Phantasmes de la nuit Jo l'avoue. Malgré mon serment de ne croire à ça que quand jo l'aurais vu, de mes your s, jo faiblissais. Qual, des gons qui to t-il pas de voir rézien qui se laisse n'ont pas la répu.a- quelque chose dans la embrasser par le pas- tion de chevaucher la genre de ce qu'ont sager de la soucoupe chimere, des anés na-rapporté nos deur volante parlant dialecte inconnu, va tifan d'Achour, près braves maçons. 1611 d'Amiens, des Picards Il en remet un peu, un peu fort : il flan- à la tête froide et jusqu'à avoir été fro- que tout par terre. par-dessis le marché, lé par les passagers Y compris les sou- des maçons habitués de la soucoupe volan- coupes volantes qui car c'en était ne laissent pas de tra. - à manier des choses te consiitantes, avaient une, pas de doute ces de leur passage des petits etres cas-tout cn cn laissant. qués, et les avoir vu s'engouffrer dans le mystérieur vu, CLI. Et ils donnaient des précisions telles !... A travers tout rouble. Cela so rap prochal de nous. Epidémie J'allais me rendre, simples aviateurs plus falro amende honora-ou moins bien de mile. chez nous dans un Survient l'aventure avion plus ou moins de l'habitant de Qua-ordinaire. Sans doute, le v slommaire, qui so pré- nomme Marius par hasard, no se conten- Alors, adieu sou- apparell coupes ! Ce sera pour qui reprit son vol en une autre fois.. pétaradant. Quand vos passagers Peut-être comme de seront plus séricuz. Le baiser du Soucoupien Et puls, patatras ! Ce cultivateur cor- "