Parisien Libéré 24 octobre 1979 UN DÉTECTEUR 24/ D'O.V.N.I. EN P.L. NORMANDIE 79. EVREUX. Un électronicien normand, M. Guy Randal, de Saint-André-de-l'Eure (Eure), vient de mettre au point un appareil destiné à détecter les O.V.N.I. C'est sa passion pour les objets volants, de préférence non identifiés, qui a conduit M. Randal à créer un dispositif capable, prétend-il, de les localiser et de déterminer la fréquence de leur passage. Il s'agit d'un détecteur de champ magnétique variable, doté d'une très grande sensibilité, grâce auquel son inventeur espère assister, un jour, à l'atterrissage d'extra-terrestres. Dans ce but, qu'il estime atteindre au terme de trois ans de patientes recherches et d'observations, l'« ovnitologue » a fondé une association, qui recueillera toutes les informations venant, notamment, de personnes ayant été témoins de phénomènes insolites sans avoir jamais osé en parler. L'ECLAIRAGE PUBLIC du village de Villacalabuey, dans la province espagnole de Léon, 300 kilomètres au nord de Madrid, s'est éteint momentanément de façon inexpliquée alors que scintillaient dans le ciel des objets volants mystérieux qui ont disparu peu après. Parisien Libéré 13 novembre 1979 Quatre ovni contraignent la Caravelle à atterrir en pleine nuit VALENCE.- L'avion, une « Caravelle » de la T.A.E. (Trans- portes Aeros Espanoles) vole vers Ténériffe, la plus grande île des Canaries, Il vient de Palma de Ma- jorque, une autre ile, méditerra- néene, cette fois. Soudain, en plein dans le noir de cette nuit du 11 au 12 novembre, celle de dimanche à lundi, quatre points lumineux ap- paraissent sur le radar de l'avion qui emporte cent dix-neuf passa- gers: des Allemands et des Autri- chiens. Il est 22 heures. Le pilote et le personnel du bord scrutent le ciel : quatre objets vo- lants suivent l'appareil. Il est au- dessus d'Ibiza. La « Caravelle >> accélère, manoeuvre. En vain les ovnis suivent, toujours, à la même distance, sans que le pilote puisse discerner leur forme. Il se décide à appeler la tour de contrôle de l'aéroport de Valence. « Atterrissez immédiatement ! », lui répond-on. A 2 heures du matin, après quatre heures de poursuite, l'avion se pose à Va- lence. Les ovnis sont toujours là. Trois se sont immobilisés : l'un au- dessus de la base militaire, un autre au-dessus du terminal, le troisième au-dessus de la tête de piste. Le quatrième engin tourne lentement en rond, plus haut. A la base militaire de Los Llanos, dans la province d'Alba- cète, c'est l'alerte. Quatre avions de chasse, des «< Phantom >> décol- lent, foncent vers Valence. Mais les ovnis ne les ont pas attendus. Ils se sont évanouis dans le noir, soudain. D'autres témoins, dans la région de Valence, les ont aperçus. Les autorités militaires enquêtent. Les 119 voyageurs allemands et autrichiens regrettent bien de s'être endormis, au-dessus de l'Espagne : ils n'ont rien vu. '1'J -St/l1/81