudrait admettre qu'il y a belle lurette que nous sommes épiés ! 83