SOUCOUPES OU PAS SOUCOUPES ? J'ai lu avec grand intérêt les arti- cles de votre collaborateur Maurice Barbotin, nous écrit un de nos lecteurs de Lille, M. Georges Lengrand, rue Solférino. Son étude sur les engins mystérieux qui défrayent tous les jours la chronique m'oblige à penser, avec lui, que ces engins proviennent bien d'un monde extérieur à notre planète. Mais voici que certains estiment que le débat qui s'est engagé entre ceux qui croient aux soucoupes et ceux qui haussent les épaules quand on en par- le est tranché avec la révélation qui vient d'être faite d'un cigare volant, nouvelle arme secrète de l'aviation française. Le « Coléoptère », ce super- engin, expliquerait-il donc ce qui a été jusqu'ici l'énigme des soucoupes volan- tes ? Je pose la question aux techni- ciens de votre magazine. Il est bien difficile, cher ami lecteur d'être affirmatif en un tel domaine. Mais l'on peut tout de même dire que le nouvel engin de l'armée de l'air ne résout pas le mystère. Le pourcentage des objets non identifiés » est trop important (le Pentagone l'estime à 20) pour clore le débat. Celui-ci, au con- traire, reste, plus que jamais, large- ment ouvert. Et il serait particulière- ment hasardeux, d'avancer catégori- quement les soucoupes volantes1 cela relève du domaine de l'hallucination collective. Les hypothèses présentées par notre collaborateur dans son étu- de sont, vous en convenez, solides. De très nombreux savants en sont encore eux, les tout premiers au stade des constatations, des études et de la recherche. C'est à eux qu'il appartien- dra de dire le dernier mot. -