Soucoupes... et plaisanteries Il fallait s'y attendre. L'affat- re des des soucoupes volantes devalt swolter des plaisante. ries. Certaines d'un goût quel. que peu déplace, Jeudi, en fin de soirée, un prétendu M. Le. roy, de Bols-Grenier, nous apt- satt par téléphone qu'une 201 coupe volante arait atterri dans la prairie Dufour. Il dá- clarait en avoir avisé la gen- darmerie, Dans sa candeur naire, ce correspondant béné- role croyait qu'immédiatement nous allons bondir sur les lieur. Peut être nous a-1.11 tendu derrière la hate de la prairie pour s'ezbaudir de no- tre déconvenue. Il en pour ses frais... de téléphone. Un coup de fil à la gendarme. rle dont le planton n'avait pas l'air satisfait du dérangement, révéla la supercherie. élé Une histoire semblable est arrivée près d'Amiens : La soucoupe volante di Es- trée-Deniecourt n'était, en ef- fet, qu'une plaisanterie de quelques électriciens d'une compagnie de la ville qui ont reconnu avoir voulu s'amuter aux dépens de la presse et de la gendarmerie. Procès-verbal leur a été dres sé pour outrages à magistrat et un rapport a été transmis au procureur de la République d'Amiens. de