LES SOUCOUPES VOLANTES Réalité ou mystification? ¡Suite de la première page) par des vents d'une vitesse supérieure à 320 km-h: pouvoir réfléchissant sur les ondes courtes du radar, 1&cho enregistré étant effectivement aussi puissant que celui que donnerait un bombardier quadrimoteur. Et, reprenant presque mol pour mot la déclaration de la veille, le porte-parole du ministère de l'Air britannique ajouta le ministère de l'Air britannique s'en readit compte car, dès le lende. main, il s'empressait de donner une large publicité à un communiqué so- les lequel l'énorme sphère lumi. Reuse qui avait été repérée le 3 no. vembre dans le ciel britannique, n'était vraisemblablement qu'un bal- lon-sonde De toute façon, un ballon. sonde se trouvail dans le secteur indi. qué au moment précis ca lebjet été repérés et l'enregistrement des mouvements de celui-ci, sur un écran radar de la R.A.F. correspond exac- tement à celui d'un de ces ballons L'explication de la confusion serait la suivante sous le ballon-sende est fixé un petit parachule auquel est accroché un appareil construit avec un métal spécial possidant un grand « Dans plus de 95 p. 100 des cas, on peut expliquer de façon analogue les soucoupes volantes qui sillonnèrent les cieur depuis la guerre. Pour les autres, les experts ne peuvent arriver à aucune conclusion. » Où les experts échouent, la parole est au bon sens. Essayons done, sans idée préconçue, d'y voir clair dans uno alfaire qui ne laisse pas d'atre embrouillée et qel passionne un peu plus chaque jour les habitants de notre pays. 4 Les observateurs >> se seraient laissé prendre aux hameçons du ciel » Dans 95 p. 100 des cas, les sou- coupes volantes ne seraient que des ballons sendes. L'explication n'est pas nouvelle. La commission officiella d'enquete crée par les Etats-Unis à la fin de 1947 avait d'abord conclu: « Les soucoupes volantes ne sont pas une plaisanterie, toutefois la popu. lation n'a aucune raison de salar- mer. > Certaines informations récentes Laissent maintenant entendre que le rapport définitif de la commission soucoupe sera beaucoup plus cald gorique et qu'il tranchere en des ter. mes fort proches de ceux qu'utilisa le porte-parole du ministère de l'Air britannique. Ayant étudié, assure-t-on, 275 do- cumants en 1949, plus de 1.500 en 1952, 250 seulement (quelle chute de popularité !) en 1953, alla conclu- rait que la majorité des faits mys tériaux proviennent d'une mauvaise Interprétation de la vision d'objets normaux (ballons, avions, planètes ou météorites)». La majorité ? La marge de 5 p. 100 a donc grandi ? Qu'en pensera l Dr Liddel qui, entre temps, en 1949 exactement, avait, dans le e Saturday Evening Post », exécuté les e par. fisans des soucoupes » ? D'après lui, alles n'étaient que d'énormes ballons en matière plas que utilisés par les services de phy. sique nucléaire de la marine améri caine pour étudier les rayons cosmi. ques. Ces ballons ou e hameçons du ciel transportent des Instruments chargés de déterminer ce qui se passe lorsque lesdits rayons frappent les atomas de l'atmosphères terrestre à une altitude de trente mille mètres. Les arguments du Dr Liddel, ceux du ministère de l'Air, ceux, demain, de la commissione Scuccupe > no convaincront pas les e irréductibles ». Leur conviction mérite qu'on s'arrête lel at qu'on examine de plus près les arguments qui militent en faveur de « l'explication ballon-sonde et coux qui servent à la rejeter. Pour l'explication Liddel la De l'ensemble des cas examinés par commission soucoupe créée par le gouvernement américain, il semble ressortir que les explica- tions du Dr Liddel sont satisfais santes sur un certain nombre de points! 1. Il est admissible qu'un sphérique volant à très grande altitude puisse étre pris pour un disque ou une len- tille i 2. Lasdits hameçons du ciel > peuvent effectivement étre entrainés 3. Ils peuvent aussi rester station- naires : 4. Tous les observateurs ont naté les bizarres mouvements ascen- dants et descendants des soucoupes. Les engins se déplacent verticale- ment comme une cabina d'ascen. tour », a dit l'un d'eus. Effectivement, il suffit de suivre du regard un bal. lon d'enfant qui a rompu sa ficello ou échappé à la petite main qui lo tenait, pour observer des mouvements de ce type: celui que le Marlien embrasse, soit l'autre qu'un rayon vert paralyta. A preuve encore (mais est ce bien sur 7) les sensationnelles photos pri ses par deux reporters brésiliens. : finalent, discouvrés, sur les plages de l'admirable baie de Rio-de-Janeiro. lorsque, au-dessus d'un de ces rochers revitus d'une lusuriants végétation et qui ressemblant tous « Pain de Sucre », is aperçurent un disque lumineux. lis eurent le temps de saisir leur camera, de prendre des clichés, mais malheureusement, les ombres portées par ce qui aurait pu étre Thabitacle de l'étrange aérone!. ne coincidait pas aves la position du soleil à Theure à laquelle auraient été prises les photos. Le truquega était dons vraisemblable, comme il la fut, reconnaissons-le, en bien d'au fres cas. Comment répondre and ar- guments de poids, que nous venons d'examiner? 5. Les cas qui ne s'expliquent pas ainsi, les mystérieux et irréductibles 5 p. 100 relèvent de l'hallucination collective ou de la plaisanterie. A preuve, l'histoire des petits hom. mes de Vénus» qu'en prétendit avoir découverts dans l'épave d'une sou- coupe près de Mexico, et ces der niers jours en France, il est difficile de croire certains témoins », soit LES MEILLEURS PILOTES XXX. (A suivre.) SONT LES URANIDES (s'ils cristent) nautique u, way cours d'une confitence poradecie à Hambourg. Le professeur Oberthafte qu'il at pruttle, à son cult sont probablement en avance de plusieurs milles Service sur notre Epoqur Poze repliquer pourquoi cüzure in Thaipure sclarte in ne s'at mener tersite sur la Tute, le performer Glath sugyite que les pour une cailon, qu'urz intellettad Lamamen on peut imaginary te Envisagrant une autre proubbté, le photo of Cheesh a rappelé Intionnement des Noz, den allemandes de la fin de la punta dast pharun pritěta) is ozaver: Ember Paria de sevent, entre