La ronde des soucoupes continue...
Deux habitants de l'Yonne ont vu
un "cigare volant" et son pilote
L y a quelques années, seuls certains a privilégiés pouvalent se targuer d'avoir vu des soucou
Aujourd'hul, les témoignages visuels se multiplient et, de plus, certains affirment que les en
Bins se sont posés à terre. Du moins, c'est ce qui résulte des déclarations de deux habitantes de D
ges, dans l'Yonne.
La première, Mme Geoffroy, 59
ans. qui parait jouir de l'intégrité
de ses facultés, a falt le récit sul-
vant :
Je me dirigeais, vendredi ma-
tin, à 9 heures environ, vers le la-
voir situé en contrebas de la route
de Diges aux Michauts, quand mon
attention fut attirée par un appa-
rell bizarre posé dans la clairière
bordée de bols ».
Et Mme Geoffroy décrit l'engin :
Formé d'un cigare, pointu aux deux
extrémités, bombé au-dessus, vers
le milleu, dimensions approximati-
TCs 4 à 5 mètres.
Mme Geoffroy poursuit: Près
de l'engin, un homme s'affairait, neux, de couleurs différentes, tra
paralesant effectuer une réparation. versant le ciel au-dessus ou devant
il me regarda passer sans rien dire. eux.
Il était de taille moyenne et por-
tait sur la tête une sorte de calot
kakl. J'eus peur et je filal. Deux
heures plus tard, quand je repas-
sal par fà. l'engin avait disparu s.
Sur des patins très minces
Cette troublante déclaration de
rait être corroborée par un second
témoin: Mlle Gisèle Fin. 16 ans.
pupille de l'Assistance publique,
qui gardait des vaches dans un pe-
tit sentier proche du lavoir.
L'adolescente fait à peu près la
même description de l'engin qui,
précise-t-elle, reposait sur des pa-
ilns très minces. Elle ausei a vu
le pilote et, Icl, la description varie
quelque peu: c'est un casque, ana-
logue à ceux des motocyclistes, qu'il
portalt sur la tête. Il était revêtu
d'une combinaison de couleur som-
bre.
La patronne de Alle Fin, mise au
courant, revint sur les lieux un peu
plus tard elle releva dans l'herbe
deux traces parallèles et distantes
de 50 centimètres, paraissant cor-
respondre à des empreintes de pa-
tins
Les gendarmes, eux, ne sont arri-
rés que le lendemain et ils ne rele-
vèrent aucune trace. Pour eux. « le
mystére reste entier ».
D'autres habitants des Deux-Se
vres, du Finistère, de l'Hérault, des
Pyrénées Orientales, notamment,
ont aperçu divers disques lumi-
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sous le titre :
SOUCOUPES