PANDURANIMATIONS
Les "Wanides".
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SELON LE CONSTRUCTEUR DES "V-2"
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les "pilotes" des soucoupes
volantes seraient des plantes
douées de raison
gence France-Presse le profes
seur Hermann Oberth. Inven.
teur et constructeur de la estèbrel
futée V-2 r.
Hambourg, 14.- Les pilotes
soucoupes volantes » sonl
des plantes douées de 1aison »
théorie
des
surveiller les progrès de l'hu-
Canle terrienne dans les selen-
atomiques parce que ces pro-
res représentent un danger
-
vea un correspondant de pour l'ensemble du cosmos
Selon levant allemand, lea
Uranides tel est le nom
dent i baptise ces plantest onl
des militers d'années d'avance
sur les hommes terriens tant en
ce qui concerne leur volution
spirituelle que leur technique.
La patrie d'origine des Uranides
serait une rlanète où n'existe
pas d'oxygène à l'état gay^ux,
ce qui interdit le développement
d'une vie animale. Les plantes,
par contre, tirent l'oxygène qui
leur est nécessaire d'oxydes
contenus dans le sol.
La planete en question
trouverait en dehors du système
solaire, mais les engins my
térieux dans lesquels se dépla.
cent les plantes intelligentes
pourralent se déplacer à une vi
Lesse proche de celle de la lu
mière (300.000 kilomètres à la
seconde).
Ceux de ces engins vus au-des-|
sus de la terre seralent charg's
Batay SE
Un "scaphandrier" aux yeux énormes
descendu d'un engin mystérieux,
apparaît à trois Toulousains
Toulouse, 14.
mercredi soir par un Toulousain
M. Olivier, d'un mystérieux per-
sonnage, descendu d'un engin
spherique qui venalt de se poser
teile est la description faite à 19 h. 35 sur un terrain vague.
Un a &ca-
phandrier de petite taille avec
une tête grosse par rapport au
corps et deux yeux énormes.
M. Olivier. propriétaire des
Etablissements Javel Neto, rue
des Fontaines à Toulouse, était
accompagné d'un employé, M.
Perano, et d'un jeune garçon
d'une quinzaine d'années. Toss
trols virent se poser l'engin lu-
mineux, de forme sphérique et
de couleur rougeâtre, puls aper-
curent venant vers eux le person-
nage dont le scaphandre, aux
dires des témoins, brillait com-
me du verre.
Par la suite, M. Olivier dess!.
na A la crale, d'une manière
saisissante, sur une porte, le
scaphandrier: « Je n'y croyais
pas, ajouta M. Perano, mais je
l'al vu comme je vous rols. Celn
falt un sacré choc. >
Après un temps très court, en-
viron une minute, le scaphan-
drier regagna la sphère lumineu
se qui s'envola à la verticale,
rans bruit et disparut dans le
ciel à une vitesse prodigieuse,
en laissant un sillage de feu.
En raison de la nuit, aucune
constatation n'a pu être falte à
l'endroit où se serait posé l'en-
rin.
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