Privé de la parole depuis vendredi Antoine Séverin a-t-il été foudroyé par un O.V.N.I. ? y a plusieurs années, une « soucoupe volante fai salt parler d'elle a Plaine- des Cafres. C'est Petitelle, cette fois, que des touristes extraterrestres auraient at.. terri. C'est du moins ce qu'on pourrait penser à la suite du témoignage d'un habitant de Petitele. 2 Selon ses dires, il aurait vu un O.V.N.I. (Objet Volant Non-Identifié). Voici le dérou- lenuent des falls tels que M. Antoine Séverin les raconte. Vendredi, M. Séverin, 21, ans, regagne à pieds son dó- micile au Piton Calvaire à Petite-Ile. Dans un sentier, il aperçoit soudain un engin." d'un blanc très brillant, stabi- lisé à 50 em du sol environ. C'est alors qu'il est frappé par des rayons lumineux qui par- tent de la soucoupe ». Il tombe à terre. Il pourra re- joindre son domicile et rap- porter des faits à ses parents. Ensuite, il perdra complete- ment usage de la parole. L'intéressé reste conscient, mais est prostré, comme cho- qué. Par gestes, il a pu ex- pliquer aux gendarmes qu'il s'agissait d'un engin de forme circulaire, surmonté d'une. coupole et muni d'un escalier touchant de sol. La « soucou- pe volante, était occupée par quatre passagers vêtus de Deux objets volants lumi neux, dont l'un avait la forme d'une grande étoile; ont été vus à l'oeil nu, dans la nuit de lundi à mardi à Amman, Jordanie, se dirigeant très lentement dans la direction Nord-Ouest. blanc. Un de ces extra-ter- restres » se trouvait à l'inté rieur sans doute aux comman des de rengin, les trois autres étant groupes au bas de l'échelle, On en saura peut-être plus lorsque le médecin permettra les visites qui restent inter- dites, même aux enquêteurs. Car on ne connaît toujours pas l'endroit exact où l'engin a été vu. Une nouvelle audi tion du témoin permettra peut-être d'obtenir d'autres renseignements sur cette vi site d'extra-terrestrea> dans notre ne. et au Proche-Orient Selon le quotidien Al Ral», les autorités compé L'engin se serait eve sifflant très fort et en tou billonnant. Il a alors disp à sa vue. Les gendarmen n'ont pas trouvé entre té moins. En attendant, le 400 teur de Petite-Ile aplacé M Séverin sous contrôle médio Son patient ne porte pas brûlure et n'est atteint d cune blessure. Il souffre violents maux de tête. Le ti decin a déclaré que l'intéressa était sous l'effet d'une crise pytoiatique due au choc émo- tionnel. M. Séverin, d'après son en- tourage, est un homme sé- rieux et ne s'est jamais fait remarquer en mal. C'est un homme qui semble sain de corps et d'esprit. tentes jordaniennes ont pris de nombreux contacts, notam- ment avec la Syrie, pour iden tifier ces deux objets ». Le commandement syrien des forces de la défense aérienne, indique « Al Raï», a répon du que ces deux « objets > se déplaçaient à une altitude de quatre-vingt-dix kilomè tres. f Quant au Centre Internatio- nal des Stations Terrestres de Satellites Artificiels, il a indi- selon < Al que jours qu'il n'avait pas suivi Ralacement de ces deux objets à mais a précisé que l'altitude (00 kms) à laquelle Als évoluaient ne pouvait être atteinte par les satellites ar- tificiels, (Rn effet, le frotte ment contre les couches supé rieures de l'atmosphère in- terdit dans la pratique toute ite de satellite à moins de 50 kms de la surface de la terra). 26