LOUHA NS. Dans notre précédente édition, nous relations l'étrange découverte falte par un agriculteur de Lays-sur-le-Doubs, M. Ernest Joly, 53 ans, dans son champ d'orge, sis au lleudit « La Pomme-du-Pont » à Lays-sur-le-Doubs, & environ 400 mètres du C.D. 203 rellant Pierre-de-Bresse à Lays-sur-le-Doubs et à un kilomètre de toute habitation. M. Joly avalt, en effet, découvert des traces pour le moins suspectes faisant penser à celles laissées par un O.V.N.I. Samedi, deux témoignages dignes de fol, puisque les témoins sont deux habitantes de Pierre-de-Bresse âgées de 70 et 45 ans, dont l'identité ne nous a pas été révélée sont venus renforcer, voir même confirmer l'hypothèse d'un attérissage d'O.V.N.I. Ces deux personnes ont affirmé sur l'honneur avux gendarmes de Pierre-de-Bresse, qui rappelons-le ont ouvert une enquête, qu'elles avalent suivi, dimanche 23 avril, entre 21 h 45 et 22 heures, les évolutions d'une boule de couleur rouge clair, légèrement plus petite que la lune aux contours nettement déterminés, dans le ciel de la plaine du Doubs. La personne de 70 ans se trouvalt rue Nouve à Pierre-de-Bresse et celle de 45 ans au volant de sa volture sur la route rellant Frontenard à Pierre. Le premier témoin a vu disparaître l'étrange engin dans les nuages relativement bas en ce dimanche soir, tandis que le second a du cessé son observation l'appareil étant masqué pardes habitations. Néanmoins, les deux témoignages concordent sur deux autres faits : l'O.V.N.I. car c'est réellement un objet volant non identifié au sens propre du terme, volait à la vitesse d'un avion commercial et ce, dans l'axe nord-sud. Blen évidemment, il y a de grandes chances pour que cet O.V.N.I. solt le même que celui qui alt laissé des traces dans le champ de M. Joly. Signalons également que les deux témoins ne se connaissent absolument pas. Samedi, la brigade de gendarmerie de Pierre-de-Bresse a posé des balises pour protéger le site, qui avait attiré, cela và sans dire de nombreux curieux. Contrairement à ce qu'il avait été annoncé par ailleurs, les spécialistes du Centre National d'Etudes Spatiales de Toulouse ne se rendront pas sur les lleux de l'atterrissage, les traces n'étant plus exploitables. Par contre, Ils analyseront l'étrange « poussière» grise trouve sur les parois des divers points d'ancrages. Un échantillon de cette substance leur a été adressé par les services intéressés.... Une affaire à suivre car ce n'est pas les premières traces de ce genre relevées en Bresse...