SOUCOUPE une chlen hurler à la mort. Pensant qu'un rödeur cherchait à pénétrer dans ma basse-cour, je acrtis, munt lampe de poche. J'aperçus alors, à six mètres environ, une forme sombre, que je pris pour un chariot de cul tivateur abandonné dans les champs. Tandis que ma bête continuait A aboyer Je vis deux petits êtres dé boucher d'un sentier voisin. Ils cou- ralent vers le passage à niveau. Le faisceau de ma lampe éclaira ja tête de l'un d'eux. Je fus éblouls par un reflet pareil à celui que peut émettre un objet en verre. Presqu'aussitôt porte de l'engin s'entr'ouvrit, se ferma, puis dernier s'éleva d'une dizaine de mètres après avoft oscillé un instant. Une lumière très vive jalllit, tel un éclair de magnésium, et la soucoupe, pareille à une boule de feu, prit la direction de l'Ouest ». Des scaphandres métalliques M. Marius Dewilde, après avoir alerté sa femme et ses voisins, se hita de gagner le Commissariat d'Onnaing, où il conta son étonnante aventure. D'après la description qu'il donna del'engin, on put estimer que la hauteur de la machine volante était de l'ordre de 3 metres, son dia- mêtre de 6 mètres, sa forme ronde ou conique. La taille des extraordinaires voya- geurs ne dépassait pas 1 m. et tous deux semblaient porter des sortes de scaphandres métalliques. Pas de trace La police de l'Air, informée des falts, s'est rendue, samedi après-midi. sur les lieux, mais elle ne découvrit aucun indice susceptible de donner plus de consistance aux affirmations de M. Dewilde, qui passe pour un homme sérieux, peu enclin aux halld- rinations. Cependant une parcelle de ballast, fraichement bouleversé, retint l'attention des enquêteurs. Ajoutons que se la souroupe serali posée dans un endroit parti- culièrement calme, à plus de 3 kms du village, parmi les patures et les bosquets, bien falts pour reposer les visiteurs Inconnus de leur périple interplanétaire... Et altendons dans le calme les soucoupes à venir... —