Le Meilleur du 14 au 20 mai 1976 (part 02) EXCLUSIF LES ASTRO NAUTES AMERICAINS ONT ETE SUIVIS PARDES SOUCOUPES! LA C.I.A REFUSE DE LE RÉVÉLER POUR NI PAS AFFOLER LE PUBLIC UN DOCUMENT TOP SECRET Von Braun I Ce que le Meilleur vous révèle aujourd'hui techniciens de We est pratiquement la violation d'un secret d'Etat. Lors- que le 2 août 1971, Scott et Irwin,, se posent sur la lune, Worden reste seul aux commandes de la cabine spatiale. 22:00-02.08 1 Or, ce rapp existe. Il est ce qu a de plus officie si personne dan presse, ni à le r ni à la télé, n'en jamais parlé, c'est la C.I.A., respons Et, pendant vingt secondes, ce fut un drame hors série que vécurent, d'abord les astronautes, mais aussi tous les techniciens de la N.A.S.A. à Houston qui restèrent, d'une manière incompréhensible, cou- rique, avait reçu pés de toute communication. de la sécurité en A consigne formelle Nixon en personn ne jamais en park A l'époque, ce si- lence avait suscité dans l'ensemble de la presse du monde en- tier, des multitudes de questions qui restè- rent naturellement sans réponses. qu'au moment de son alunissage, la cabine spatiale amé- ricaine a été suivie, escortée, à quelques centaines de mètres seulement, par deux soucoupes volantes ! Tout simpler pour ne pas créen sentiment de pani dans l'opinion pu que ! Car on peut fac ment imaginer le t Aujourd'hui, grâce en témoigner, on en pendant plus de dix minutes par ce qu'il à une indiscrétion du Sommet», on est ble qu'aurait jeté déclaration de W den, un astrona équilibré, parfaitem qualifié pour dis guer un objet à pr mité de la lune. 19 monde en mesure d'affirmer Coupe du pendant dix minutes Tout le monde su Et pour confirmer la véracité de ces faits qui peuvent paraitre exagérés, sinon ex- traordinaires, il y a dans le rapport du colonel Doulay, qui fut un responsable im- portant de la C.L.A., des faits tellement pré- cis et tellement impor- tants qu'ils n'ont Ja- mais été rendus pu- blics, afin de ne pas affoler l'opinion publi que. On tourne la page. | Worden lui-même, a Tout le monde sourit. révélé, lors d'une com- Diable Depuis le parution ultra-secrète temps qu'on en parle à laquelle assistaient, des extra-terrestres, dit-on, deux person- et que personne, vral- nes (dont le patron de ment au dessus de la C.L.A. en personne) tout soupçon, ne peut qu'il avait été suivi objets non fiés et tout le aurait voulu savo qui ils appartena qui les pilotalent, y avait un danger, une foule d'inter tions, qui seraient tées forcément réponse, auraient le trouble dans l nion publique. Le commandant de la mission Appollo XV, David Scott Or, il faut se dre à l'évidence : soucoupes vola existent, et elles n partiennent pas Américains 1 C'est la seule titude actuelle. BROUILLAG TOTAL DES DETAILS PRECIS Lorsque un gendar- me déclare, même so- lennellement, avoir vu un O.V.N.I., la presse quotidienne en fait dix lignes dans sa page des informations gé- nérales ! Si un Instituteur ou plusieurs personnes, se rendent à la gen- Il a fallu un conco de circonstances t à fait fantastique, pi Cela ressemble un appelle des soucou- pes volantes». Il a affirmé les avoir vues ! darmerie pour donner peu au fameux mons- des détails précis sur tre du loch Ness 1 une soucoupe volante qu'ils ont vue se po- Mais dans le rap- Et c'est pendant ces ser, on fait un rapport port du Colonel Dou-dix minutes que Wor- den, aux commandes ou la pauvreté des in- lay de la C.L.A., il y de son vaisseau, a été formations, la presse a des faits autre- coupé du monde, a été que la fuite dont no faisons état soit p venue Jusqu'à no Disons, pour ne p mettre en cause n tre Informateur, qu avait de bonnes r sons d'être très I accorde à ces faits, ment plus impor-coupé de Houston, où formé. Comment une colonne ou deux tants et crédibles ! colonnes. Pas plus Le rapport du lonel de la C.I.A. I pas connu dans intégralité, loin faut. Ce que nous blions n'est qu'une fime partie de ce d sier dont aucun j nal n'a eu conn sance. seconde par Top il était suivi par les. la 14 anit 107 dans le numéro 33 du Meilleur, nous étions alors les seule de la presse française à faire état de l'étrange message eapté par Worden sur la lune, et Robert Charroux, dans un vre qui connut un grand succès, tenta en reprenant nos révéla- tions d'en donner une explication plausi- ble 6, Voici les falte, afin de vous les remettre en mémoire depuis six minutes, Worden tentait, en vain de rétablir la communica- tion avec Houston. Mals le brouillage était total et il avait perdu le contact avec la base. L'astronaute Irwin près de la jeep lunaire sur la bande magné-comme c'est l'ha-| êtres qui pilotent les tique à bord de la ca- bitude - pris en soucoupes volentes bine. Il pourrait dono main par les ser- l'écouter à son retour vices de santé. sur la terre. Quelques minutes plus tard, Mais Worden, qui après le trou d'une di- avait vu les soucoupes volantes escorter - zaine de minutes, le contact se remit com- c'est son mot la par miracle, en marche. La panne, qu'il croyait avoir locali- sée, se transforma brutalement en un long sifflement. Son récepteur était tout simplement en train de capter des sons, La voix de Jo Allen, chargé du con- tact avec les astro- dont l'origine était nautes, éclata dans impossible à définir. l'appareil. Tout le monde à la Nasa lui demanda ce venait de se pro- duire. taine ironie, les ob- cabine spatiale, fut in- jets volants non iden- terrogé de longues tifiés. heures. De rien ne transpira. son audition, Les Américains ont développé leurs servi- ces d'études sur ce qu'ils appellent en- core, avec une cer- Le message ne fut jamais traduit, et, par conséquent, ne fut ja- mais rendu public, Ce qui reste non Identifié, ce sont ces êtres qui envoient ces soucoupes dans l'es- pace et ceux qui les pilotent. C'est alors qu'un Mais, il faut se sou- fait extravagant se produisit, Des murmu- Qu'un astronaute res étouffés se répan- venir de ce qu'avalt ait vu, à proximité de dirent dans la cabine, Worden se contenta déclaré, trois mois la lune, deux soucou- provenant du haut-par- de leur basculer plus tôt, avant ce vol, I pes lul tenir compa- See OLME vingt "mots" inconnus des hommes ! tent, par des moyens que nous ne tradul- sons pas, d'entrer en contact avec nous, les Terriens. sind DES FAITS NOUVEAUX sables de la C.I.A. le Pourtant les respon- savent, Worden le les soucoupes Le mystérieux message des extra-terrestres: existent a les ont vues. Et leurs pilotes ont tenté de leur par- ler. Tant qu'aucun docu- ment official ne sera pas rendu public, l'homme de la rue, qu'il habite New York, Paris, Rome ou Mos- cou, continuera à prendre les histoires de soucoupes... pour quelque vague histoire de science fiction. Mais peut-on raison- nablement reprocher aux Américains de leur. C'était une sorte | le message qu'il avait le grand savant res- gnie, ne relève pas taire l'un des plus de l'hallucination. de modulation Inintel- ligible, des mots à peine prononcés, dans une langue Inconnue et Indéchiffrable pour un cerveau humain... Et à plus forte raison, pour un ordinateur I enregistré. Ce fut à la base, le branle-bas de combat, pour décoder 20 mots mysté- rieux. Des sons, des mots, mais des sons ponsable des vols vers la lune, Werner Von Braun: le sais que les hommes de notre terre parleront avec d'autres homme s... grands, sinon le plus grand secret de notre ère, s'ils sont Incapa- bles d'apporter une explication ration- nelle ? Des hommes comme Scott, Irwin et Worden ont des nerfs d'acier. Leur témoi- gnage est la preuve in- et des mots vraiment Mais il faut être poète contestable qu'il y a Inconnus. Le mystère Worden était calme, s'épaississait. Le len- mais dans sa poitrine, demain, quelques ra- Il avoua plus tard, dios faisaient état de son coeur battalt la cette coupure à chamade... Ce n'était bord, et de ce mes- pas l'émotion, mais la sage incompréhensi- peur devant quelque bie. Mais dans le flot chose d'insolite. Il des informations, cette venait d'entendre une anecdote passa voix et ce n'était pas celle de l'un de ses supérieurs de la Nasa 1 EN 1971. de ce monde.. totalement inaperçue. pour me comprendre quelque part sur no- Excepté du Mell- et Einstein n'est plus tre planète, à moins leur 1 que ce soit ailleurs, En fait, Von Braun des êtres humains qui La phrase, que ses Or, dès leur retour détenait déjà sans nous observent pa- oreilles avalent cap- sur la terre, Worden, doute une partie des cifiquement ». Pour tée, était enregistrée Scott et Irwin furent Informations sur les l'instant. Ou qui ten- pionnent [***] Voilà les faits. Troublants et qui nous laissent, nous le reconnaissons, sur notre faim. Un jour, peut-être, à force d'indiscrétions, ou de faits nouveaux, la lumière se fera-t-elle sur ces soucoupes volantes qui nous es