L'Autre for de 38. DES EXTRA-TERRESTRES EN AFRIQUE DU SUD ATTERISSAGE AVEC PRESENCE D'HUMANOIDES Date Heure Liei. : Dans la nuit du Vendredi 3/1/1979 au Samedi 4/1/1979. : Entre 23h50 et 0h50 (T.L.) D'après la description de M. Meayon QUELET et de son fils André. : Mindalore, faubourg de Krugersdorp, ville située à 26 Kms à l'Ouest de Johanes- bourg. C'est une localité moderne environnée de collines et de grands espaces dégagés. Météo : Le 3/1, 26° C dans la journée, 10° C le soir. Au moment de l'observation, le ciel est couvert, plafond bas. Vent léger: 5m/s. Témoins: Mme Meagan Quezet (30 ans) et son fils André (12 ans). Ce soir-là, Mme Meagan Quezet était assise tranquillement dans le salon et lisait. Son fils, André, entra dans la pièce disant qu'il ne trouvait pas le sommeil. Il demanda à sa mère, s'il pouvait faire du thé. Mea- gan approuva mais nota tout de même l'heure tardive, minuit moins dix. A ce moment précis, Cheeky, le chien des Quezet, se manifesta à l'extérieur par des aboiements fu- rieux. Meagan se leva et sortit sur le pas de la porte pour rappeler ce chien qui allait finir par ennuyer les voisins. Elle se rendit compte qu'il avait trouvé le moyen de s'échapper dans la rue, elle appela André pour qu'il l'aide à retrouver l'animal et lui faire réintégrer sa niche dans le ga- rage. Mme Quezet ne voulait pas al- ler seule par les rues à la nuit tom- bée, elle n'était pas rassurée, car il y a toujours des rôdeurs dans le sec- teur. Leur maison, le 14 de la rue Saul Jacobs, est située à mi-hauteur de cette rue. Plus haut passe la Tindall- road et parallèlement à celle-ci, une route surélevée qui relie deux sec- teurs industriels. Le trafic y est très intense le jour, presque nul la nuit. Quand ils arrivèrent près de la Tindall-raod, ils aperçurent Cheeky qui aboyait toujours aussi fort, comme tous les chiens du voisinage d'ailleurs. Meagan remarqua une brillante lumière rose sur la route su- rélevée : Meagan Regarde, ils ont mis des lumières la haut ! » André - « Non, il n'y a aucune lu- mière sur cette route ». Meagan Qu'est-ce que c'est Elle montra le halo rosé et pensa tout d'abord à un avion se posant sur la route. Dans l'éventualité d'un atterrissage d'urgence, ils se pré- cipitèrent escaladant le talus. M - « Lorsque nous nous sommes rapprochés, je me suis rendu compte que ce n'était pas un avion de type. courant. Je ne savais pas ce qui se passait et nous étions assez inquiets. Cela me semblait étrange, mais étant infirmière, j'ai pensé qu'en cas d'ac- cident, je pouvais porter secours, ap- peler une ambulance ou quelque chose de ce genre, le cas échéant, in- tervenir moi-même, sur place ». Quoi que ce fut, c'était entouré d'une lumière rose très brillante, un rose pur, et là-dessus, les deux té- moins sont bien d'accord. Il y avait trois lumières sur cet engin, une de chaque côté d'une sorte d'ouverture et une au sommet. La même lumino- sité rosée semblait émaner de l'inté- rieur par cette ouverture. M- « C'était un appareil, de quel- que sorte qu'il soit, et il se tenait de- bout, tout droit sur la route, bien que la route elle-même soit en pente. L'engin avait la forme d'un cuf tronqué à la base, et il était supporté par quatre « pattes » comme des pat- tes d'araignée, c'est à dire pas très grosses et terminées chacune par une sorte de ventouse les fixant sur la route. Mme Quezet estima la longueur des « pattes » à environ 1,20 m et la hauteur totale de l'engin à environ 3,50 m. Meagan n'éprouvait aucune peur, seulement un certain trouble, parce qu'elle pensait qu'il s'agissait d'une sorte de prototype, d'appareil expéri- mental... M - « Cela sortait de l'ordinaire, mais on voit toute sorte de choses extraordinaires de nos jours. Je ne crois absolument pas que cela prove- nait de l'espace... Je ne crois pas vraiment à ces choses-là. Je n'ai ja- mais rien lu sur ce sujet André fait une description simi- laire de l'engin. Les deux témoigna- ges concordent. M « Nous restions imamobiles à bavarder tranquillement, nous de- mandant ce que cela pouvait être. Je ne sais pas pourquoi nous étions si tranquilles, c'était presque comme si nous ne voulions pas que l'on nous remarque. Soudain 5 ou 6 hommes sortirent de l'engin. Un ou deux de ces hommes allèrent sur la gauche par rapport à nous, nous en avons reparlé par la suite, et nous ne som- mes pas absolument sûrs qu'il y en ait eu un ou deux. Deux autres restè- rent à proximité de l'appareil et les deux derniers, se dirigèrent de notre côté. Un de ceux qui se dirigeaient vers nous parlait à l'autre. Il avait une voix haut perchée et nous ne com- prenions pas les mois, nous n'enten- dions que les sons, des monosylla- bes ». D'après André, un des hommes, de l'autre côté, se baissa et ramassa une poignée de sable sur le bas côté de la route et le laissa couler entre ses doigts. La meilleure comparai- son que Mme Quezet puisse faire, au sujet de ce langage incompréhensi- ble, c'est avec le Chinois... M « C'était rapide et décousu, c'est ce qui m'a fait penser à du chi- nois ». Un des deux hommes qui s'appro- chait d'eux, était nu-tête et on pou- alors?». 18 vait voir son épaisse chevelure som- bre et bouclée, le bas de son visage était sombre comme s'il portait la barbe... M«Celui avec la barbe, avait des cheveux noirs, et le teint sombre, comme les gens du Moyen-Orient, mais pas noir. Ses yeux étaient nor- maux. Le second portait une combi- naison qui lui couvrait la tête et nous ne pouvions pas voir son visage. Ce- lui qui parlait s'aperçu que nous étions là, car il dit quelque chose à son compagnon et fit un pas en ar- rière. Nous nous tenions sur le rem- blai au même niveau qu'eux, et je pense qu'ils devaient m'arriver à la hauteur du menton, je mesure 1,70m, ce qui leur fait environ une taille de 1,58m. Ils étaient très minces, et leurs vê- tements moulants permettaient de voir leur frêle constitution. Leurs mains paraissaient normales. La couleur de leurs combinaisons était blanche et rosissait par moment à cause de la lumière émise par l'en- gin». L'appareil était gris métallique comme du plomb et lisse d'appa- rence, sans aucun accessoire ou dé- tail visible. Ils ne pouvaient pas voir l'autre côté. Meagan remarqua que le person- nage «barbu» la regardait, il dit quelque chose d'incompréhensible, elle eut un rire nerveux et dit : « Sa- lut ! ». Elle se rendait compte mainte- nant que cette situation était anor- male et elle dit à André : «< Va cher- cher ton père, et cours, je t'en prie cours!». Effrayé, André se mit à courir im- médiatement. Le personnage se tourna alors vers son compagnon et lui parla, celui-ci s'adressa aux au- tres. Ils n'ont pas eu une véritable conversation, simplement un échange de monosyllabes. Ils sont tous remontés dans l'appareil. Il n'y avait pas de marche, ni d'échelle et l'ouverture se trouvait approximati- vement à 1,20m de la surface du sol de l'autre côté de l'engin, cependant les hommes n'ont eu aucune diffi- culté pour entrer. Ils n'ont pas sem- blé faire un effort pour sauter, ils sont entrés et c'est tout... M - «La porte était ouverte, puis elle était fermée, sans transition en- tre ces deux positions. Je ne l'ai pas vu se fermer ! ». Quelques secondes plus tard, Meagan entendit un bourdonnement similaire à celui que font les abeilles dans une ruche, dans le même temps, les quatre pieds supportant l'engin s'allongèrent jusqu'à atteindre trois fois leur taille initiale, soit 3,60m. Ce qui à ce moment portait la hau- teur totale de l'engin à environ 7m. André aussi entendit le bourdonne- ment et il s'arrêta de courir pour re- L'Aule Monde 38 AL 1980 garder derrière lui. Meagan reculait. M« C'était assez effrayant, je ne savais que faire, fuire ou rester. L'objet se déplaçait vers la gauche de l'endroit où il se trouvait ». Puis les pieds commencèrent à se rétracter comme un train d'atterris- sage télescopique, l'engin resta sta- tionnaire quelques secondes avant de s'élancer dans le ciel à une vitesse formidable. M«Les nuages étaient très bas cette nuit-là, et l'engin y entra direc- tement disparaissant en quelques se- condes, mais les nuages restèrent co- lorés de rose un certain temps après la disparition ». André était revenu sur ses pas et fut témoin du décollage. D'après les témoins, du début à la fin de cette observation, il ne s'est écoulé qu'une dizaine de minutes. Après être restés là un instant, complètement sidérés par ce qu'ils venaient de voir, ils ren- trèrent rapidement jusqu'à la mai- son. Ils décidèrent de ne pas réveiller M. Quezet, car de toute façon il était trop tard, à ce moment, il ne pouvait plus rien faire, de plus, il avait besoin de dormir. Meagan et André n'ont pas pensé un seul instant à prévenir la police. M-« Il n'était pas loin d'une heure du matin et j'ai pensé que la meil- leure chose à faire, c'était de nous coucher ». Le lendemain matin, Paul Quezet fut mis au courant des évènements. Sceptique tout d'abord, il finit par croire ce que lui racontaient sa femme et son fils. La presse fut in- formée. A partir de ce moment, la famille Quezet fut harcelée de coups de téléphone: journalistes, enquê- teurs prives et bien entendu plaisan- tins de mauvais goût qui manquent rarement une pareille occasion de se manifester. Şur les lieux de l'atterrissage, le lendemain on ne releva aucune trace. Un point intéressant : l'engin était posé juste au-dessous d'une ligne électrique et il n'existe pas d'autre li- gne à proximité. Les Quezet ont ramené Cheeky sur les lieux. Il n'a montré aucun si- gne de peur. Les deux témoins n'ont souffert d'aucun trouble psychique ou physique à la suite de cette ren- contre. Remarques: 1º - - Qu'arrive-t-il au chien ? Il n'est pas fait mention de son retour avec ses maîtres ni de ce qu'il fait durant l'observation. 2º - Cheeky et les chiens du voisi- nage aboient furieusement, à proxi- mité de cette route, il existe des cen- taines de maisons mais personne ap- paremment n'a rien vu ni entendu cette nuit-là. 3º A peu près au-dessus du point 4º - où s'est posé l'engin passe une ligne électrique. Elle n'a pas gêné la manoeuvre au moment du décollage. Pourtant, elle traverse la route à une hauteur moyenne et elle aurait dû être heurtée par l'appareil lorsque le train d'atterrissage s'est allongé. Meagan Quezet déclare qu'en- tre le moment où André entre dans le Salon (23h50) et celui où ils ren- trent pour se coucher (0h50) il s'est écoulé 1h. Ceci est connu car Mea- gan a regardé l'heure dans les deux cas. Cependant si on retrace l'évène- ment en détails on s'aperçoit qu'une demie heure aurait largement suffit pour le déroulement des faits. Alors.... NOTE DU G.E.O.S. France Oui, dans cette affaire qui nous a été communiquée par un chercheur 1) Africain, des points obscurs subsis- tent. Mais ceci est certainement dû au manque d'expérience. En effet, en France, nous avons acquis une avance considérable au point de vue ufologique, par rapport aux autres pays. Nous avons la chance d'avoir depuis de nombreuses années des chercheurs individuels et des groupe- ments actifs qui ont débrouissaillés le phénomène. Depuis quelques an- nées, nous avons le GEPAN, qui au sein du CNES à Toulouse, étudie spécialement le dossier OVNI. Grâce à la part active de tous ces or- ganismes, nous sommes parvenu à mettre au point des questionnaires complets, des méthodes d'études, des observations et surtout à connaître le phénomène OVNI et ses manifes- tations. On pardonnera donc dans ces conditions les lacunes que peu- vent laisser échapper les chercheurs étrangers, du fait de la mauvaise in- formation dont ils disposent. Etude UFO INFO (England) Adaptation Michel PICCIN Secrétaire du GEOS France Le GEOS France, association sans but lucratif a pour objet l'étude scientifique sérieuse et sensée, du phénomène OVNI. Elle est à votre disposition pour vous donner des précisions sur ce volumineux dos- sier. Documentation en lui écri- vant GEOS FRANCE St Denis Is Rebais - 77510 REBAIS. 1) Note: line cherchan Sud-Africain 19