LES MYSTERIEUX OBJETS VOLANTS Le dossier FANTASTIQUE que tout le monde attendait Objets célestes est maintenant réuni, qu'il faut bien prendre en considération, qu'on le veuille ou non. >> Pour ceux qui ont réuni ce- faisceau de preuves, c'est l'An 13. Cela fait, en effet, treize années, disent-ils, que dans le calme, loin des passions déchaînées, animés du désir profond de connai- tre et de comprendre », ils con- juguent leurs efforts pour que opewait apparaten atempore, aux esprits Pour eux, il est drat que qu'en plein XX siècle... un fait de cette importance laisse indif- Le père Tranquille sur les traces des M.O.C. M. Fernand Logoude, Fatrait de Ya S.N.C.F., ancien ins- poctour de la voie, consacre su vie à collector les renseignements des 700 enquêteurs qui quadrillent la France ses documents sont bouleversants. Chaque mois, il reçoit 300 communications. Qualifié par le juge d'instruction des M.O.C., M. Lagarde, comme l'un de ses meilleurs enqué- teurs, M. Jacques Derache, qui demeure dans le 13 arrondisse- ment, à Paris, a pu reconstituer dans le plus grand détail l'appa. rition d'un M.O.C. dans le ciel de Paris. Voici son récit : Le 31 octobre et le 17 novem- bre 1969, j'ai rencontré à son domicile M. Chalols, 48 ans, em- ployé à la préfecture de Paris, et voici ce qu'il m'a déclaré Et jeunes et vieux d'admettre cette pensée de Descartes « Nous devons chercher la vérité en pleine liberté d'esprit, affran- chis de toute idée préconçue. > Ils sont d'autre cing pays étrangers signalent immédiatement à Lumières dans la nuit les phénomènes «Un faisceau de preuves en faveur de l'existence des Mystérieux convaincus que leurs découver insolites dont ils sont les témoins. tes sont autant de lumières dans la nuit actuelle de l'humanité et nous guident pas à pas vers ses horizons nouveaux Ainsi, le 11 mai 1970 à Moron, province de Séville, découverte d'étranges traces dans un champ de tournesols. Apreise M.O.C. enquête approfondie Phypothèse parait la plus vraisemblable ». Le 27 ou le 28 juillet 1965, nous rentrions juste de vacances et nous venions d'arriver à notre appartement, au troisième et der nier étage de l'immeuble, lors- que l'observation eut lieu. férente la quasi-totalité des hom mes d'ict-bas, car, précisent-ils, la présence des Mystérieux Objets célestes et de leurs occu- pants est probablement liée au devenir de notre humanité. Aussi pour enx n'y a-t-il pas de doute la preuve évidente do Favistenen gamme Mystérieux Objets célestes réside dans des dizaines milliers de témoignages recueillis. Ils pro- viennent des milieux les plus Les gendarmes ont reçu l'ordre de photographier en hélicoptère, à la verticale, à l'infrarouge, les traces laissées par les Mystérieux Objets célestes. « Papa, viens voir >> Il était environ 17 h 30; le temps était clair. Des valises et des sacs étaient encore sur la EXISTENT! table, ainsi que notre appareil photo, appareil très simple, d'un maniement facile. Mon fils se dirigea vers la fenêtre, l'ouvrit et, à ce moment, m'appela: Papa, viens voir ! Je vins aussitôt, et la vue d'un objet insolite, immobile dans le clel, au-dessus des toits, et au- delà de l'immeuble faisant face au mien (trois étages égale ment), je saisis mon appareil photo et, constatant qu'il restait trois clichés à prendre, je pho- tographial cet objet sans perdre un instant. J'eus le temps de faire deux photos, mais, au mo ment de prendre la troisième, l'objet disparaissait à une vitesse incroyable.. Un témoin digne de foi Ce témoignage, fait avec beau- coup de simplicité et de gentil lesse, m'a paru parfaitement sin cère, raconte l'enquêteur, M. De rache, et la bonne foi des témoins ne me semble pas pou divers, étonnamment semblables dans la diversité des descrip- tions. Ils ajoutent à moins d'ad- mettre qu'une folle collective (douée de plus d'une parfaite transmission de pensée) se soit emparée de l'humanite, celui qui se penche sur ces témoignages ne peut pas nier l'existence du phenomene voir être mise en cause à la suite de l'enquête effectuée et des entretiens que j'ai eus avec eux. La durée totale de l'observa- tion fut d'environ 3 à 4 minutes. A son début, l'objet, d'apparence métallique et de couleur gris métallisé, était immobile, orienté nord-nord-est, azimut 19 du nord, à une hauteur angulaire d'environ 35 au-dessus de l'ho rizon. 2.000 adeptes tournés vers des horizons nouveaux Puis il se déplaça légèrement vers le nord, animé d'un mouve- ment de rotation lente (de la gauche vers la droite), fit un tour complet sur lui-même et s'inclina sur la gauche à ce moment, le second cliché fut pris, qui indique cette position différente. Aussitôt après, le M.O.C. disparut à une vitesse extraordinaire, en quelques frac- tions de seconde. Les témoins ont eu l'impression visuelle d'un trait avant de ne plus rien voir. Sept cents enquêfeurs, enca- drés de 25 délégués régionaux couvrant la France. Que sur- vienne quelque phénomène inso lite en quelque point du terri- toire et les équipes d'enquêteurs Qui sont done ces gens aujour se mettent en route pour retrou- d'hui convaincus de l'existenc ver les témoins, reconstituer de ce qu'ils appellent les Myste l'événement, recouper les témoi- rieux Objets celestes, pour en gnages. Exemple: Alain Bressol les M.O.C. designant globals a observé un grand oblet en forme de disque dans un champ ment soucoupes volantes, étres près de Monsempron-Libos. I venus d'ailleurs, apparitions volait à grande vitesse en direc- insolites, lumières étranges, bou les de feu mystérieuses, manifestion du sud, Enquête en cours, tion, pour atre actos fatnectes en tous les cas inexpliquées. Ils appartiennent à l'organisa- tion Lumière dans la nuit. pour qui les faits sont les faits. Si ces falts ne cadrent pas avec une theorie regnante 5. ils estiment que celle-ci doit étre abandonnée tandis que les faits demeurent comme base de travail. Ce véritable réseau de surveil lance des M.O.C. compte aujour d'hui 2.000 adeptes. Ce sont des scientifiques réunis dans une sorte de collège invisible et qui osent s'écarter des sentiers battus». Ce sont des professeurs, des instituteurs, des médecins et beaucoup de jeunes lycéens, étu- diants, travailleurs, techniciens. Nous, jeunes d'aujourd'hui, c'est à notre société de demain que le problème des M.O.C. ris que d'apporter les conséquences de sa singulière nature, écrit l'un d'eux. C'est nous qui ris- quons de vivre plus spécialement les bouleversements profonds et de tous ordres que ne peut man- quer d'entraîner un contact avec des êtres nés et venus d'autres mondes... > Lumières dans la athome également avoir place au cours de ses 13 premi res années d'existence une vast organisation ayant une activité réelle » L'objet était silencieux Du début à la fin de l'observa- tion, l'objet resta silencieux. L'éperon visible sur le second cliché est apparu pendant la rotation de l'objet. Sur le même cliché, le fil qui part de la che minée de gauche est un fil de descente d'antenne de T.V. Une organisation Un réseau d'alerte téléphoni- de détection et d'enquête que doublé d'un réseau de radio amateurs afin que les enquêteurs puissent s'alerter mutuellement dans le cas d'observation d'un hermene. En reportant l'azimiut sur le plan du 19 arrondissement, j'ai constaté qu'à partir du passage Dagrais, rigoureusement dans Paxe horizontal passant sous l'objet, se trouve, à environ 650 mètres, une intersection de voies de chemin de fer et, 150 mètres plus loin, dans le même axe, une usine à gaz. Quatre cent trente postes de détection magnétique sont répar tis dans toute la France. Aler- tés par le contact électrique d'une aiguille aimantée déviée », les enquêteurs peuvent ainsi observer le passage d'un objet insolite, d'un point lumineux ou structure mal définie ». Exemple: le poste n° 228 à Bron (Rhône) enregistre 4 appels le 19 février 1970 à 18 h. 35, 20 h. 30, 20 h, 33 et 20 h. 35. Malheureusement, le ciel était couvert, il pleuvait et aucune observation n'a été possible. Des correspondants dans vingt. M. Derache apporte ensuite les précisions techniques suivantes TOUS LES GENDARMES DE FRANCE ET 700 ENQUÊTEURS SONT SUR LEURS TRACES D'après les cotes relevées dans l'appartement du témoin pour situer l'emplacement de l'appa- reil photo, an en déduit que la Un poot d'ingénieurs et d'hommes de science qui se pen. chent sur les problèmes de la détection: la création de sta- tions d'observation scientifique- ment équipées est envisagée. Un MOC dans le ciel de PARIS Maintenant, on ne peut plus en rire. Soucoupes valantes ou non, l'existence de Mystérieux Objets célestes » est évidente. Il n'est pas possible de mettre en doute, au nom d'un scepticisme irréductible, des milliers de témoignages passés au crible par des enquêteurs bénévoles dont la profession et l'honorabilité sont une caution indiscutable. Cent cercles d'études se réu- nissent régulièrement pour dis cuter les observations et Le dossier des M.O.C.», que « LE PARISIEN libéré » ouvre aujourd'hui, a été constitué au jour le jour, après treize années d'observations. d'en dégager une phi essayer Cent cercles d'études passent également en revue les grands phénomènes inexpliqués du passé. Un réseau de surveillance photographique baptisé « Résufo >> Deux cent cinquante traduc teurs dans toutes les langues sont à la disposition de Lumiè res dans la nuit pour adapter les observations reçues des cor- respondants des vingt-cing pays appartenant à l'organisation Douze dessinateurs et cartogra- phes reconstituent les scènes observées par les témoins et vérifiées par les enquêteurs. fenêtre se présentait sous un angle de 33 environ et que l'en- gin photographié avait un angle apparent de 79 Au cœur de l'organisation, un véritable juge d'instruction: On ne peut pas, avec ces seules données, rendre compte de la distance exacte de l'engin, mais nous pouvons présumer que les structures fines (verticales) n'auraient plus été visibles au- delà de 500 métres maximum, étant donné la qualité médiocre des photos. A 400 mètres de dis- tance, le diamètre de cet engin (considéré comme un disque) serait de 50 mètres environ. A 10 mètres près, il semble bien que ce soit là sa dimension. A cette même distance, il se situe- rait à 350 mètres au-dessus du sol, environ. M. Fernand Lagarde a 63 ans. Il est retraité de la S.N.C.F. où il était inspecteur de la vole. Il en 1958 qu'est née l'organisation «Lumières dans la nuit ». L'un de ses buts était notamment de mener la contre-enquête sur la vague de 1954 >. On remarque sur la photo n° 1. à droite du dôme central, une protubérance qui pourrait être l'extrémité de l'éperon bien visi- ble à droite dans le cliché n' 2 Aujourd'hui, le réseau serré que constituent les enquêteurs se propose d'apporter une nou- velle contributinn. da première ortance à cette recherche et capitale». Les en- quêteurs de 1971 n'acceptent plus sans critique les évalua- tions suspectes de distames, de dimensions, de vitesses... La connaissance du phénomène les a guéris de la tendance de ra- tionaliser naivement ce qu'il peut y avoir d'apparence ration- nelle dans les récits qu'ils en- tendent. Ils y regardent à deux fois avant d'interpréter l'invral- semblable. Face à l'invraisemblable, les enquêteurs se gardent done d'ac- cepter ou de rejeter. Ils s'inter- rogent. Ainsi, le cas d'un paysan de la Corrèze qui s'est trouvé en présence d'un personnage habite, à Tarbes, une maison pai- sible, entourée d'un jardin ou les arbres fruitiers sont en fleur, L'homme qui a vu des petits humanoides Au coeur de l'organisation Lu mières dans la nuit, il se définit lui-même comme le juge d'ins truction des M.O. C'est à lui, en effet que parviennent des sus et ports des enquêteurs et corres- pondants étrangers. Il dirige per- sonnellement les 700 enquêteurs, les obligeant souvent à repren- dre leurs investigations lorsqu'il les estime insuffisantes. Chaque mols, il reçoit quelque 300 communications auxquelles il rẻ- pond au rythme de 10 lettres par jour, de longues lettres tapées à la machine sans inter- lignes. Dans son petit bureau situé de plain-pied sur le jardin où chan- tent d'innombrables oiseaux, il passe douxe à quatorze heures par jour à collationner les faits. 1954, année au cours de laquelle le phénomène M.O.C. se mon- tre dans sa plus grande diver- sité». Selon Aimé Michel, on a pu estimer, par les méthodes de sondage, le nombre de té- moins, en France seule, à un million, avec une possibilité de sous-estimation allant peut-être du simple au double.... - Et c'est inconnn accoutré de façon bizarre. L'enquêteur de Lu mières dans la nuit , qui a reconstitué l'affaire s'est posé une foule de questions: Etait-ce un homme ? Un humanoide très humain ? Les M.O.C. ont-ils des comparses parmi nous ? Utilisent- ils des hommes enlevés de la terre? Les petits humanoides eux-mêmes sont-ils des produits d'élevage obtenus à partir de souches humaines, avec hyper- céphalisation artificielle, réduc- tion des organes végétatifs et de la taille, modification des sens? Ou encore, selon une théorie plus subtile, les similitudes, dif- férences el aberrations perçues par le témoin sont-elles imputa- hles à une puissance de notre pensée intégratrice devant un phénomène qui la dépasse ? L'organisation des Lumiè res dans la nuit repose dans les mains de trois hommes : son fondateur, R. Veillith, res- ponsable d'un home d'enfants au Chambon-sur-Lignon, dans la Haute-Loire; un conseiller tech- nique, Aimé Michel, auteur de plusieurs livres sur les sou- coupes volantes, et Fernand Lagarde, le juge d'instruc- tion >> En 1954, plus d'un million de Français ont vu des M.O.C. Toute leur affaire a com mencé après la grande vague de Hallucinations et mystifications 11-5-71 Que pouvons-nous faire, nous gendarmes, face à ce pro blème ? s'interroge le capitaine 2 Kervandal dans l'officielle revue: < Gendarmerie nationale > La gendarmerie natio nale, par son implantation sur l'ensemble du terri- toire, par sa connaissance des lieux et surtout des populations; par son inté grité et l'honnétaté intel. lectuelle qui caractérise son personnel et aussi par la rapidité de son inter- vention sur les lieux, est bien placée pour être une auxiliaire précieuse dans la recherche de la vérité en ce domaine. Comment ? En sachant écouter, en ac cueillant avec sympathie les chercheurs mandatés par les organismes sérieux et connus qui étudient ce bandes magnétiques sur lesquel- les ils enregistrent les témoi gnages. Ils donnent tous leur temps et leurs efforts pour l'amour de la vérité. Ce qui les tient constamment en alerte pour ne pas tomber dans les plèges de la fantaisie et du ridicule tendus par les seep- tiques, les incroyants ou peut-être même par for OC qui parfois cherchent à nous détruire... par le ridicule > problème; en question. nant avec attention et sans préjugés les témoins; en relatant avec minutie état Ainsi, par exemple, un corres pondant qui adresse à Lumières dans la nuit la photographie d'un réverbère qui lui avait paru bizarre. Ou encore un jeune gar- con qui s'était déguisé en mar- tien avec une tenue léopard et un casque allemand. «Il reste cependant nombre d'observations qui ne paraissent pas raisonnables, dit Fernand Lagarde, ou qui choquent la rai- son par le récit qui en est fait. Il est bon de rappeler que les phénomènes que nous étudions sont essentiellement irration- nels... Mais en vertu de quel cri- tere allons-nous décréter que telle ou telle observation n'est pas valable?s Et Fernand Lagarde de onclure K Je me suis senti • Lumières dans la nuit est paralysé lorsque la sou- Le réseau des enquêteurs de entièrement bénévole. Même lors- qu'ils font des centaines de kilo- mètres pour aller vérifier un fait, leur essence ne leur est pas rem- boursée. Non plus que les pelli- coupe s'est envolée >> Ce n'est pas en cachant les faits qui parviennent à notre connaissance que nous pourrons avancer dans la connaissance du phénomène... Une information objective doit être totale ou ne pas être, sans souci d'un confor- misme sclérosant. L'expérience montre que tous ceux qui ont réalisé quelque chose de valable ont toujours eu les conformistes contre eux... > Prochain article: L'extraordinaire récit d'une famille entière qui a vu des M.O.C. (Mystérieux objets céles- tes) pendant six mois, CONSIGNES A TOUS LES GENDARMES DE FRANCE: << Percer le plus grand mystère de tous les temps LE PARISIEN libéré et e Lumières dans la nuit ». des feux et constatations, dans les cas signalés d'at terrissage, nous pouvons contribuer à élucider l'un des plus grands mystères de tous les temps. 241 Et la revue Gendarmerie na tionale publle un questionnaire type à l'intention de tous les gen. darmes de France : l'observation en vol des mystérieux objets cé lestes, les conditions de leur at terrissage, l'aspect et le compor tement des passagers extra-ten restres. La revue recommande égale ment à ses gendarmes lecteurs de demander un hélicoptère pour photographier à la verticale les Iraces laissées par les mystérieux objets célestes. Les gendarmes devront également dresser plans et croquis et vérifier auprès des observatoires, bases aériennes et stations de l'E.D.F. de leur com- muniquer toutes les observations qui viendraient confirmer les constatations effectuées par all- leurs, J'ai saisi mon appareil photo: il me restait trois photos à prendre. J'ai eu le temps de faire deux photos, mais, au moment de faire la troisième, l'objet disparais- sait à une vitesse incroyable.