- Qui rencontre awal, de l'autre côle de l'Atlan fique? Bréguet avez-vous J'y ai rencontré le célèbre Bell qui ma invité à voire qu'ila fant, lul, ses Ingénieurs et ses ouvriers, dans ses vastes usl, Des de Ruffalo, Les flammes de l'enfer Bell m'a falt auster, poursult M. Loula Bréguel, à l'allumage de l'un de ses Rockeltas. La flam me de ces engins téléguldés, dont la composition est tenue rigoureu- sement secrète, et qui sont mis par une fusée, est d'un jaillisse- ment tout à fait effrayant. Croyel. mol. Je me sula cru, un moment. égaré dans les enfers, Vous ont-ils parlé de votre Deux-Ponts ? -Oul et cela a été pour me dire, textuellement, cecl qui m'a comblé: Tout le monde, icl, est d'accord pour reconnaitre qu'il est impossible de construire votre avion géant (110 passagers, plus le fréti à un prix de revient, moindre que vous ne le faltes vous-mêmes. M. Louis Brémet sourit mall cleusement: -Cet éloge du réalisme amé- ricain à l'égard d'une Industrie françalse vaut, je crois, Infiniment plus qu'une statue! L Il poursuit: -Je me sula ensulte rendu au Canada, A Montréal. J'y al vialté les usines de Canadair, où se fabriquent le Sabres et le T 33. J'y ai vu un projet de 25 suralimenté en altitude. Et c'est à ce propos que je vous annonce, la nouvelle de la construction et de l'apparition relativement pro- chaine du Super-Bréruet-Deux- Ponis. 1 Toul a été prévu et arrange là-bas pour cela: le futur Super- Deux-Ponts sera muni de Bristol B-25 capables de main- tenir l'apparellà onze mille mè- tres La largeur du fuselage sera augmentée de 3 m. 50, afin de permettre l'installation de 50 lits pour les voyageurs. Le nouvel apparell traversera l'Atlantique à une moyenne de 700 kms à l'heure. et à 10.000 mètres d'altitude cou- rante. Je me propose de parler de tout cela à M. le Président Mendès France dont l'intelligence est vive, et dont j'espère. par con- séquent avec tous les construc- leurs de l'aéronautique française. la plus large et la plus patrioti- que compréhension des besoins urgents de notre aviation. leur, et cela expliqueralt asses bien pourquoi les soucouped ne s'écrasent jamale sur la Terre. 2) Les engins en question ar comportent également en igno. rant absolument les loin de la résistance de l'air qui sont à la bate de toute notre technique aéronautique, la sont construita de la manière la moins aérody. namique qui soit au monde et. pourtant, on les volt évoluer des vitesses vertigineuses, à angle droit ou à la verticale. 3) Dans de telles conditions la question de savoir si les fa- meures soucoupes ou lea fa- meux cigares sont construlis aur la Terre doit être résolue par la négative. Tout se passe comme si les engins en question utilisatent des sources d'énergie Inconnues aux Terriens. Les soucoupes > ne sont pas une plaisanteria ! 4 51 le divers objets er- rants dans le ciel ne sont pas construite sur la Terre et ne se meuvent pas selon les lois de la selence humaine, s'ils obéissent. par conséquent, aux lots d'une cience inconnue de cous, on est blen obligé, par déduction logi- que, de faire le grand aut de l'hypothèse. Ces apparells, s'ils extent vraiment et al l'on peut confirmer le centième seulement des témoignages recueillis à leur sujet, ne peuvent venir que d'un autre monde! ܗܘܫܐ ܠܐ Louts Bréquet médite un long Instant, peannt et repesant encore tout ce qu'il vient de dire. Et il lance, pour terminer, la main lar- gement étalée sur les épures de son Super-Deux-Ponts»: Si vous êtes venu. comme je le crois, pour recueillir mon avis sincère alors je me dois de vous dire qu'il ne peut plus être question de traiter de simple plaisanterle l'affaire des soucou- pes volantes. Plongeant alors, dans la brû- lante et l'on serait tenté de dire l'hallucinante actualité. nous demandons à Louis Bréguel de nous dire ce qu'il pense, ou ce qu'il alt, de ces soucoupes volantes doni le ciel et les... Journaux sont remplis. Le célèbre technicien des choses de l'air nous déclare alors, en pesant tous sea mola: -Si l'on fall la somme ou, plutôt la moyenne des milliers de témoignages recueillis jusqu'à ce jour sur les soucoupes volantes. on est bien obligé d'en arriver aux conclusions que volei: 1) Cea mystérieur engine se comportent comme al le problème de la pesanteur n'existait pas pour eux. Ceux qui les ont construits. of coux quí, lea piloleat se mo quent Uttéralement de la pesan. Cinude-Henry LECONTE Lauréat 1954 du Priz Bravo la France.