QUE FAUT-IL PENSER DES « SOUCOUPES » ? Nous n'avons pas. Jusque mainte- nant, fait écho aux histoires de soul- coupes, cigares, disques, ballons, sea- phandriers, queues et Sutres machins volanta, atterrissant chez nous et vo nant de l'inconnu. S'il nous faltait rattraper le retard que nous avons aujourd'hut sur ce chapitre, les ix pages du journal n'y suffiraient pas. Nous voulons bien admettre que quelques-uns parmi les nombreux té moignages donnés sont basés sur du Mais la mystification et la fable se sont emparé du sujet avec un tel appétit que l'on devient sceptique, à tort ou à raison. Un témoin d'un véritable atterrisage d'engin inconnu hésiterait certaine ment à raconter son e histoire », per- suadé de ne pas être pris au sérieux. Que faut-il retenir de tout ce qui se colporte et que faut-il rejeter? Des engins inconnus voyagent-lis vraiment dans le ciel ? Sont-ils pilotés par des êtres vi vants ? A ces deux questions, nous pour- rions, comme Saint-Thomas, répon- dre « Je le croirai, quand je l'aurai vu de mes yeux «. Mais la chose a pris trop d'ampleur dans notre igion, comme partout, pour que nous nous bornions à cela. Avant de discuter ue l'existence de ces engins et de faire mille et une sup positions sur leur origine, peut-être est-il intéressant de poser le problème. de la possibilité de cette existence. dans le cadre des deux suppositions déjà faltes engins militaires d'une puissance étrangère ou bolides venant d'une autre planète ? Il convient de donner à ce problè me une solution algébrique en pro- cédant par elimination. C'est sur quoi nous reviendrons la semaine prochaine. En attendant. gardons la tête froil- de et royons assez raisonnables pour ne pas prendre des vessies pour des lanternes. JACK