A cause de «Mars», il est menacé d'aller loger... sur la Lune ! M. Dewilde, l'homme qui, à Qun rouble, aurait vu non seulement cet engin mystérieux qu'on a baptis pro des Gouvernements c'est de pro- mettre la lune. L'Observa- De notre confrère teur >. Soucoupe volante mais encore ses deux occupants, ne doit pas être loin de maudire le jour où cette étrango aventure lui est arrivée ! Ses révélations ont fait de la mo- deste bourrade du Valenciennois où il habite, le lieu de rendez-vous de toute la prà sensation de Fran. ce et de Navarre. Reporters, photographes, cinéastes so succèdent dans l'humble demeure du passage à nivenu 79. Outre les désagréments que lui procurent ces visites intempestives et ces interrogatoires plus ou moins sournois dans l'espoir que M. Dewil- de varierait dans sa version des faits ce dernier se volt vésormais en but- te aux malveillances de certains con- citoyens. Ne l'accuse-t-on pas d'étre un visionnaire, un hurluberlu, un hal- luciné, voire même un imposteur ? L'intéreme, excédé par ces bruits, n menacé de déposer une plainte en diffamation contre as détracteurs et s'est rendu pour cela auprès du Com- mimaire de police d'Onnaing. Mais la n'est pas le plus grave de Thistoire des Martiens de Quarou- ble. Locataire d'une maison appar tenant à la 5. N. C. F., M. Dewilde s'est vu signifier. Il y a quelques jour, d'avoir à quitter les lieux dans le plus bref délai. Motif n'appartient pas à la B. N. C. F. Et voilà! Pour vivre heureux, vivons enchés, dit 'n sagesse popu- laire. M. Dewllde en fait l'expérien- Si l'homme est un fumiste, avouons que a plaisanteris lui coûte cher et qu'll Hont commencer à la regretter. Si, au contraire, Il a vraiment vé cu l'aventure qu'il a racontée, ga geons que si, un jour, il revolt sen ✔ Martiens ». Il sern tenté de leur envoyer son pied... à la lune. El s'll compte sur les promessen du Gouvernement pour trouver un nouveau logement, qu'll se souvienno que, depuis un certain temps le pro