3 Le dossier fantastique que tout le monde attendait A ÉVILLERS 6.90 (DOUBS) Les M.O.C. (Mystérieux Objets Célestes) sont Evillers, 350 habitants, est logé sur le plateau jurassien à 730 m d'altitude, Des vaches paissent dan besprés recher grow be village est entouré de forêts de sapins noirs: bois du Cul-d'Ane, bois du Désert, mont des Tilles C'est ce décor calme et majes tueux qui, depuis vingt ans, a élé le témoin de quelque trente phénomènes inexpliqués mais dú- ment observés par plus de cent personnes soucoupes volantes, cigares celestes, triangles lumi- neux, rectangles percés de fenê tres éclairées, boules aux cou- leurs changeantes, étoiles qui changent de direction. Et puis les petits étres qui se manifes tent par trois fois... -Evillers et le Jura, consti- tuent un site privilégié pour Fobservation des M.O.C. dit Jean Tyrode venus 30 FOIS en 2 ANS «Un M.O.C. me survole à 20 mètres... >> Tout a commencé en juin 1952. Le dernier phénomène s'est pro- duit le 4 juin 1970. Depuis, la population attend. La première apparition a done lieu à la fin d'un bel après-midi de juin 1952. Il est 6 heures du soir. Jean Tyrode se tient sur le per- ron de la fromagerie d'Evillers, en compagnie d'autres per sonnes. Il affirme les avoir vus, et il croit dur comme fer à l'existence des Mystérieux Objets Célestes (M.O.C.). De plus, il a mené 150 enquêtes et in- terrogé des centaines de témoins qui ont vu non seulement des M.O.C., mais aussi des petits êtres, qui ne sont pas des petits hommes..., des êtres qui disparaissent mystérieuse- ment, soudainement, comme les M.O.C. Cet homme qui a vu les M.O.C., nous l'avons rencontré : il est instituteur, depuis 20 ans, à Evillers, petit village du Jura, à 20 kilomètres de Pontarlier. Il s'appelle Jean Tyrode. Il a 51 ans. Enfant du Jura, solide, trapu, il a les pieds sur terre et la tête sur les épaules. Et pourtant ce qu'il raconte sort tellement de l'ordinaire et du normal.... C'est alors qu'apparait sur la gauche, une chose som- bre, sans lumière, presque noire, Cela ressemblait à un énorme chapeau melon, nous dit M. Tyrode. La chose évoluait à quel- ques centaines de mètres du groupe d'observateurs, à environ 50 mètres du sol. Elle ne produi- sait aucun bruit perceptible. Suj- vant une trajectoire nord-est-sud- ouest, le mystérieux objet céleste disparut sur la droite, caché par les maisons du village. -Chose encore plus étrange, remarque M. Tyrode, bien que le M.O.C. ait été opposé au soleil, on ne vit aucun reflet. 11 4 La lueur grossit et se rap- proche. Elle est maintenant à 300 mètres. Il s'agit d'un engin lumineux émettant une lueur jaunâtre-verdâtre dif fuse. A6 - C'était couleur tilleul pâle, nous précise M. Tyrode. Comme J'avais entendu dire que ces en- gins pouvaient couper le circuit électrique des voitures, je me bille dec ligne ETUDE LUMIERES DANS LA NUIT COLLABORATION DE H, TYRODE siatta creuse retournée dont la pente extérieure du creux au rait été lumineuse et le rebord opaque, Maintenant, il est sensi- H2H00 Slement à la même hauteur que lul. Un moment, il est même plus bas et il en aperçoit le des sus qui offre l'aspect d'un dis que sombre rendu visible par la fluorescence. 743 précipite vers la mienne et re- met le moteur en marche et al lume les phares pour voir ce qui va se passer retourne au plus vite observer le phénomène, Comme nous demandons à M. Tyrode s'il n'avait pas d'ap pareil photographique, il nous que dans sa précipitation oublié de prendre la caméra qui ne le quitte jamais dans sa voiture, il akm |-- 100-200 300000 son -J'étais fasciné par ce que je voyais. J'ai totalement oublié que je pouvais essayer de photo- graphier. Vous savez, dans ces cas-là, on a l'esprit un peu para- lysé... Quant au M.O.C, il est tou jours là à avancer vers M. Ty rode. Il se présente d'abord de profil a l'aspect d'une as ellitar -J'avais l'impression que le M.O.C. suivait très exacte. ment les vallonnements du terrain, raconta M. Tyrode. Quant à ses dimensions, le les al évaluées à 15 à 20 mè- tres de diamètre et 2,50 m de haut. La partie lumineuse était tronçonique, et la lumi- nescence était interrompue par des raies sombres, comme pourraient le faire les mon- tants métalliques d'un chás- sis vitré éclairé de l'intérieur. Le M.O.C. continue à avancer, arrive à proximité de M. Tyrode. et lui passe au-dessus de la tête, à la verticale, à moins de 20 mè- tres de haut. Sa vitesse ? Envi ron 20 kilomètres à l'heure, estime-t-il. Vu du dessous, l'engin n'était pas lumineux, précise M. Tyrode. J'aperçois seulement un disque sombre dont je ne distingue le contour que parce qu'il est faiblement éclairé par- dessus... Par ailleurs, je n'ai entendu, à son passage, aucun bruit. De plus, il n'y avait aucune lumière émanant de l'ap pareil pour éclairer la route ou les bois. 1TMAD Pendant l'hiver 1954, Jean Tyrode voit de la fenêtre de son école une mystérieuse trainée lumineuse qui passe du rouge au violet avant de s'arrêter, et de disparaitre en changeant de direction. Au printemps 1964, c'est un objet ovale et gri sätre, sombre et sans reflet, d'un diamètre égal à celui de la moitié de la lune, qu'il voit se déplacer du côté de l'église d'Evillers. Et puis c'est le Evillers: du 22 Il est 10 heures du soir, Jean Tyrode rentre en voiture à Evillers. I sort d'un bois à 1 kilomètre des premières maisons. C'est alors qu'il remarque une lueur inso lite qui semble point chaud thail se vers lui, il arréte sa voiture et des du territoire AVANT cend rapidement pour mieux observer le phénomène. EDOCA L'observation de M. Tyrode duré exactement 14 minutes. -La seule chose que l'ale remarquée au passage du M.O.C. au-dessus de la route, se sou- vient M. Tyrode, c'est une sorte de picotement, un crépitement d'aigrettes lumineuses, couleur tilleul pâle, de très faible inten- sité. Il est 22 h 14, Le M.O.C. prend de l'altitude et disparaît vers le nord-nord-est. Meng and 3.58 français Stalwaria Comme M. Tyrode nous ra- conte cet extraordinaire épisode, d'une voix calme et sûre, il pro- mène ses yeux bleu pâle sur le paysage d'un vert acide, doré par le franc solell de midi. Com- ment cet instituteur de 51 ans, respecté de tous dans son vil- lage, aurait-il pu inventer une 10000 volis 6 ECHELLE arret www *50.0 173332 PO eived. boule Mason Petite ILS LES ONT VUS 041 EVILLERS L'église L'écolem La fromageri Fontaine 1km M. Tyrode voit un chapeau melon volant 2 Une traînée rouge qui s'arrête, change de direction et repart 3 Objet ovale et grisâtre Une assiette passe à semblable histoire ? Dans quel but, dans quel intérêt ? Phy JOELLE RAVIER, 15 ans, a vu, à Arc-sous-Cicon (Doubs) un petit être noir qui se déplaçait rapidement. Ses jambes ne paraissaient pas toucher le sol, > Tout un après-midi et une partie de la nuit, M. Tyrode va nous raconter ce qu'il a encore vu depuis cette mémorable nuit de mai 1967, et ce qu'ont vu sa femme, ses enfants, ses voisins et une centaine d'habitants d'Evillers. Comment se fait-il que tant de gens volent tant de choses > 2 arre Gast M. JEAN TYRODE, 51 ANS, INSTITUTEUR A EVILLERS (Doubs). Le voici Ici devant le clocher de l'église d'Evillers. km Pour le juge d'instruction des M.O.C., M. Fernand Lagarde, qui depuis sa retraite de la S.N.C.F. consacre tout son temps à accu- muler les témoignages des sept cents enquêteurs de Lumières dans la nuit (voir notre journal du 21 mai), il ne fait aucun doute que des événements extré- mement importants aussi bien sur le plan scientifique que sur celui de la connaissance des M.O.C. sont en train de se dérou- ler à Evillers». -Pour nous qui suivons depuis longtemps les évolu- tions des M.O.C., dit M. La- garde, Evillers est devenu, pour des raisons à découvrir, un point chaud de notre ter- ritoire. De plus, aussi bien M. Tyrode que M. Lagarde ont fait une étrange constatation sur les onze manifestations des M.O.C. qui se sont produites à Evillers (voir carte ci-dessus, six se sont produites à proximité des failles géologiques, configuration da terrain particulière au Jura, La question qu'ils se posent est donc de démêler les mystérieuses ral- sons de l'alliance secrète qui palus 11 ols Eart Les onze mystères d'Evillers 740-1 pendant -Il est possible que je leur ale appris à ouvrir les yeux, ré- M. Tyrode. Et je n'ai pas eu peur de dire ce que son maître que je voyais, tous ceux qui voyaient et qui se taisaient par peur du ridicule, n'hésitent plus photographiait parler. le M.O.C. chat hurlait Plgacher JEGY 20 mètres au-dessus de la tête de M. Tyrade 9 Première boule rouge 6 Une boule rouge en plein jour Une boule rouge avec des protulbé- de Bois & Cald M.O.C. semble exister entre les ucune et les failles géologiques. At Mais, explication n'est avancée. villers M. Lagarde souhaite qu'Ev, cen soit choisi pour devenir uniques. tre de recherches scientifi" Mont des illes Drvin feine Pierre Longchamp, président de la TRACES D'UN M.O.C.? Cette photographie, prise para, qui a découvert, près d'Arinthod section spéléologique du Jure serait posé, en octobre 1967, dans (Jura), ces traces d'un Mystérieux Objet Céleste qui se l'engin, est distant de 1,25 m des un champ. Chacun des trous, creusés par les pieds det 30 centimètres de diamètre. autres. Ils ont 12 centimètres de profondeur ef SET 710 www rances 8 une boule qui décrit des ellipses 98 personnes voient un en- gin Un objet ayant la forme d'un extenseur Triangle bordé de rouge. VOSTUD Des explications scientifiables seraient, en effet, souhaitirs et sur ce qui se passe à Evillent de dans la région du Jura. Tarmys Un cigare phénomènes les- térieux, confondants, pour idéré quels de 12 mètres comme le meilleur enquêteu s'est Lumières dans la nuit, e ap- efforcé patiemment de faire paraitre toute la réalité. Jamais, dit M. Lagarde, aucun document n'a pu être produit en touré d'autant de garanties ». Et pendant que M. et Mme Froide- vaux observaient et photogra phiaient le MOC, leur chat hurlait littéralement sans qu'il soit possible de le calmer ». Le 17 mars 1969 vers 2 heures du matin, Mme Lacoste, femme d'un entrepreneur de travaux pu- blies, voit, posé à 300 ou 400 mè- tres de sa maison un corps. ovoide bien arrondi aux deux extrémités qui se tient là dans. une rigoureuse immobilité. Rien ne parait bouger autour. » Deux mois plus tard un photo- graphe de Besançon parvient à photographier sur les lieux de cet atterrissage une ellipse de 7 mètres de large sur 12 mètres de long, tout au long de laquelle l'herbe est deux à trois fois moins haute, les feuilles deux à trois fois plus étroites et le vert plus tendre que l'herbe qui l'entoure. posé dans seme Dix témoins ont vu le mentre jeudi 12 décembre 1968 cer- un pâturage 17 heures et 18 heures un cou cle blane, entouré d'unes lu- ronne jaune intense et trèns a mineux ». L'un des témole lu même vu autour de la d'un mière arrêtée au milieu qui, chemin des personnages s'agi- telles des ombres chinoises, s talent devant la lumière », L'instituteur d'Evillers, Jean Tyrode, a étendu le champ de ses Investigations au-delà du Jura, dans le Morvan notam- ment. C'est là qu'il enquête sur des faits encore inexpliqués qui se sont produits en décembre 1954 et en juin 1968 dans la Côte-d'Or. à Llernais et Brazey- en-Morvan. PHOTOGRAPHIE par M. Froidevaux, chef de chantier à Francis (Doubs), un M.O.C. au mo- ment où il quitte le sol. 20 ЯИЗНИО total 2AUURMA SHORE 20/36 couples Da rete 100% as yeillée funèbre lorsqu'il est sailli par une vive lumière, une boule rouge éblouissante. A la vue de cet objet, ra- conte M. Tyrode, M. Brulard se sentit pris d'un malaise vague : il ne sentait plus qu'il marchait... La lumière était si vive et agis sait si fortement sur son esprit qu'il passa devant sa porte sans s'en rendre compte... Il se sentit 11 fatigué durant trois jours et fut atteint d'une maladie que le doc teur n'a pu préciser et qui peut- être a quelques rapports avec Mirradiation qu'il a subi de l'ob jet. > A BRAZEY-EN-MORVAN, M. MI- chot, son fils et M. Margerie virent, posé dans un pâturage, un ci gare de 12 mètres de long, la pointe effilée vers le sol, y re- posant ou non directement ou par l'intermédiaire de béquilles; blanc sûrement, peut-être blanc et noir ». Or L'enquête menée ensuite par M. Tyrode a précisé qu'à l'en- droit où s'était posé l'engin l'herbe avait subi comme une brûlure, deux brebis avaient dis- paru, une troisième a été retrou- vée morte et... les limaces nom- breuses dans les prés avaient changé de couleur. Une heure plus tard, Joëlle Ravier, 15 ans, et Marie-Reine, 13 ans, aperçurent un petit être noir qui courait. Les petits êtres noirs se Un terrien manifestent prisonnier Le lundi 17 juillet 1987, 3 heu d'un M.O.C. ? mer res de l'après-midi, dans la cam- pagne d'Are-sous-Cicon, dans le Doubs. Des enfants jouent en li sière du bols des Clavières, Sou dain, Patricia Despoix, 6 ans, se met à crier: AND VERY by Yupoon -Pal vu trois Chinois tout noir, le sont-pelits et 1 pak lent entre eux selon une sorte de musique RA, RA, LE, TRE LA..... C'est Joëlle qui raconte ce qu'elles ont vu à 25 mètres d'elles : 11 mesurait environ 1 m. 10 et il était tout noir. Il avait une. tête à peu près normale, et non pas comme une pomme de terre, comme l'a indiqué la presse, elle paraissait volumineuse, sans que l'on puisse distinguer des orga- nes, comme si une tête normale était recouverte de quelque chose de noir (casque, masque, sca- phandre), La partie supérieure semblait briller un peu, ou réflé- chir la lumière. Il avait un cou, des épaules et des bras, qui bien qu'entrevus semblaient propor- tionnés à sa taille, Son ventre paraissait assez gros. Il se déplaçait très rapide ment, courant à la manière d'un homme, mais beaucoup plus vite qu'un homme normal ne pourrait le faire sur un tel terrain. Il se déplaçait à grandes enjambées souples, ses pieds touchant le sol d'une manière très légère et continua de courir en montant sous la haie. HAFTU AT tie des habitants d'Are se rendit sur les lieux. C'est alors qu'ils découvrirent non loin de l'en- droit où les enfants avaient vu les petits êtres, une sorte de grand rond de 3 ou 4 mètres de diamètre où Therbe était encore brûlée. Cette tache dégageait une odeur particulière mais indefinis sable. Tous les enfants rentrèrent alors au village pour raconter l'affaire. Ils n'étaient nullement apeurés et riaient même de leur aventure. Le soir même, vers 19 h. 30, M. Ravier père se rendit sur les lieux, mais n'aperçut aucun per- sonnage. Le lendemain, une bonne par Cette nouvelle scène que raconte M. Tyrode se passe à proximité du lac de Saint-Point dans le Jura que connaissent bien les touristes de l'été. Nous sommes le 18 octobre 1954. Il est i da sole Urs Jeune fille, Mile Marie-Louise triot, rentre chez elle, au hameau du Vézenay. Elle est à vélomoteur. Elle commence par apercevoir une vive lumière rouge. Puis, sur le bas-côté de la route elle voit nettement dans la lumière de son phare, un homme vêtu d'une gabardine, complètement immo- bile, accompagné de deux petits êtres entièrement noirs. A l'ap- proche de Mile Bourriot les petits êtres traversent la route, en marchant et sans se hâter. Ils passent à moins de 10 mètres devant elle. Quant à l'homme », il reste parfaitement immobile. Après avoir mené l'enquête, refait pas à pas l'itinéraire de Mile Bourriot, M. Tyrode dit : . C'est alors que les filles ro- marquèrent qu'il semblait être vêtu d'une noir qui le moulait, sauf aux jambes des petits où il paraissait moins adhérer. Sur les fesses quelque chose comme un pan d'habit très court semblait flotter. » -Les deux petits étres ne peuvent pas être des humains vul leur comportement étrange. J'ai de plus en plus la conviction que l'apparition de la lumière rouge, de l'homme, des deux êtres et de l'objet rouge s'élevant, sont des faits qui ont entre eux des liens très étroits. Un M.O.C. aurait-il atterri déposant ses occupants accompagnés d'un ter- rien, peut-être leur prison- nier? Cela n'aurait rien d'im- possible, Tallin Des enfants voient Le personnage dans la hale qu'il parut avoir traversé puis... un en direction de la forêt proche. Joëlle se précipita à sa poursuite, traversa aussi la haie mais ne vit plus rien, gendarmes rouges UA39 incendie éclate 24-5-71 7 Le dernier fait étrange auquel M. Tyrode a été mêlé a pour dé cor une grande et belle demeure. bourgeoise d'un village voisin d'Evillers. M. Tyrode garde pour lui le nom des lieux et des per- sonnages, car l'événement est tel qu'il faut observer la plus grande prudence. En effet, on ne sait pas où un tel événement peut nous emmener ». Le témoin principal est un col lègue de M. Tyrode, un instity teur. Les acteurs sont des e fants, les éleves mêmes, de l'insti tuteur, parmi lesquels son propice fils. Les faits se déroulent le 4 juin 1970, FRE Les enfants jouent dans belle maison, abando l'homme le plus riche du village. Et, pendant près de trois heures ils vont voir des petits tres habillés de rouge, vent comme des petits ar wes Puis une un énorme chien gris ac d pattes de vest travers se Le soir, le fils de instituteur fait un récit complet mest à son père et dessine ser le tablead noir a petits gendarmes. Le lendemain. jour de classe, au moment de la réerestton, instituteur demande meves da-douines ce quiis: à ont vu. Chose extraordinaire, tous les élèves présents sur les lieux font un portrait identi- que des petits gendarmes Et leurs récits coincident tous- Et le soir même, l'instituteur se rend sur les lieux et décou- vre, à l'endroit où les enfants ont vu sauter le chien aux pattes de veau », des traces qui ne sont pas celles d'un chien, ni d'un loup, ni d'un veau... peut- étre un hippopotame. Pour l'instituteur, il n'y a au cun doute, les enfants ont bien dit la vérité. Six jours plus tard survient un nouvel événement : à trois heures du matin, le 10 juin, la belle maison est complètement détrulte par un incendie. La question que se posent les enquêteurs de « Lumières dans la nuit est la suivante -Des petits êtres descendus d'un M.O.C. ont-ils brûlé la mal- son pour effacer leurs traces? A ce jour, l'enquête menée par la gendarmerie n'a pas su découvrir les causes du sinistre ni trouver un coupable. Un nouveau mystère dans le Jura. © Lumières dans la nuit et LE PARISIEN Prochain article: Pendant 6 mois, une famille entière de l'Aveyron a vu des M.O.C. chef Un autre, M. Froidevaux, la de chantier à Franois, donjussi femme est institutrice are en Un exploit que doivent lui de vier tous les observateursndre A LIERNAIS, un certain M. Bru- DESSINE Selon les indications de M. Tyrode, le M.O.C. qui est passé à 20 mètres au-dessus M.O.C. a pretoite). lard revenait d'une de sa tête, le 22 mai 1967. une photo (voir en haut à dr