Une "soucoupe" s'était abattue au sol près de Saint-Blimont Mais ce n'était qu'un ballon de la... Météorologie britannique A chaque jour, sa ingroupe relgares et autres engina valants mysterious, apercus les of th dans le ciel de notre Picardie, sans parler des autre régions de France et d'ailleurs, La plus prudente elreamspection a'impost en l'arrurienes, Bon hans barnerens à faire etat, iri. de tomaignages ferits en eaux . ewelllis en divers points de département, encore que certains de ren Temoignages point apparemment de nature à susciter un septielime Cedi dil, il faut bien reconnaitre qu'il n'y a pas de fumée dans few, ni de spannieraissants, accessoires habituels du petit déjeuner de Francals moyen, B Le fausse saucoupe » de Saint-Bliment. L'appareil météorologique posé sur la nol, est surmonté de Tarmatura supportant le parachute. Mais il reste cependant le falt que des personnes, parfaitement dignes de fel et présentant toutes les garanties mentales, ont pu con templer des apparitions insolites qui les ont d'ailleurs fortement impressionnées. Certes, l'ironle est facile en une concernant les engins volants in- matière pouvant relever du domal. connus. Elle se trouve dant deux ne de la science inconnue, comme numérns d'une revue. L'un est du de la plus simple mystificat on, si mois de juillet 1930 et contient un article titré Saucoupes et Cl- non de la suggestion collective. zares volants, sous la signature de Henry Teylor, Journaliste et commentateur de la Radio, qui donne des explications personnel les, sur la provenance de ces en gin, leur contexture, etc. Gardons-nous done de conclure en affirmant que tous les lémol- titre: mmages recueillis, sans exception, d'autres planètes et la signature Polent réellement fondés, comme de H. Darrach et Robert Ginna, en disant qu'aucun n'en absolu- oppose un démenti formel au pre- ment valable. A Saint-Blimont L'une de ces informations pro- mettait d'être sensationnelle. Ne s'agissall-1 pas, pour la pre- mière fois, de la chute d'une soucoupe écrasée au sol, près de Saint-Blimont ? Malheureusement, l'autre article paru au mois d'août 1952, sous le Sommes-nous épiés par Les dernières vingt-quatre heu res ont apporté à la rédaction du Courrier Picard, la manne dé- entmals habituelle de visions plus Tout ceel qui n'est sans doute eu moins fugitives plus ou moins que spéculations ou anticipations, nettes, plus ou moins coloriées ne nous avance guere et le proble d'engins météoriques me demeure poré. Quelques cultivateurs et ouvriers de cette communs ayant vu des- cendre et se poter dans un champ. un appareil bizarre, qui émet- lalt des lueurs, s'en furent pré- venir en toute hate, M. Raymond Bouchet, chef de råperle. Celul-el se rendit sur place pour constater aussitat que l'extraordi. naire engin était tout simplement une sorte de ballon-sande apparte- nant aux services de la Météoro logie britannique. Aidé de M. Garten Lecompte. cultivateur, M. Bouchet transporta l'appareil très endommagé par la chute dans son bureau cú 11 l'exam'na à loisir. M. Bouchel nous a très complal. ramment décrit l'engin, constitué essentiellement d'un ballen (écla 11 d'environ 4 à 5 mètres de dia- metre, d'un parachute monté sur armature en tubes d'aluminium. en forme de croix. le tout retenant, par un fil de dix mètres, l'appa- reil météo proprement dit, lequel portalt la mention de son origine ainsi qu'une carte à adresser en cas de perte-au Service Royal Météorologique de Grande-Bre Lagne. Quant aux lueurs aperçues ellen 'expliquent par les reflets du so. leil sur les tubes d'alu et 1hélice trais pales à cuillères actionnée par les vents. A Bouchet nous a précise que les pièces attachées à l'appareil onl eté expédiées par ses soins au di- recteur de l'Office Météorologique Headstone Drive, & Harrow (Midd lenex). Ainel done, les habitants de Saint-Blimont, qui penualent être les premiers lertiens à possé der effectivement un envní spé- cial de la planète Mars, oni do se rés gner devant une réalité plu terre A terre. A Nouvion-en-Ponthier Cependant dans cette même ré. Elen d'Abbeville, une autre appa rition qui remente à mercredi solf. vers 18 heures, a été constatée par une habitante de Nouvion-en- Ponthieu, Mme Barotte qui len. dail du linge dans sa cour. Elle apercut, dit-elle, dans le ciel, un ebjet en forme de cigare reflétant diverses teintes trouge. orange, argent, etc..). Mme Barntle appela auarit n vaisine, Mme Crouy, gérante d'épi- cerie, et toutes deux virent dis tinctement l'engin se déplacant à faible vitesse de l'Est vers l'Ouest, c'est-à-dire vers la mer. Elles pa. rent le suivre des yeux jusqu'à ce qu'un nuage le leur dirimulál Un autre Picard, mais qui n'a rien vu celui-a du mains pas encore-hous écrit de Fouillay, pour neur signaler l'existence d'une interessante derumentation mer, en révélant notamment que des soureupes volantes furent observées pour la première fois.. en 1832. Il le demeurera jusqu'au jour eu tout est possible les mysté rieux voyageurs aérlens velus et carselés d'orange consentiront à échanger des impressions avec nous, au lieu de détaler à la vert- cale quand approche d'eux un terrien terrorisé. La permase qui nous des inh s, prisen la 4 octobre h. 45 a Sud d'Amiens, est Instamment pride da se présenter leareal, i pouble de la stalni de tim, land à partir de 15 h. 30. Demander le Rédacteur La ples totale discrétion bel