8 2 Le dossier fantastique que tout le mone attendait Comment sont traqués les Mystérieux Objets Clestes 014703 21-5-71 En plus de la gendarmerie nationale, ils sont 700 répartis sur l'ensemble du territoire français à enquêter sur les « Mystérieux Objets Célestes» (M.O.C.). Ils appartiennent au réseau de surveillance créé il y a treize ans et connu sous le nom de « Lumières dans la nuit ». Pour eux, il n'est pas contestable qu'il se passe des phénomènes aberrants qui mettent en déroute notre quié- tude des choses habituelles. Depuis treize ans, ces enquê- teurs accumulent les preuves de l'existence des M.O.C. Leurs observations, leurs recherches, véritables enquêtes pelicières, sont centralisées à Tarbes par M. Fernand Lagarde qui se qualifie lui-même de juge d'instruction des M.O.C. Voici comment travaille ce régiment d'enquêteurs pour qui a preuve de l'existence des M.O.C. n'est plus à faire. Ce stade est dépassé. Ce qu'il faut actuel- lement, c'est une étude précise des faits, sous une forme M. Fernand Lagarde, juge scientifique ». d'instruction » des M.O.C. Un médecin guéri après avoir vu un M.O.C. sombre ensuite dans la folie Le travail d'enquêteur sur les mystérieux objets volants n'est pas aussi simple qu'il peut pa- raître à certains. Il ne suffit pas d'aller bavarder quelques ins tants avec un témoin et de re- partir satisfait C'est une réelle investiga tion des lieux que nous exigeons de l'enquêteur, dit M. Lagarde L'art de La de celui-ci doit s'exercer dans tous les domaines, y compris ceux qui paraissent L'équipement du parfait enquêteur extérieurs au phénomène. C'est mener la description de l'ambiance et du milieu dans vit le témoin qui permet de compren une enquête dre ses s'il doit être curieux, dolt demeu- rer neutre. Il ne se déplace pas pour faire un reportage sensa- tionnel, mais pour recueillir des faits précis et les exposer aussi simplement et objectivement que possible.. coupez, il perdra le fil de son récit et pourra oublier ce qu'il voulait vous dire. Il faut, au contraire, le laisser parler, vivre avec lui les instants qu'il évoque, l'encourager s'il s'arrite, étre suspendu à son récit comme un enfant aux lèvres d'un conteur », Avant d'entreprendre ses in- vestigations proprement dites, l'enquêteur doit réunir toute la documentation adresses des té moins, enquêtes de gendarmerie En ce qui concerne les auditions de témoins, elle doivent être recueillies sur les lieux mêmes où l'observation a été faite». Une fois le premier récit enre- gistré, l'enquêteur passes au questionnaire qui va éplucher L'enquêteur doit, avant tout, se munir d'une carte à grande échelle, de préférence au 1/20.000 représentant la région où il se propose de mener son 2 Comment le témoin s'est-il enquête. Il se munit d'une bous- sole, d'une montre, d'un mètre et d'une de ficelle. Mais, sur cette ficelle, il aura fait, au préalable, tous les un ou deux mètres, des noeuds afin de lui permettre de prendre des mesu- res rapides: par exemple, un triangle de côté 3 m, 4 m, 5 m, permet de tracer une perpendi- culaire >. tout Quant aux témoins, les enquê urs doivent les entendre seuls. Dans le questionnaire type que chaque enquêteur reçoit, 43 questions principales sont prévues par M. Lagarde. Nous n'en retiendrons que 10, essen- tielles et particulièrement ré- vélatrices de l'esprit dans lequel chaque personne est contrainte de mener son en quéte. Les premières questions por- tent essentiellement sur la qualité du témoin (ses nom et prénoms, sa profession et son age) et les conditions atmosphé riques qui régnaient au moment de son observation. arément, pour éviter la sug tion » Dans toute la mesure du pos sible, l'enquêteur doit avoir un Pourriez-vous décrire les oc appareil photographique afin de cupants? Taille, corpulence, pouvoir compléter son dossier bras, jambes, tête, vêtements, par des photos des témoins, des coiffure, détails du visage, des lieux et, si le cas se présente, pieds, des mains. garder une trace des passages ou des indices laissés par les M.O.C. Un magnétophone est, lui aussi, recommandé, Outre qu'il fait gagner un temps pré- cieux sur place, il conserve le dialogue dans toute sa fraicheur et son exactitude ». Il est extrêmement impor de laisser parler le témoin Quel a été le comportement de l'objet pendant l'observa- tion? Bougeait-il ? 4 Y avait-il des occupants? Où ? Dedans? Dessous? Au- tour? Combien ? Venez vite voir, docteur.... En donnant son bain au bébé, aperçu de l'atterrissage du- mystérieux objet céleste? Com- ment se présentait l'engin? Quelle était sa forme, sa couleur. ses dimensions? la brave fille a découvert une croix rouge dessinée sur le ven- tre du petit. Etonnement du mé decin qui, bien entendu, ne trouve aucune explication. Il se rappelle seulement l'apparition de la nuit, mals ne fait pas en- core le rapprochement. Que faisaient-ils? Immobi les ? Occupés? Tenalent-ils quelque chose à la main ? A quoi cela ressemblait-il ? le complète au fur et à mesure des explications des témoins. Plus tard, il y ajoute Guérison les détails, les cotes: croise- ment de routes, maisons, clô- 7 Indiquer le trajet des occu- pants. Comment s'est effec tuée leur rentrée avant leur dé part, s'ils étaient hors de l'en- gin? 8 Qu'a vu le témoin au mo- ment du départ ? Qu'a-t-il éprouvé? 9 Le témoin a-t-il souffert de des maux de tête, énervement, sa gnement de nez, angoisse, cha leurs, picotements, froid... fures, rivière, arbres, bos d'un médecin quets, haies.... l'aventure extraordinaire surve nue à un médecin. Son nom de meure secret, car, comme nous allons le voir, l'affaire a eu des sultes particulièrement graves. Le docteur A venait de rentrer d'Algérie et avait ouvert un ca binet de consultation quelque part dans le sud-ouest de la France. En Algérie, alors qu'il circulait en jeep, le docteur A... avait santé sur une mine. Sa Jam- be gauche avait été gravement touchée et il était resté partiel- lement paralysé Un soir d'été, alors qu'il était seul chez lui avec son fils âgé de quelques mois, il est réveillé vers deux heures du matin par les cris aigus du bébé. Il se lève précipi tamment pour aller le conso- ler lorsqu'il voit une très vive lumière à travers les persiennes de sa chambre, II ouvre. Il est aveuglé par une énorme boule de feu qui danse dans son jardin. Il va chercher l'enfant dans son berceau et le serre dans ses bras. Puis il revient vers la fenêtre. Le mystérieux objet a disparu, Il recouche l'enfant trouve lui-même le som et meil. Le lendemain matin, il est de nouveau réveillé par des cris Mais cette fois, c'est la bonne qui l'appelle. C'est sur les lieux que l'enquête prend d fournure, pré- cise M. Lagarde, Avant toute Si le témoin a une montre. si effrayante? lui demander si elle fone- chose, l'enquêteur fait un cro- tionne toujours aussi bien quis général des lieux et des qu'avant, environs de l'observation. Il La vision était-elle te secrétaire de marie Cler-de-Rivière (Haute-Garonnel étoit sceptie, mais le « juge finstruction a des M.O.C. erant le sérieux de son enquêlear.... Guy a vu sa jument s'envoler au départ d'un M.O.C. Et puis, brusquement, il se rend compte que ses douleurs à sa jambe blessée ont disparu, qu'll marche comme avant et que sa paralysle s'est évanouie. C'est alors qu'il commence à se poser la question: y a-t-il corrélation entre du objet, l'apparition de la croix D'abord rouge sur le ventre de son fils et sa propre guérison? paralysé Depuis, malheureusement, le C'est en procédant minutieuse- choc subl par le docteur A... ment à ce genre d'interrogatoire ayant été trop fort sans doute, le couper ni l'interrompre, que l'un des enquêteurs de il a sombré dans la folie. Mais e M. Lagarde. Si vous le M. Lagarde a pu reconstituer les enquêteurs sont formels: au Cela s'est passé le dimanche 17 octobre 1954 et maintenant, en juin 1970, les habitants de Cier-de-Rivière (Haute-Garonne) se rappel- lent encore l'aventure arri- vée au jeune Puyfourcat Guy, âgé à l'époque de 22 ans et fraichement libéré du service militaire. M. Verdier, vieux secré taire de la mairie, m'a fait savoir qu'il avait difficile- ment admis, il y a 16 ans. les dires de Guy Puyfour «< situer >> Les choses se compliquent en- core un peu plus lorsque, fai sant lui-même sa toilette, il découvre qu'il a, lui aussi, été le témoin marqué d'une croix rouge et au ventre. Tout comme son Dans ce cas. l'enquête a été menée dans le cadre des investi- gations de Lumières dans la nuit». La sincérité du docteur A... n'a pas été mise en doute Son équilibre psychique était excellent au moment des faits. Il fallut bien admettre l'évidence: le docteur A. avait été guéri par l'apparition du mystérieux objet. Un M.O.C. moment du phénomène, le doc teur A... était parfaitement sain d'esprit. Est-ce la guérison de son corps qui a entrainé la dé chéance de son esprit? Ou bien le docteur A... a-t-il vu plus qu'il n'a bien voulu le dire? Quelque chose de si effrayant ?... L'en quête continue. Pour M. Lagarde, l'aspect psy- chologique de toute enquête est d'une importance primordiale. Car c'est ainsi seulement que peut être établie la crédibilité du témoin ». Le La première approche, dit M. Lagarde à ses enquêteurs, sera la description de la commu- nauté dans laquelle vit le témoin aloides ta ouvrier, paysan, urbain. milieu familial, où vous pourrez recueillir des renseignements que le témoin n'a pas pensé de signaler. Un mot, un comporte ment éclaireront le témoignage. cat, mais ce dernier était un jeune homme sérieux, sobre, intelligent, qul n'avait rien d'un hâbleur, ni d'un farfelu. Actuelle ment, M. Verdier pense qu'effectivement il s'est passé quelque chose et qu'on ne peut mettre en doute les dires de Guy. » faut pouvoir situe témoin, surtout s'il est impo pour peser le crédit que l'e Ce dernier a quitté la commune il a 5 ans pour aller exploiter à Pau un res tatkrant. J'ai rencontré son père, accorder à son récit. Etre sûr de lui. De plus, s'il y a eu une enquête de la gendarmerie, elle pourra, vous aider à situer le témoin, car elle aussi, s'est inquiétée du crédit à accorder à son témoignage, et elle possède des sources de renseignements que vous pouvez ne pas avoir. > M. Lagarde recommande à ses en quêteurs d'être également particulièrement attentifs et soi- gneux en ce qui concerne l'exa men des lieux où le témoin déclare que le M.O.C. s'est posé Il peut y avoir des traces. Dans ce cas, sept mesures à prendre : Aux alentours des traces (55 mètres) et sur les traces, examinez les insectes rampants: escargots, limaces, fourmis, etc. Si vous constatez des anoma- les dans leur coloration, préle vez immédiatement quelques échantillons, une demi-douzaine de chaque sujet, que vous embal lez soigneusement pour la survie du transport: nourriture, huml- dité, aération, etc. > Puis il faudra vous intéresser au témoin lui-même. Que falt- de des romans science-fiction, a-t-il déjà vu des caminer les alentours, les aches suspectes. la couleur des herbes, et si cela est justifié, un prélèvement d'échan- M.O.C., lu des articles... Deman dez-lui s'il n'a jamais été blessé, prisonnier de guerre, s'il a bonne vue, bonne ouie, s'il n'a jamais eu de graves maladies... Les ques tions, bien sûr ne doivent pas venir à la mitraillette, mais étre amenées, de-ci de-là, au cours d'une conversation, en lui parlant de son travail, de son passé, de ses jotes, de ses peines. de ses connaissances. Pour l'étude comparative, il consient de recueillir les mêmes bestioles dans une zone saine et de faire un emballage identique et are. Notez sur la boite, immédiate- date, et de quol Il s'agit rifier la température à femplacement des traces le terrain, et s'il est plus qu'à 10 mètres de là, il souhaitable de pouvoir r grossièrement la diffé Ce n'est pas tous les jours ela arrive, et le thermo- n'est pas prévu dans le em mais c'est fréquent. On ale de nombreux cas Un éclair dans le ciel, un mystère... Avant de sourire, il convient d'étudier soigneusement tout ce que dit le témoin, THEATS 2.11 installé à Cier-de-Rivière, et il m'a dit avoir en mémoire ce qui s'était passé le 17 octobre 1954 vers 9 h 30. Son fils avait amené sa ju- ment, âgée de 4 ans, pour aller chercher un râteau- faneur laissé la veille dans un pré situé de l'autre côté de la vallée à environ 2 kilomètres. Pour arriver à ce pré il fallait emprunter un che min de terre creux, bordé de taillis, se dirigeant vers le sommet de la colline. Ce chemin était très peu fré quenté Done le fils Guy Puyfour cat marchait à gauche de sa bête tout en la tenant par la bride. olyta el save som si 3 cris perçants Presque en arrivant au sommet de l'espèce de col par lequel le chemin fran- chit la colline, se trouve un terrain assez plat de 300 m2. environ. En arrivant en bordure de ce terrain, et débouchant des taillis avec sa bête, le jeune Guy vit- cette dernière apeurée, re- gardant vers la droite. A ce moment trois cris perçants, comme des cris d'oiseaux sauvages, se firent entendre et, en même temps, un en- gin s'éleva derrière un rideau d'arbres en direction de l'est, avec un sifflement. Un important déplace- ment d'air eut lieu et, à sa grande stupéfaction, tein- tée de peur, Guy vit sa ju ment comme aspirée verti calement à 3 mètres envi ron de hauteur. Il avait dù lâcher la bride pour ne pas être soulevé en même temps. La jument tomba sur le sol comme une masse, avec un bruit sourd car c'est son corps qui avait heurté la terre et non ses membres. Elle est tom- bée sur les flancs. Pendant ce temps l'engin était monté à 50 mètres de fantqur autcasus de cette scène, marquant une espèce d'arrêt avant de foncer vers l'est. D'après le père du témoin, son fils, en lui faisant connaitre ces faits, lui a dit qu'il s'agissait d'un engin circulaire de couleur grise, d'un diamètre de 1,50 mètre. D'autres faits analogues n'ont pas été remarqués de puis 1954 dans cette région. En conclusion, la person nalité du témoin, considéré comme intelligent, sobre, réfléchi, puis le scepticisme du père, transformé ensuite en certitude bien ancrée, prouvent que les faits qui précèdent sont bien le re- flet de la vérité et qu'un engin inconnu, peut-être un peu plus grand que les di- mensions indiquées, a bien . survolé et attiré dans les airs la jument de M. Puy fourcat, laquelle était bien ferrée. Le reflet de la vérité La reconstitution de cet événement a été confiée par le juge d'instruction des La condition principale qui doit être respectée est avant tout la rapidité de l'envoi entre le moment du prélèvement et son expédition. Il doit, bien en- tendu, étre fait très vite après un atterrissage, faute de quoi des gaz précieux ont le temps de se diffuser et de se perdre dans l'atmosphère. Pendant une dizaine de minutes la jument resta inanimée sur le sol puis elle se releva, couverte de sueur et de boue. Guy et sa bête rentrèrent alors à leur domicile sans aller chercher le râteau- faneur, but essentiel du déplacement. En arrivant chez lui Guy confia à son père ce qu'il avait vu et ce qui s'était passé. Le père ne voulait pas le croire bien que le sachant très pondéré mais, après avoir vu dans quel état était la jument et sen- tant que son fils avait en- core peur, il a bien compris que la vérité sortait de la bouche de son fils. Avec ce dernier, dans l'après-midi, il est allé sur les lieux afin de chercher des traces pouvant avoir été laissées par l'engin. L'emplacement exact de ce dernier n'étant pas bien situé par suite du rideau d'arbres, ils bornèrent leurs recherches au terrain dé gagé avant le col et ne. trouvèrent rien. La jument a été vendue ans après, mais comme toit pas ufiffluce i la reproduction, rien n'a été remarqué à ce sujet. 5 cite Une enquête de gendar- merie a été effectuée à l'époque, d'après le secré taire de mairie, mais elle n'a pas recueilli plus de renseignements que ceux fournis par M. Puyfourcat. 6 Pour l'eau, stériliser la bou- teille devant recevoir le pré- lèvement. L'eau devra être prise dans le ruisseau proche de l'at terrissage ou à la mare, ou à la flaque d'eau la plus proche. Fer- mer la bouteille à la cire. i M.O.C., M. Fernand La- garde,à un enquêteur d'une très haute compétence, M. Delphieux. Depuis la dramatique expé rience subie par le docteur A... « Dans sa carrière, dit de lui M. Lagarde, sa compé- tence et ses succès lui ont valu le grade le plus élevé de sa spécialité. Il sait esti- mer la sincérité des té moins, et pour lui, nous a-t-il déclaré au cours de sa visite, leur sincérité ne fait aucun doute. > aux Amériques, et chez nous au moins c'était le cas à Are-sous- Cicon. Même avec un thermo- mètre, ce n'est pas facile et il faudra faire plusieurs mesures, et faire une moyenne. Le relevé peut être extrêmement précieux pour des études ultérieures. Il faudra ensuite, dans ce cas, faire des prélèvements de terre. Un Attention litre en profondeur. Quant au dessin ci-dessus- il a été réalisé d'après les photos des lieux prises par M. Delphieux. Il est dû à la plume de l'un des 12 des- sinateurs qui font partie de l'équipe de Lumières dans la nuit, M. Tallé. Les échantillons dûment éti quetés avec tous les rensei aux influences gnements néces saires seront à adresser direc tement et immédiatement avec une lettre explicative à M. le pro- fesseur Lautie, docteur ès scien- ces, villa Pitchoune, 12, avenue Louis-Laurens, 06- Roquebrune- Cap-Martin. hindo Pour l'air, remplir une bou teille d'eau bouillle. Fermer. Sur place, à la verticale du lleu. à 1 m. 50 du sol environ, retour- ner la bouteille, Pouvrir, l'air remplace l'eau; laisser aérer un moment et maintenir la bou- teille renversée jusqu'à sa fer meture hermétique à la paraf- fine ou à la cire. po not qui a sombré dans la folle apres avoir été guéri par un M.O.C., M. Lagarde insiste auprès de ses enquêteurs pour qu'ils procèdent à des post-enquêtes ». psychiques inconnues Le témoin proche d'un objet peut avoir subi des influences dont nous ignorons la nature, dit M. Lagarde. Tout le monde connait les effets des rayons X et autres qui ne sont pas pour autant perçus par sens, Portrait robot d'un Mystérieux Objet Céleste Un groupe de scientifi- ques de l'Oklahoma (U.S.A.) a établi le portrait robot d'occupant des M.O.C. d'après les détails de quel- que 300 d'atterrissage. Une hypothèse formulée par BEAU Q. Sandy est qu'il s'agirait non pas d'êtres présents sur la Terre, mais de leurs ima- ges en relief émises depuis d'autres planètes, comme des messages. Les rayons laser qui reconstituent maintenant l'image en relief donne un intérêt nouveau à cette hypothèse. nomène, et il importe que l'en- quêteur se préoccupe des suites de l'observation. Dans les 8 jours qui suivent, et plus tard, quelquefois des mois selon les cas, il devra re- voir ce témoin et s'enquérir de faits nouveaux. Sa curiosité devra s'exercer sur l'état physique: fatigue, sommeil, ou insomnie, maladie ou guérison... sur son comporte- ment: réves, hallucinations.. sur une modification de ses pen- sées, de ses idées antérieures; il peut être devenu croyant par exemple, ou l'inverse, ou d'in quiet avoir acquis la sérénité, ou Finverse. » Et M. Lagarde d'affirmer pour conclure : Tous ces phénomènes, nous les avons constatés. Il s'agit done d'en difficile, ant beaucoup de doigté et de dis crétion mais indispensable pour l'étude du phénomène. » Ⓒ Lumières dans la nuit et LE PARISIEN libéré. L'expérience prouve que cette influence existe et se traduit par des effets divers dont les plus connus sont les crises, de sommeil et la fati- que que ressent le témoin. PROCHAIN ARTICLE: Mais il en est d'autres moins visibles qui peuvent porter sur des troubles du psychisme et des modifications du com- portement. A Evillers, dans le > Nous en avons des exemples qu'il nous est impossible de citer sans porter atteinte au témoin Ils de même Jura, les M.O.C. ture que ceux qui sont sous la sont venus 30 fois ce qui explique notre discrétion. > Cependant leur connaissance en 20 ans est eapitale pour l'étude du phé-