"L'affaire de la soucoupe la fait de Quarouble le lieu de rendez-vous de tous les reporters de France Les révélations de M. Marina Dewilde, de Quarouble, lequet, il y a quinze jours, a prétendu avoir été frôlé par les deux pas sagers d'une soucoupe volante ques jours d'avoir à quitter les lieux dans le plus bref Motif SNCF. n'appartient pas à la nt fait, de la modeste bourga- de du Valenciennois, le lieu de rendez-vous de tous les journa- tistes de France et de Navarre. Depuis des semaines, M. De wilde, Mme Dewilde plutôt, a reçu dans son humble maison- rette da passage à nivean 79 plus de visiteurs que le Prési dent du Conseil hii-même. Martiens de Quarnu- ble », comme z Litrẻ un de non confrères à sensation, ent ame né chez M. Dewilde les repré sentants de la presse écrite et de la presse filmée. Reporters, photographer cineartes, ont interrogé leur hôte de tou tes les façons possibles, cher- chant dans son récit is faille qui cât pu le confondre. Peine perdue. M. Dewilde à une ver sion des faits qui, deperis quinze jours n'a pas varie d'un ponce. Ceux qui, dans le village me me et aux alentours avalent colporté le bruit selon lequel M. Dewilde ne serait qu'un vision- Faire un hurluberiu, voire un halluciné, n'ont qu'à bien se te- nir. M. Dewilde est allé au com- missariat de police d'Onnaing avec: Fintention. de déposer à leur encontre, une plainte pour diffamation en bonne et due forme, M. Dewilde, tris pour un imposteur par une partie de ses concitoyens, a eu une autre mé zaventure. Locataire d'une mad- non appartenant à la SNCF. il s'est vu signifier, il y a quel- "} Pour vivre heureux, vivons cachés, a dit La Fontaine la formule a du bon Y Ceux qui avaient pu croire M. Dewilde intéressé devront bandonner ce préjugé défavo- rable: la noucoupe de Quarcas ble lui coûte cher. Il n'a ras fini de payer laddition. C'est argument en faveur de son té moignage.