SUR LE SOL DE FRANCE LES SOUCOUPES LAISSENT LEURS EMPREINTES VIENNE : -Il m'a serré la main CHATELLERAULT. Tous ceux qui ont approché les passagers de soucoupe sont d'accord : ces incon- nus n'ont que de bons sentiments. On se souvient que l'un d'eux, en Limousin, embrassa M. Mazeaud. A Vouneuil-sur-Vienne, le « scaphan- drier de 80 cm. que vit Yves Da- vid lui tendit une main humaine... YONNE : - C'était un petit homme DRÔME: - Ils ont piétiné le maïs AUXERRE Gisèle Fin, 15 ans, bonne à Diges, a vu la soucoupe montée sur patins à glace qui s'était posée dans le voisinage de la ferme où elle est employée. « Ca n'est pas plus grand qu'une auto décapota- ble, dit-elle. Le pilote ressemblait tout à fait aux hommes d'icl! n. VALENCE. Mme Leboeuf (à dr.) est une privilégiée : elle a vu face à face un pilote de soucoupe volante. « Je cueillais des mûres en bordure d'un champ de mais lorsque mon chien, une bête ordinairement très paisible, s'est mis à aboyer comme un dératé. Il s'était campé devant une espèce d'épouvantail qui n'avait pourtant pas l'air bien terrible, Je m'avance pour faire taire le chien et que vois-je ? L'épouvantail marchait vers moi. Il pouvait avoir 1 m. 10. Il avait l'air d'être enveloppé dans de la cello- phane », Tel est le récit de Mme Leboeuf. Comme on le voit sur notre photographie, les passagers de la soucoupe volante ont cassé, sans vergogne, sept pieds de mais. Ces encoches dans la prairie représentent les empreintes laissées sur le sol par l'engin mystérieux. Mobile et couleur de feu, haut comme une porte. JURA: On dirait un morceau de sucre SAINT-CLAUDE. La soucoupe qui s'est posée sous les yeux émerveillés des enfants Romand, diffère sensiblement de toutes celles qui auraient fait leur apparition dans le ciel de France et laissé plus ou moins leurs empreintes sur la terre. Une boule de cou- leur si vive qu'elle fait penser à un métal incandescent. Les passa- gers sont plus originaux encore. Ils ressemblent exactemnt à un morceau de sucre géant. Comme les visiteurs de Dewilde, dans le Nord, ils sont capables d'émettre une étrange radiation qui paralyse. Le capitaine de gendarmerie Brustel s'est rendu à Prémanon. Il y procède à l'interrogatoire du jeune Raymond Romand, 12 ans. L'enfant est très af- firmatif. Bien qu'il ait eu très peur, il a clairement vu soucoupe et pilote. RADAR -10 OCTOBRE 1954 En décollant, la boule de feu aurait heurté ce sapin et calciné son écorce sur 15 cen- timètres à une hauteur d'environ 1 m. 50.