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De jour comme de nuit. Sous toutes les latitudes. En Scandinavie comme en Afrique équatoriale : au pôle Nord comme au Sahara. Au-dessus des campagnes et des villes comme au-dessus des déserts et des océans. Ces témoins appartiennent à tous les milieux sociaux. Beau- coup de gens simples, peu cultivés, certes. Mais aussi des avocats, des médecins, des pilotes d'aviation, des astronomes comme le célè- bre professeur Tombaugh, de Las Cruces, à qui on doit la découverte de la planète Pluton. Les soucoupes volantes semblent maintenant une réalité. Peu de gens osent le nier. Certes, nous n'ignorons pas qu'il y a des mystificateurs. Nous sommes même bien placés pour les connaître. Leurs supercheries sont vite percées à jour. Mais les soucoupes volantes ne sont pas une plaisanterie. L'in- quiétude reflétée par les lettres, chaque jour plus nombreuses, que reçoit « RADAR » en est la preuve. Pour la majorité des lecteurs qui écrivent, leurs apparitions dans notre atmosphère terrestre ne peuvent présager & rien de bon ». C'est pourquoi, aujourd'hui, le public a le droit de savoir. Qu'on ait attribué la présence de mystérieux objets dans le ciel à une confusion avec des ballons-sondes, des météores, des effets de mirages, des phénomènes atmosphériques ou telluriques, nous l'admettons. Mais seulement pour 80 % des témoignages. Car les 20 % res- tant ne répondent aucunement aux hypothèses émises. LE MARTIEN-BETTERAVIER SITE DE LA PAGE T Des lueurs jaunes, orange et vertes montaient, s'étouffaient et renaissaient entre les grands arbres séculaires de la forêt de Tronde. Ils semblaient vi- vre soudain, leurs hautes branches, lourdes encore de feuilles roussies, des- sinant sur le velours de la nuit de larges gestes de détresse, des appels de noyés.. teur, M. Lelu était presque convaincu. d'avoir vu les bords luisants de l'en- gin et le classique hublot de verre sans lequel il n'y a pas d'engine non identifié. En arrivant au village, il en était même tout à fait sûr. Il alerta la gendarmerie, puis ses voisins. Un premier groupe d'hommes en armes se forma. L'heroime n'est pas un vain mot. D'autres hommes de bonne volonté se joignirent aux pre- miers. Sus aux Martiens ! A l'orée du bois, sous les ordres des gendarmes revêtus des insignes de leurs fonctions, les combattants fa- rouches se déployèrent en tirailleurs. Les flammes étaient toujours là, le Martien aussi Il ne flaira point l'approche enne- mie Faute d'émettre un rayon vert, il n'émit que de véhémentes protesta- tions lorsqu'on le jeta au sol et qu'on le ficela proprement. M. Lelu, coquetier de son état, et qui, de Lay-Saint-Rémy regagnait son foyer sis à Troussey, village situé à la limite des départements de la Meuse et de Meurthe-et-Moselle. immobili- sa sa voiture. Un incendie peut-être ? II mit pied à terre et sans crainte avança jusqu'à la lisière du bois. Les fiammes bondissaient à un rythme ré- gulier, trop régulier. Et d'un coup, M. Lelu se courba comme un fantassin surpris par une patrouille et qui salue la première salve ennemie. A vingt mètres devant lui, là une sorte de géant voûté. DONT LA MOITIE DU CORPS DISPARAISSAIT SOUS DES FLOTS DE POILS BLONDS s'activait autour des flammes aux couleurs cu- rieuses. Un prêtre eût vu le diable et crié : Vade retro Satanas ! ». Le coquetier vit une soucoupe et conclut Un Martien ! ». Aucun doute n'était possible là-dessus, l'indi- vidu correspondait bien à l'un de ces êtres dont la presse publie chaque jour le signalement Quant aux flam- mes, pardieu elles provenaient d'une soucoupe de la soucoupe du Martlen! Et, tandis que, fuyant le rayon vert paralysant, il écrasait son accéléra- LES LECTEURS DE "RADAR ONT LEUR IDÉE SUR LA QUESTION ES lettres, de plus en plus nombreuses, que Radar» reçoit de ses fidèles lecteurs, prouvent que l'intérêt suscité par le probème des soucoupes volantes, bien loin de s'apaiser, ne fait que croitre. De nombreux corres- pondants, de tous les milieux sociaux, nous font part de leurs observations personnelles concernant ces mystérieux phénomènes célestes; d'autres exposent. plus ou moins scientifiquement, leurs propres théories sur l'existence terrestre de ces engins. sur leur mécanisme probable. Bien peu esent affirmer que les témoins sont de doux illuminés. Nous ne parlerons que pour mémoire de ces joyeux plaisantins qui se livrent à des facéties vite décelées (ce n'est pas pour rien que notre journal s'intitule « Radar ». Leurs lettres sont d'ailleurs ano- nymes ou signées « illisible» (ce qui ne nous a pas empèchés de reconstituer dans une signature le nom fameux de... Fantomas. A quand Rocambole. Judex. Nick Carter ou Dick Kirby ?). UN MONSIEUR BIEN RENSEIGNÉ M Alfred NAHON, professeur. Lau- sanne «1¹ L résulte de mes renseignements, recoupés par la tournure de cer- tains faits diplomatiques impor fants, que ces engins viennent de plu- sleurs planètes et que leurs occupants ont avisé les principaux gouverne- ments d'avoir à cesser leur politique atomique et militaire en général. Il y a longtemps que la population aurait dû être informée loyalement de la vérité nature extra-terrestre de ces appareils, mission pacifique de c autres humanités, éventualité de plu- sieurs atterrisages dans un avenir im- médiat, précisions sur les atterrissages passes Les gens de Troussey détenaient un Martien ? Non, il ne s'agissait que d'un ouvrier agricole polonais présen- tement en chômage et nommé Alexan- dre Ronnejki, au demeurant à demi- fou, qui ne s'était ni rasé ni coiffé de- puis des mais. Pour l'heure, il alimen- tait un feu de bois avec des poignées de sel. me dressé une dentro Les gendarmes lui ont tout de mê pour e détaut de paplers et in- fraction à la loi sur les étrangers ». Tout ce monde pour l'arréter ! Mar- tien ou non, il en est tout de même tombé des nues ! JE NE SUIS PAS FOU! Roland Dumont, fermier à la Chapelle-Champigny (Yonne) ju- re qu'il a bien vu une soucoupe: Elle était jaune comme un so- leil, grosse comme une lessiveuses UN PEU DE FANTAISIE M. René LECLERCQ, 15, rue Voltal- re, Denain (Nord) COUCOUPES! Tout le service y passe re-soucoupes : crois, tu y erols, un autre n'y 3'y croit pas : Il a vu, ils ont vu, je n'ai encore rien vu, mais j'y crois quand même, et j'ai ma petite idée là-dessus. Jusqu'alors, il nous a été impos- sible d'entrer en contact avec ces LE VROMBISSEMENT D'UN «SOLEX« Nous ne savons rien sur eux, et per- Soldat DE DEVI Christophe Hôpi tal 294 Fréjus (Vari sonne ne recherche le moyen de ne pas les effaroucher et de leur donner confiance pour de plus amples expli- cations. «Pabsence de OUR une fois, noux regrettons Radar à qui nous sommes obligés d'adresser simple croquis à titre documentaire, defaut d'appareil phote, de cet en- gin que nous pouvons aussi appeler is soucoupe volante puisqu'il a vo- lé, ce matin, vers 6 heures, dans un ravin près de l'Hôpital militaire 294. Il pleuvait à fines gouttes, lorsque mon copain Zopina et moi allions chercher du lait à une épicerie. Tout d'abord, un leger vrombisse- ment ressemblant à celui d'un So- lex, puls un engin tout blane (on dirait du métal chromé à une queue d'avion) correspondant à la circonfé- rence d'une sphère de couleur orange. Pris par la curiosité, nous nous som mes approchés à environ 5 mètres, et c'est alors que nous avons pu distin- guer un homme de taille normale, en vetement de pilote, aux cheveux frisés, au teint de métís, débouchant d'un trou au bas de l'engin. Le temps de regarder en haut, la porte qui était à moltié fermée s'ouvre et voici un au- tre homme qui saute par terre et parle un dialecte inconnu avec le premier à qui il ressemblait formidablement. Puis, tous deux se mirent à marcher à grands pas vers nous. De peur d'être attaqués ou enlevés, nous avons pris la fulle, et c'est en arrivant devant la chapelle de l'Hòpital, nous sentant un peu plus en sûreté, que nous avons admiré avec notre ami Roch, qui reve- nait de la cuisine avec le café, et Is- soujou, l'infirmier de service, l'engin prenant de l'altitude avec une rapidité foudroyante, puis disparaissant, Puisqu'il est impossible de se comprendre avec ces gens-là , ex- pliquons-nous par signes ou inscrip- llons images. Que sont exactement ces 20 %? Objets non identifies déclare le Pentagone, sans chercher plus loin. De plus en plus, il apparait que ces e objets non identifiés s'appellent des soucoupes volantes. Deux questions se posent : 1 Sont-elles d'origine terrestre? 2 Viennent-elles d'une autre planète que la nôtre ? On a parlé d'avions à réaction volant à très haute altitude. Der nièrement, certains ont déclaré que le mystère des soucoupes vo lantes était désormais élucidé. Il s'agissait d'un engin, fabriqué en France, sous le nom de « Coléoptère ». Une telle explication, nous osons le dire, est un «abus de confiance ». L'opinion publique ne s'y laissera pas prendre. Le « Coléoptère» est une invention dont l'esprit humain peut, à bon droit, s'enorgueillir; mais ce n'est pas et ce ne sera jamais -ni la soucoupe ni le cigare volant. Qu'une nation, à l'avant-garde scientifique, ait pu fabriquer des soucoupes volantes, c'est domaine du possible. Mais que le mys tère puisse être aussi soigneusement gardé parait improbable. Sinon, à quoi serviraient les services secrets travaillant dans l'ombre de tous les gouvernements mondiaux ? Admettre l'existence terrestre de tels engins, c'est également poser un certain nombre de questions. 1° Quel est le mode de propulsion de ces engins et la force qui les anime? L'énergie nucléaire et la réaction sont des découvertes récentes. Les turboréacteurs font énormément de bruit et le passage du mur du son produit une double détonation semblable à celle d'un canon. Le silence qui entoure les évolutions des soucoupes volantes permet de déduire que ceux qui les manoeuvrent disposent d'une puissance encore inconnue, très en avance sur nos connaissances actuelles. 2 Comment expliquer que de tels engins puissent voler à des vitesses aussi prodigieuses en changeant brusquement leur angle de route pour se tenir parfois immobiles dans l'air ? Tout ce que l'on connait des lois de la physique et de la méca- nique contredit de telles évolutions. Voilà comment je vois cho- ses sur une vaste étendue bien nette (je suis sûr que les Américains avec leur tempérament excentrique le fe- raient), « dessiner avec toutes sortes de matériaux de couleurs gales et plaisantes à l'oeil, à une grande échel- le, tout le système solaire avec ses planètes le soleil coloré en jaune et avec ses rayons au centre et tou- tes les autres planètes (Mercure, Vé- nus, Terre, Mars et autres avec leurs satellites principaux), de forme et grosseur approximatives. Parmi ces planètes, faire naviguer de-ci de-là quelques soucoupes et el- gares artificiels surtout vers la Terre, Solgner particulièrement cette dernie- re en y aménageant un superbe terrain d'atterrissage et en y dessinant les pays visibles sur cette face à l'aide de fleurs multicolores. Aucun doute, nos visiteurs ne resteront pas insensibles au langage des fleurs. On peut y ajou- UNE SEMAINE DE RÉFLEXION N'A PAS FAIT DÉCOUVRIR L'OISEAU RARE VEC un retard de huit jours, notre jury s'est penché sur les trois envois retenus la semaine dernière. Au groupe de jurés, que pré- side le général de l'Air Chassin, commandant en chef de la Défense Aerienne du Territoire, se sont joints MM. Paul Montel, directeur de la revue Le Photographe, et Ananoff, pionnier de l'astrophysique. Nous pensions que les candidats au million de Radar » auraient des chances d'avoir pris au vol l'oiseau rare qui a pour nom soucoupe vo- lante. Après examen, nos techniciens n'ont pu couronner personne... Voici l'avis du réneral Chassin et de MM Chéreau, Montel et Ananoff sur le pre- mier document envové par M. Dahin, de Bols-Colombes, Rappelons que l'engin avait ete photographié le 6-10-34 au mo- ment où il survolait le Mt-Valérien. C'est de la rivolade. A mon humble avis, cette photo ne peut être prise en considérations affirme le general Chassin, Louis Ché- reau est non moins catégorique : La photo est souvent trompeuse, mol, ce que je désire c'est un morceau, si netit soit- il, de soucoupe. Or ce cliché est un petit dessin fait avec application », M. Montel a un doute mais est formel: La photo présente ou un défaut de la plaque ou de la gélatine... A moins que ce soit un leger truquage... Et c'est le tour de M. Ananoff: La fraude est facile. Tou- tefois, ce document est le plus interessant des trois. L'objet apparait avec nettete. Je crois que M. Dahin a opéré au crépus- cule. Ne s'agirait-il pas d'un phénomène dù aux rayons du soleil couchant ? Oui, sans doute. Mais seul un objet de forme triangulaire me convaincrait. On est frap- pé par cette constatation d'ordre général : les photos ont trop tendance à reprodui- re les dessins des soucoupes qui parais- sent cà et là dans diverses publications. Pour ce qui est de l'envoi de M. Atez, in- génieur architecte, les jurés n'ont aucun doute. La boule de feu qui passait au-des- sus de Marseille à une hauteur de 300 m., le 7 juin 54, est uniquement un effet lumineux, décrète le général Chassin. Très bref, Louis Chéreau précise: a Ce peut être le soleil, la lune... Quant à M. Paul Montel, sa déception éclate: « Ce document ne veut rien dire. Puisque c'est un instantané la boule lumineuse devrait présenter des formes, mêmes incomplètes. Or, icl, absolument rien . M. Ananoff est très sévère: « Je crois que j'obtien- drais un cliché analogue à celui de M. Atez si je voulais m'en donner la pel- ne». Souriant, après ce verdict, son au- teur ajoute: Et du moment qu'on ne voit rien, on peut tout admettre... ». Ain- si done, sur ce second document, les qua- tre jurés sont unanimes. Le général Chas- sin qui écrivit « Les conquérants de l'in- fini , ouvrage de science-fiction, pense que ces apparitions martiennes ou vénu. siennes sont « hautement improbables Toutefols, il attend patiemment d'autres épreuves, estimant honnêtement qu'il est antiscientifique d'employer au vingtième siècle le mot impossible pour un savant. L'envol de M. Farkas, cliché pris par un parachutiste le 6 juin 32 au-des sus de la ville de Tarbes, provoque l'indignation du général Chassin peut se tromper sur l'altitude d'un avion dont on connait les dimensions Mais je trouve admirable que le photographe puisse évaluer l'allade d'une soucoupe (?) dont il connait pas le diametre. C'est un fumiste. De vant ce document, M. Chereau est perplexe: « Je me demande ce que cela peut bien étre, mais en tout cas, pas une soucoupe M. Mentel part d'un eclat de rire: « Ce document est une photo fantaisiste. A 3.500 de hauteur, à une vitesse dite du 100 de seconde, avec une ouverture A 6,3 le soir, le photographe n'aurait rien eu. Enfin, à celle distance, a une plaque 6,9 la soucoupe ne serait qu'un point minuscule. La soucoupe n'est en realité qu'une vulgaire assiette Et c'est à M. Ananoff de de Si cette photo n'était pas truquée, elle n'aurait pu être prise qu'au teleobjectif. Mais comment le savoir L'operateur a dispare clarer RADAR 7 NOVEMBRE 19