La soucoupe volante de Bugeat (Corrèze) "J'ai serré la main X de "l'homme de l'espace" affirme M. MAZAUD (De notre envoyé spécial) L ES soucoupes volantes ! Depuis longtemps déjà, l'existence de ces mys- térieux engins a fait l'objet de nombreuses re- cherches scientifiques et a appelé les commentaires les plus variés, sans qu'il soit possible de déterminer si ces monstres d'un autre monde étaient nés dans l'imagination de gens cré- 'dules ou trop impressionna- bles ou si, au contraire, il fallait se rendre à l'évidence et croire aux incursions sur notre planète d'êtres étran- ges et fugitifs venus d'on ne sait où. Or voici que, coup sur coup, deux témoignages particulièrement troublants viennent s'inscrire dans ce débat l'éclairant d'une lu mière qui peut-être bientôt sera l'aube de la vérité. En effet après un ouvrier de Valenciennes, un cultivateur corrézien vien affirmer qu'il a vu une soucoupe volante, mais encore a fait la description de son passager. (SUITE EN & PAGE) j'ai voulu lui donner un coup de fourche mais j'ai eu peur » (Suite de la première page) ¡ In este ameau ca- val!!!. :nnaitre **** inerets- e atenure vecue par l'un de ses habitants. M. Antoine Mazand est un ro- buste montagnard de haute s:atu- . qui isterait la peur jusqu'au poir ou rencontin, dans un che- in de terre, au miiic: des hruvė- es et des hautes fougeres. T'hom- me de l'espace #. You CAC ment !! C11 A narré Xandinaire histoire : " li tatt 18 h. vendredi soir. lorsque je qal le champ ou Jasais travaillé toute la journée. Je m'attardat quelque peu à ler a decidal entin À 1: a note 11. « Un voisin, en compagnie de son fils, me croisa sur le chemin 4.1 retour. Nous avons échange ciques mors, puis je m'engageai dans le raccourel qui, à travers le plateau, mène à ma petite terme. Apres m'être arrété quelques ins- tants pour rouler une cigarette. Je pressal le pas. La nult était tom- bée et je craignal d'ètre en re- tard. Tout d'un coup, alors que je contournal un bulssson. Je me heurtal à un inconnu dont je n'a- vais pas soupçonné la présence. Il n'était qu'a quelques mètres de mol. Je le dévisageal mais l'obscu- rite ne me permettait pas de dis- tinguer ses traits. La peur s'empa- ra de mol et me paralysa. Je serral plus fortement le manche de ma fourche. J'étais prèt à m'en servir, car cette rencontre. In nult sur ce platenu désolé, m'inspirait une ter- rrur que je n'arrivais pas à répri- mer. 43 M. Mazaud explique à notre collaborateur les circonstances de son étrange rencontre. J'ai eu peur Mets mustérieur :connu ne faire un mouvement de peur d'at Man ster d'inten- rer sa colère. C'est alors qu'il osties. I! se ontentait de tendit la main en continuant : Calendroit m'était ctrange mimique. u bylacant ensement sa torps sas de un mot. rortait une coujure assez singu- Ne sachant trop que fatre, n chinalement. fe lui tendis ausst main. Il saisit mes doigts et m'at ra à lui pour m'embrasser. . File ressemhint à un bonnet **ant de couleur sambre. Ses cinient cualement de ( Mon émotion et ma surpr allaient en s'accentuant. Puis bitement il partit tranquillemen: travers champs. : Que me rculuit-il ? Je n'osats Je me hátal de reprendre ma 1 car je craignals une nouvel- rencontre de ce some qui peut- urait été moins pacifique. J'avais fait une vingtaine de res lorsqu'un bruissement léger vint à mes oreilles. Me retour- n! J'apercus A ce moment un in de forme allongée qui pla- comme un oiseau très près Il ressemblait à un long : de quatre à cinq mètres. Sa eu appeiait celle du zinc. I pa sa sous les fiis électriques disparut silencieusement dans Un bruissement léger .: Son départ dissipa en mol tou- erainte et je regagnai mr. de- 1:e en songeant au mysterieux te et à son curieux appareil. n'osal conter l'aventu.e à ma ajouter fol à mon récit. conta Fie ca voisins. for le villake connut la fameur pubique aler- *q yrit une : uits par M. Mazaud, les inspecteurs des Renseignements générau s gendarmes examinent le terrain sur lequel s'est posé le cigare volan - 931 inconnu re- 1 - a l'1- Mad, en termu- Quetter ad La rumeur publique eta ant. s tout sams encil- S a celul -1.am- : -144:10 1. IP très ce on ge- Ipasan homme in- bicul Clib.e 16. Lors de lections muni- il avait e:e present! pour sur une te de candidats. pagnie des enquéieurs et Mazaud. je me suis rendu des Pix theatre se appartion C'est ise. Ce ne S. 1:A': femme, craignant que si l'affa élait connue on rirait de mol. nalement, je n'y tins plus. Le cret était trop lourd pour not je me décidal à le lul confi Vous jugez de son étonneme: Elle m'écoutalt, Je m'en aperceva sans grande conviction. C'est peut-être tes yeux q étaient fatigués. me dit-elle. Tu cru voir quelque chose qui n'ex: tait pas réellement. C « J'allai à l'écurie soigner ! bètes et pendant que je falsa mon travail ma femme ne cessa de m'observer, cherchant en m une attitude, un comportemer. inaccoutumes. Mais devant mo air naturel, elle ne tarda pas 7: ta ia tena- dis *** appur- ne te clase Gan; 51123 Cet à lan du champ nr que M. Mazud a ren- C. n'est pas une hallucination s'étaient déplacés pour recueill de nouveaux renseignements chercher de précieux Indices. Cet Interrogatoire bienveillant deroula dans la cuisine de M. M zaud, qui répéta, sans ajouter d'a tres détails, ses précédentes décl rations. Il renouvela toutes ses affirm tions, insistant sur la véracité c ses dires : « Je l'al vu comme je vous vols Il portalt un bonnet... Il m'a te: du la main.. 11 m'a embrassé. » Malgré l'invraisemblance de cet rencontre nocturne, les enquêteur ébranlés par les arguments et l paroles persuasives de M. Mazau n'ont, pour l'instant, aucune ra son de les démentir. J'al demandé leurs impressio: à quelques personnes de l'ento race de M. Mazaud. contie inconnu. 1 montre G dangt l'endroit ou l'a rencont: et indique in direction prise pr « l'engin qui planait comme L oiseau ». De tout cela il ne reste aucui trace. Tout s'est évanoul. Il y blen une tache d'huile qui tern l'herbe verte, mais elle a été fai tout simplement par une moisso: neuse qui avait séjourné là per dant quelques jours. Le champ du « Piloux» est d' venu un endroit très fréquent Tous les gens du village y 601 M Mazua raconte chacun deux sa memorable ave: ture venus, tiris dans Ir Peut-être paar u uit sa: I ne, quand le vent grand be!- de pin. lespace s Ihomme. ndia serrer la in:. à un autre habitaui de Mouriera Jacques DHERMAIN.