"LE PARISIEN LIBERE" 1978 Parisien Libéré 03 janvier 1978 E.L. "J'AFFIRME AVOIR VU ET FILMÉ DES SOUCOUPES VOLANTES" déclare un savant américain 3111 78. Dès ce début de 1978, les soucoupes volantes font à nouveau parler d'elles. A Guyaquil, un congrès leur est consacré. On y fait le bilan d'observations plus ou moins sérieuses. Mais l'écho le plus troublant qui les concerne est aujourd'hui donné par un professeur américain dont la rigueur scientifique est célèbre : Marley Rutledge chef du dé- partement de physique à l'université du Missouri. Pour lui, les ovni existent bel et bien. Il les a observés de nuit et de jour. Il les a pho- tographiés, suivis dans leurs évolutions avec télescopes, spectrographes et caméras. Il estime qu'ils se livrent à des acrobaties bien supérieures à celles que pourrait réaliser un avion construit de mains d'hommes. Sur plus de 140 phénomènes dont il a été le témoin direct, 25 sont abso- lument incroyables, estime le spécialiste américain. Trois de ses observations les plus convaincantes se situent dans le temps, en mai 1973. La première a duré 45 secondes, les 2 autres, 15 jours plus tard, un peu plus longtemps. Au cours de la nuit du 24 mai, alors qu'il se trouvait avec d'autres observateurs, il a vu un objet muni d'un triangle lumineux, qui est passé au-dessus d'eux. M. Rutledge a d'abord cru qu'il s'agissait d'un avion. Mais, des constatations ultérieures ont éliminé cette hypothèse. La nuit suivante, avec ses collaborateurs, il a observé un objet immense qui était presque passé au-dessus d'eux sans qu'ils l'aient re- marqué. Il précise que l'ob- jet avait quatre lumières : deux rouges et deux blan- ches. Il était suffisamment près pour que je puisse ob- server certaines parties dans mon télescope. Il avait une enveloppe métallique et, dans les lumières rouges, j'ai vu des sortes de ne ures. En raison de sa situation délicate, le physicien a hésité à parler de ces phénomènes. Mais, maintenant, il pense pouvoir faire face aux raille- ries et estime qu'il est de son devoir de dévoiler au public ce qu'il sait. D'après ses collabora- teurs, M. Rutledge est un homme vif mais rationnel et conservateur. Parisien Libéré 13 janvier 1978 UNE STATION SPATIALE PERTURBÉE PAR DES O.V.N.I. PALMA DE MAJORQUE.- Selon le « Diario de Mal- lorca », « Tout s'est détraqué » à la station spatiale de repé- rage américano-espagnole de Puigmajor, à Majorque, alors que de nombreux objets volants non identifiés étaient détectés. Le journal, qui cite des techniciens de la station, affirme que les récepteurs radio ont été brouillés et certains se sont même mis en marche tout seuls. Les radars n'auraient jamais détecté autant d'O.V.N.I. à la fois. Ceux-ci se déplaçaient à une vi- tesse supersonique. Les techniciens écartent l'hypothèse de météorites, car les radars n'auraient sans doute pas pu les détecter. PARISIEN LE 13.1.78