DL 11 février 1979 PL 11/2 * Mystère à Grenoble: b stariene. après les OVNI les ORNI? 1979 Il en est du vocabulaire extra- terrestre comme d'un tableau : sans cesse de nouvelles cou- leurs (mots) viennent enrichir la palette. En science-fiction, il faudra dé- sormais compter avec le mot, ou plutôt le sigle, ORNI. Non, nous ne nous sommes pas trompés: il s'agit bien des ORNI et non pas des OVNI. Si la fréquence d'apparition de ces derniers commence à ne plus guère présenter d'intérêt, en revanche celle des ORNI ferait bien d'être étudiée et prise au sérieux par nos talentueux et distingués chercheurs. Avant-hier encore à Grenoble, en début d'après-midi, trois objets roulants non identifiés ont été signalés alors qu'ils sillon- naient en toute quiétude les grandes artères de la cité olympique. Ces trois convois « exception- nels » et de « grand gabarit »> n'ont pas manqué de susciter une vive émotion parmi la population. Nombreux ont été, en effet, les curieux à se presser au bord des avenues pour regarder passer les convois. L'inquiétude de la population était d'autant plus légitime que des motards, par groupe de deux, frayaient un passage à ces mystérieux ORNÍ à travers le flot ininterrompu des véhicules identifiés en tous genre circulant en ces heures dites de « poin- te »>. Les témoignages ainsi que les moindres renseignements con- cernant ces apparitions phéno- ménales seront les bienvenues. L'enquête s'avère d'ores et déjà délicate et longue. DL 26 février 1979 ST-JULIEN-EN-ST-ALBAN 26/2 Un OVNI mystérieux ! Valence. Mystère depuis sa- medi soir vers 18 h à St-Julien- en-St-Alban, petite localité paisi- ble, située au bord de l'Ouvèze, entre le Pouzin à Privas. En effet, des habitants virent apparaître deux faisceaux de lumière dans le ciel qui, progres- sivement, descendirent vers le sol en dégageant une forte intensité lumineuse. En quelques secondes, les deux faisceaux disparurent en s'en- gouffrant entre deux montagnes, au quartier de St-Alban, petit hameau délaissé par les agricul- Enfin sous le coup de l'émotion, il a vu les deux phares dans le ciel, de deux mètres de diamètre, qui dégageaient une lueur bleuâtre, dirigée intensivement vers le sol. Quand l'objet disparu derrière le vallon, M. Vialatte n'observa plus rien de particulier. teurs. Après trente minutes, un début d'incendie s'est déclaré dans la garrigue. M. Gilbert Vialatte, demeurant quartier des Celliers, qui terminait sa journée de travail dans son jardin, situé à 800 mètres à vol d'oiseau, fut l'un des témoins.