Des OVNI et des hommes II - Une étrange barre lumineuse Ce Breulubbre L 25 septembre 1976 Dijon. Compte tenu de l'e- xistence de milliards d'étolles et de planètes, compte tenu de l'universalité des réactions chi- miques propices, la probabilité est désormais en faveur de la présence multiple de la vie. Cela étant acquis, on peut méditer sur le fait que si elle est présente sur des planètes gra- vitant autour des nombreux so- leils plus vieux que le nôtre, elle doit avoir atteint un stade beau- coup plus avancé que celui que nous connaissons. - D'ores et déjà, on le sait, les Russes sont à l'écoute d'une cinquantaine d'étoiles « pro- ches». La science à l'affût des extra-terrestres ? Eh oui ! On se souvient de la sonde américaine lancée dans l'espace en août 1977, chargée de rechercher s'il s'y trouve d'autres civilisations que la nô- tre. Un communiqué du prési- dent Carter, des poèmes sym- bolistes et une œuvre de Bee- thoven, entre autres documents enregistrés, étaient placés à bord de la sonde, pour nous présenter aux habitants éven- tuels d'autres planètes... Engins commandés par des extraterrestres ou non, des observateurs dijonnais, sincè- res et lucides, aperçoivent en tout cas, avec une certaine fré- quence ces derniers jours, de bien curieux phénomènes. (Voir << B.P. »> du 22 septembre). « Comme une poignée de porte >> Dessoucoupes volantes », bien des Côte-d'Oriens en ont vues. Le 27 février 1974, plu- sieurs habitants de Quétigny observaient pendant près de trente minutes un mystérieux objet dans le ciel. La luminosité était telle qu'ils en étaient aveu- glés, à 8 heures du matin. Plus récemment, en novembre 1977, un habitant de Corcelles-les- Monts, ingénieur à la retraite, voit passer un « cigare » au - dessus du mont Afrique. Et puis, au cours de la nuit du 14 septembre dernier, alors que d'étranges objets volants, émet- tant de forts rayons lumineux, survolent toutes les régions ita- liennes comprises entre Rome et le Piémont, des policiers di- jonnais, entre trois et quatre heures du matin, observent, à deux reprises, une boule lumi- neuse entre le plateau de Che- Il arrive d'observer des satellites. Mais avouez que la vue d'en haut est encore mieux, si l'on en juge en regardant cet exceptionnel document photographié par l'un d'eux nôve et la route de Corcelles- les-Monts. Cette même nuit, un sous brigadier de police, M. Labre, qui roule au volant de son automobile sur la route de Bel- leneuve, voit une « boule de feu» d'un mètre de diamètre environ, avec une sorte de queue, au-dessus du sommet des arbres. Il observera cette mystérieuse boule volante pen- dant sept kilomètres. Plus récemment encore, une infirmière dijonnaise et son fils de dix-sept ans ont été témoins du vol d'un objet insolite : une barre lumineuse. Le 17 septembre, Olivier Gauthier, 17 ans, regardait la télévision chez lui, 79, rue Paul - Claudel, lorsque le bruit d'une sirène antivol se déclencha. Oli- vier sortit sur le balcon d'où l'on découvre le plateau de Chenôve et le mont Afrique. Et, tout de suite, son regard fut attiré par une barre lumineuse dans le ciel, extrêmement brillante, n'ayant rien à voir avec la traî- née d'un avion à réaction. Un avion? Impossible. Il est 20 heures; le soleil couchant se trouve derrière l'objet « grand comme un stylo» et « brillant comme une poignée de porte >>, à la verticale au-dessus du mont Afrique. Mon fils m'a appelé im- → médiatement, en proie à une vive agitation, tant l'objet était insolite. J'ai regardé. Et nous voyant levé les yeux au ciel, plusieurs habitants du quartier ont fait de même. Comme nous, ils ont vu cette barre lumineuse qui se déplaçait lentement à l'horizon. Le ciel était dégagé. Je vois suffisamment passer d'avions pour ne pas confondre. C'est impossible. Je vous dis, c'était tellement anormal que j'ai appelé les gendarmes. Les gendarmes sont venus le soir même. Et le lendemain. Ils ont recueilli les témoignages de plusieurs habitants. Mme Gau- thier a pu prendre deux photos du mystérieux phénomène. Deux photos couleurs avec un appareil très simple, en contre - jour. MAIS SAIT «ON JAMAIS 3 Une belle peur « Cette barre extrêmement brillante, comme du chrome, dira-tielle, fut tout à coup complétée d'une boule aussi brillante, comme un cil. Tout a disparu en même temps. L'objet aurait pu rester ou l'inverse. Non. Tout est parti au même instant. Et la nuit est tombée peu après. Il n'y avait aucun point Aus lumineux. Ce n'était pas une étoile. Et vous savez, je n'aurais pas témoigné si je n'avais pas vu une chose pareille ». La télévision a été brouillée toute la soirée. Et le ciel était dégagé. Mais il y a plus étrange enco- re. Ce même soir, des jeunes du quartier se promènent dans la combe lorsqu'ils sont pris de panique en voyant deux lumiè- res rouges au-dessus du sol, émettant de forts rayons. Ils dé- talent et remontent raconter leur aventure. Moquerie des parents. Vous n'allez pas en voir partout ! Ça suffit maintenant. Les jeunes, troublés, insis- tent: « Vous n'avez qu'à venir avec nous... ». - Ils n'y sont pas allés. Les gendarmes ont recueilli le té- moignage des adolescents. On n'en saura jamais plus sur cette << lumière rouge - orange qui cli- gnotait juste en face dans la combe... ». Une chose est sûre, il n'y a jamais de lumière à cet en- droit-là. Alain SCHNEIDER (A suivre)