France Dimanche France Dimanche of 1756 28 Avril. an 4 Nai 1980. incomple Semaine du 28 avril au 4 mai 1980 Le document France Dimanche... UNE SOUCOUPE à Cergy-Pontoise 10000円 18:11ary BERI き == Le laboratoire » où Franck Fontaine aurait repris conscience., Son témoignage a permis au dessinateur de le reconstituer. la hauteur avec précision. les faces de ces machines étaient composées, dans leur totalité, de grandes plaques de verre, blanc opaque. » Ces plaques s'allumaient et s'éteignaient. Sur le dessus, des cadrans d'apparence familière, mais que je ne saurais définir, avec des boutons, des voyants qui s'allumaient et s'éteignaient par moments. Au-dessus, des inscriptions, des signes incom- préhensibles. Je me souviens uniquement de certains de ces signes, par exemple, une sorte de « 5 >> avec la barre horizon- tale traversant la barre verti- cale, plus longue que celle de notre 5 à nous. » AU HAUT DES MURS, DES SORTES DE RAMPES « ONDULÉES » DANS LES- QUELLES FIXÉES ÉTAIENT PLUSIEURS LAMPES EXTREMEMENT PUISSANTES DIFFUSANT UNE LUMIÈRE TRÈS VIVE MAIS QUI, CHOSE SUR- PRENANTE, N'AVAIT RIEN D'AVEUGLANT, NI DE GE- NANT. Camper » A mes côtés, une espèce de table de chevet, mais sans rien d'apparent comme instruments, médicaments, etc. » Au bout d'un moment, après avoir examiné ce lieu où je me trouvais, mes yeux m'ont piqué et je me suis senti sombrer dans le sommeil. Combien de temps ai-je dormi? Aucune idée, mais ce dont je suis sûr, c'est que ce phénomène (les périodes de sommeil) s'est produit de multi- ples fois. Et chaque fois que je rouvrais les yeux, j'avais le sen- timent d'avoir dormi très long- temps. » A mon réveil, rien n'avait changé; j'étais dans la même pièce In élément nouve011 《 TAMERS EN TEMPS, BRIEVEMENT. CE SERAIT MENTIR DE DIRE QUE JE ME SOUVIENS EN DETAIL DES DIALOGUES ET MEME DES MOTS ET TERMES EMPLOYES. MAIS JE ME RAPPELLE QUE LA « VOIX » M'A DIT: Nous prenons des contacts pour étudier l'évolution menta- les des Terriens, pour vous pro- téger et parvenir à un contact officiel; pour mettre alors notre science à votre disposition afin de sauvegarder votre planète et votre système solaire. Violence » Pour le moment, nous ne pouvons donner aux Terriens les moyens d'atteindre notre planète. Ce serait néfaste pour nous; ils y viendraient en colo- nisateurs. Le Terrien manque de sagesse et répandrait chez nous une chose qui n'existe pas : la violence. » Nous donnerons à l'homme le moyen de créer des vaisseaux afin que des voyages interpla- nétaires et intergalactiques puissent avoir lieu. » Nos connaissances, mises entre les mains de scientifiques sages, pourraient résoudre tous les problèmes matériels des Terriens. » La « voix » a dit aussi : Plus les gens de votre pla- nète réalisent que nous existons, plus ils ont peur. Il est vrai qu'on leur a tellement montré l'image du méchant extraterres- tre prêt à les attaquer... Là n'est pas notre but. La vie n'est pas dans la destruction. La planète Terre doit survivre avec ses oc- cupants car, sans vie, une pla- nète meurt aussi. » APRÈS LE DERNIER EN- TRETIEN, FRANCK, POUR- SUIT-IL, A SENTI LE SOM- MEIL L'ENVAHIR, PUIS Ç'A ÉTÉ LE TROU NOIR. ET IL *Voici où je me suis retrouvé et CE QUE J'AI VU' S'EST RETROUVÉ BRUTA- LEMENT A L'ENDROIT MÊME OU IL AVAIT ÉTÉ ENLEVÉ... Pour compléter le récit de Franck, Jimmy Guieu a tenu à interroger Jean-Pierre Prévost. Mais il lui a demandé au préa- lable de se faire hypnotiser par un spécialiste, Daniel Huget. Jean-Pierre, lui aussi, parle pour la première fois depuis l'affaire voici le compte rendu de son interrogatoire : Boule «Daniel Huguet, d'abord, a fait « régresser Jean-Pierre, écrit Jimmy Guieu. Puis, il lui a dit dans son sommeil hypnoti- que: « Nous sommes toujours le lundi 26 novembre 1979, il n'est plus 4 h 36 du matin mais 4 h 25, c'est-à-dire au moment où toi et Salomon arrivez sur la route et apercevez, à 150 mètres, la voi- ture conduite par Franck. Elle est enveloppée par une grande boule lumineuse autour de la- quelle tournent des boules plus petites. Tu vas t'avancer afin d'examiner de plus près le phé- nomène. >> J.P. peur. D.H. - J'approche... Mais j'ai Tu es dans un rêve! Tu ne crains rien. J.P. Je suis très près, c'est un nuage sphérique. Il fait froid. Je le touche, aucune consistance, ma main passe travers... Franck est dans la voi- ture, il tape sur la portière, il a peur, il veut sortir. Puis après un court silence : « Ils » ont éteint, je ne vois plus rien, c'est tout noir. >> Dernière chose troublante dans l'affaire de Cergy-Pon- toise. Selon ses témoins, l'affaire ne se serait pas terminée le 3 décembre avec le retour de Franck. Celui-ci aurait à nou- veau été contacté par les extra- terrestres. Voici son témoi- gnage: Expérience Le 23 décembre 1979, je ne sais pas ce qui m'a pris de dire aux copains: si vous voulez, ce soir, on va dans le champ de choux et vous aurez la preuve que le phénomène peut se mani- fester à n'importe quel moment. Jean-Pierre, tu pourras ap- porter ton appareil (un Pola- roïd), mais ils ne te laisseront photographier que ce qu'ils vou- dront bien te laisser photogra- phier. » A 4 h 20 du matin, le 24 dé- cembre, on se pointe dans le champ de choux. Dans le ciel, nous voyons arriver une boule de lumière qui descend; il en sort deux boules plus petites, qui oscillent autour de la grande, s'y intègrent et finale- ment disparaissent. »> Voilà les étonnants témoigna- ges du héros de l'« affaire de Cergy-Pontoise ». Maintenant, à chacun de se faire son opinion... » A mon réveil, rien n'avait changé ; j'étais dans la même pièce. Un élément nouveau, ce- pendant: deux petites sphères lumineuses, grosses comme des balles de tennis flottaient dans le laboratoire » au-dessus des « machines » (Franck entend par-là les sortes de « couchet- tes » sur l'une desquelles il était allongé). << » Je sais que tout cela peut paraître fantastique, et chacun est libre de croire ou de ne pas croire, mais, en ce qui me concerne, je raconte simplement ce que j'ai vraiment vécu... » Toujours avec le même. calme, j'ai observé ces sphères, non pas d'un regard affolé, mais d'un regard tranquille, comme si ces « choses » m'étaient fami- lières. >>> Des sons, indéfinissables mais fort agréables, émanaient de ces petites boules et, au bout d'un moment, ces sons se trans- formèrent en voix d'homme et de femme qui s'exprimaient dans un langage familier, sur un ton très lent mais fort dis- tinct, rassurant. A partir de ce moment-là, un dialogue s'est' engagé. Le mot « dialogue » n'est peut-être pas tout à fait appro- prié, car je me contentais de dire une phrase, deux ou trois MEIL L'ENVAHIR, PUIS Ç'A ÉTÉ LE TROU NOIR. ET IL dit dans son sommeil hypnoti- que : « Nous sommes toujours le consistance, ma main passe à travers... Franck est dans la vol- Maintenant, à chacun de se faire son opinion... L'objet mystérieux, tel qu'il serait apparu dans le ciel aux trois occupants de la voiture le 26-11-79 à l'aube. Une énorme sphère lumineuse aurait en- veloppé la voiture où était Franck. 'Le plus souvent, les petites boules parlaient avec des voix de femmes