Parisien Libéré 10 mars 1980 -08/50/01 D'après un journal américain : 30 EXTRA- TERRESTRES AUTOPSIÉS AUX ETATS-UNIS ! U NE extraordinaire informa- tion vient de paraître dans le journal américain << News » : sept centres médicaux U.S. se penchent actuellement sur une trentaine de corps provenant de vaisseaux spatiaux qui se seraient écrasés sur la terre au cours des der- nières années. C'est du moins le professeur Léon Springfield qui l'affirme. Chercheur à l'U.F.O., il aurait, en effet, décou- vert le secret de ces autopsies et doit publier incessamment un livre à ce sujet. Il contiendra même des « illus- trations » de ces êtres étranges venus d'ailleurs. D'ores et déjà, sachez que « les naufragés de l'espace » ressemblent aux êtres humains, mais ne mesurent pas plus de 1,30 m. Leurs bras et leurs jambes sont extrêmement minces « ce qui laisse supposer qu'ils n'effectuent qu'un léger travail phy- sique >>. Sur ces corps grêles, « sans appa- reil digestif », repose une grosse tête avec des yeux énormes et une bouche « sans aucune fonction >>. Dernier détail enfin, qui a son im- portance: ces extra-terrestres sont dépourvus d'organes sexuels. Pour le Pr Springfield, il pourrait donc s'agir de « robots biologiques >> envoyés sur notre planète afin d'ef- fectuer des recherches pour le compte d'une race d'individus très avancés. On n'est pas forcé d'y croire. Pas plus d'ailleurs qu'aux « vaisseaux spatiaux », qui ne pourraient être, somme toute, qu'un bateau. L'ovni quotidien SAINTES.- Un Ovni apparaît tous les soirs, depuis une semaine en- viron, dans le ciel de la commune de Saint-Porchaire (Charente-Mari- time), où de nombreux habitants ont pu l'observer, ainsi que les gendar- mes, qui ont ouvert une enquête. L'engin est apparu, vendredi soir, durant une vingtaine de minutes, vers 22 h 15, et une brève panne d'electri- cité s'est produite au moment où il survolait la ligne alimentant le vil- lage. Puis l'objet a disparu en suivant sa trajectoire habituelle vers le Nord. L'Ovni avait été aperçu lundi der- nier à peu près à la même heure par deux habitantes de Saint-Porchaire, qui regagnaient leur domicile en voi- ture. Il s'agissait, selon leurs déclara- tions à la gendarmerie, d'un objet « énorme et flamboyant, dont la lueur embrasait tout le pare-brise » et qui s'est éloigné « rapidement et par saccades », lorsque les phares de la voiture l'ont éclairé.