CAT J.V. ENQUETEUR : AFFAIRE REBOUILLON 19.07.1966 vers 3:40 -Ces trois témoins venaient de LA MARTRE (Var) et rentraient à DRAGUIGNAN, par la route Nationale NO555. -Aux emplacement où ils se tenaient lorsqu'ils déclarent avoir aperçu la S.V, la R.N 555 serpente ds les gorges de la NARTU BY et son tracé est sensiblement N.S -Les gorges vont en s'élargissant vers le Sud pour se terminer à l'embranchement de la R.N 555 avec le C.D 49. PREMIER POINT D'OBSERVATION -Coordonnée UTN 92 T KP 920 280 -R.N 555.Point Km 40+550 -N°I sur carte MICHELIN N°I sur carte Etat-Major -Dessins n°I faits par les témoins PEBRE René, BOUCHAUD André, et GUILLAUME Henriette -Photographie et photo nº I : -En ce lieu la R.N 555 surplombant la NARTUBY d'une trentaine dem. -Les trois témoins ont aperçu 2 lueurs de phares en direction du S.O, à l'aplomb d'une murette et de 2 grands pins et légèrement au dessus de la premiere ligne de crete celle qui descend de la côte 351 de l'Hubac de la Sigue vers la NARTUBY. -Le chemin departemental N°49 se trouve en 2eme plan ds la direction d'observation. SECOND POINT D'OBSERVATION -coordonnés UTN 92 T KP 919 275 -R.N 555 ,point Km 40+950 -N°2 sur carte Michelin " > 9 -N°2 sur carte état-Major -Dessins n°2 et 3 fait par les mêmes témoins. -Fhoto et croquis N°2 -En ce lieu le vallon s'élargit et la route qui continue à descendre surplombe la NARTUBY d'une quinzaine de M. -Selon les temoins l'engin se trouvait à l'aplombe d'un petit " exactement cabanon appartenant à M Marius ARNEODO, à 200 m au N. du travé de la ligne à H.T, et à une altitude évaluée à la moitié de celle de la colline située à 1'0. du hameau de LENTIER $Var). TROISIEME ET DERNIER POINT D'OBSERVATION -Coordonnés UTN 32 T KP 921 268 -R.N 555 ,Foint Km 41+850 -N°3 sur cateMichelin -N°3 sur carte Etat-Majob Photo et croquis N°3. -Avant de parvenir en ce lieu, les 3 témoins déclarent avoir perdu de vue la S.V en raison du masque important crée par la propriété dite "LA GRANEGONE". -Maison et grands arbres en bordure de la R.N 555 -Ils déclarent avoir aperçu au dessus du hameau de LENTIER sensiblement au dessus du chateau d'eau le desservant. -Il aurait alors disparu en s'élevant eten s'éloignant vers 1'0. par dessus la colline de la SIGUE. REGION DU PLAN D'HIESSE -L'emplacement où a été faite l'observation du berger, M. GAL Marius à une date assez peu précise, mais qui peut se situer aux environs de celle des 3 temoins cités ci-dessus au lieu dit "LE PLAN D'HIESSE" à 5 Km au N.N-O de CHATEAUDOUBLE (Var). -Coordonnés UTM 32 T KP 929 353 -N° 4 sur carte Michelin -N° 4 sur carte Etat-Major -Photo et croquis N°4 -Le plan d'HIESSE se présente comme une cuvette cultivée, entourée de sommets arrondis et couverts d'une végétation assez bassex et relativement peu touffue. -Mr GAL Marius gardait les moutons dans le Plan d'HIESSE. Il déclare avoir aperçu le phenomene qu'il décrit dans sa déclaration de deux gros chênes,plein S., au dessus de la Bastide dite " de la TREMPE. IIIeme ENQUETE -PEBRE René né le 17.06.42 à DRAGUIGNAN (Var), employé de bureau à la recette des Finances de DRAGUIGNAN, marié, un enfant, demeurant 16, rue des Marchands à DRAGUIGNAN. Dans mes moments de loisirs, je dirige un orchestre de musiciens, composé de mes camarades Henriette GUILLAUME André BOUCHAUD, NEMAN Maurice ,MEIFFRET georges et Paul PELLET, demeurant ainsi que moi même à DRAGUIGNAN. Pour ce faire, avec mes camarades, Samedi 16 et Dimache 17.07.66, nous avons participé aux festivités dans la localité de LA MARTRE où nous étions logés sur place. Le lundi 18.07.66, la fete étant terminée, nous avons regagné DRAGUIGNAN. : Nous avons donc quitté la localité de LA MARIRE,Lundi 18.07 alors qu'il devait être 2: 30 du matin environ à bord de 2 9 véhicules automobiles, soit ma voiture personnelle de marque SIMCA 1000 que je conduisais, ainsi qu'une voiture "DAUPHINE" conduite par MEIFFRET. 2 Dans ma voiture avaient pris place Melle Henriette HILLAUME, qui était assise à mes côtés, ainsi que BOUCHAUD. La banquette arriere était occupée par les instruments de musique. Dans la "DAUPHINE" avaient pris place MEIFFRET qui conduisait et qui avait à ses cotés DEMAN .Sur la banquette arrière avait pris place PELLET. " Au départ de LA MARTRE c'est la "DAUPHINE" qui pris la tête du convoi.Moi-même avec mon véhicule je suivais lentement à une distance de 600 m environ. Alors que circulant sur la R.N 555, je venais de dépasser la petite localité de REBOUILLON, et plus précisément, alors qu'en plein virage, et aprés une distance de 10 à 15 m du chemin menat à ce hameau, nous roulions en direction de DRAGUIGNAN, vers 3:40,mon camarade BOUCHAUD m'a interpelé en ces termes :"René, arrêtes-toi, il y a une Soucoupe volante." Tout en roulant j'ai plaisanté mon camarade et devant son insistance, j'ai stoppé mon véhicule sur l'accotement droit de la route, et, me baissant et en regardant par la portiere avant droite, je vis dans le vallon, et légèrement au-dessus de nous, la lueur de deux gros phares. Ces lueurs, dont la luminosité n'était pas grande et vive se déplaçaient rapidement dans notre sens de marche. En voyant ses lueurs s'éloignér, j'ai remis la voiture en marche, et, au cours de la descente, nous apercevions par intermittence ces lueurs qui étaient dissimulées quelquefois par des troncs de pins. Farvenus peu avant la carriere de sable de MR LAGET, alof que nous amorcions un virage sur notre gauche, nous avons brusquement aperçu un engin bizarre, qui se trouvait stabilisé au-dessus de nous ;à une altitude que dans la nuit j'estime à 200 ou 300 m. Je tiens à préciser qu'au moment où nous avons aperçu l'engin, le poste radio de ma voiture a cessé toute émission. J'ai alors éteint les lumieres de ma voiture (feu de position) et toujours endescendant à allure réduite, je me suis dégagé du virage par mesure de sécurité, et j'ai arrété la voiture, puis nous sommes sorties. à 3:45 C'est alors que personnellement j'ai aperçu, exactement car j'avais consulté mon bracelet montre, une masse ovöide, plutot aplatie sur ses deux faces, dont les dimensions représentaient une longueur comparative à une fois et demi celle de ma voiture. L'une des extrémités de cet engin, soit, je pense, l'arriere, comportait un genre de tige étroite et de faible longueur, qui était éclairée. Je distinguais également sur l'aéronef proprement dit,4 hublots d'une vingtaine de cts.ainsi qu'une petite lumiere située à la base de la masse et vers l'avant. Cet engin devait légèrement tournér sur lui même car je voyais parfois l'un des hublots disparaitre et celui du coté opposé apparaitre. Je tiens à préciser qu'à ce moment-là,et auparavant, l'aéronef se déplacait sans bruit. " A un moment donné, l'engin a légérement perdu de l'altitude, soit 20 à 30 m puis il s'est déplacé toujours dans le même sens de marche, soit en utilisant le vallon vers 9 C'est alors que soudain, plusieurs faisceaux lumineux se sont éclairés à la base de l'appareil, soit trois ou quatre, et ils ont brillamment éclairé le sol sous l'engin. > Je tiens à préciser que certains de ces faisceaux, soit ceux vers l'arrierxe , étaient brisés .Après quelques minutes les faisceaux se sont éteints, et l'aéronef a poursuivi sa route à allure lente, toujours en direction de DRAGUIGNAN. En voyant l'appareil s'éloigner, j'ai remis la voiture en marche, et alors que nous avions dépassé la carriere de MR LAGET, et plus précisément alors que nous nous trouvions sur le petit pont, mon camarade BOUCHAUD m'a dit que l'engin sur la droite et semblait se diriger vers le village de LENTIER. Nous avons roulé sur une distance de 80 à 100 m environ, et, une fois sortis de l'ecran de feuillage des arbres bordant la route, nous n'avons plus aperçu l'aéronef. A ce moment précis, est venue en sens inverse la "DAUPHINE" et nos camarades qui s'inquiétaient de notre retard. J'ai informé mes camarades de ce que nous avions vu XÌEXEXXXMNE et c'est alors qu'ils nous ont déclaréx que de leur côté, ils avaient également vu une lueur dans le ciel, dans les gorges de REBOUILLON. Ensuite nous sommes restés quelques instants sur place et l'engin n'ayant plus fait apparition, nous avons poursuivi notre route sur DRAGUIGNAN. Je tiens à préciser que le Samedi 20.08.66, par l'intermédiare du quotidien "LE PRO VENCAL", j'ai reçu un questionnaire du GEPA 69 rue de la TOMBE ISSOIRE à PARIS NOTE: Je tiens à indiquer que les lumieres des hublots de l'engin avaient un caractère opaque et que, lorsque j'ai éteint les phares de mon véhicule, soit au premier point d'observation, l'aéronef en a fait de même en éteignant ses phares. Lorsque le poste de radio de ma voiture a cessé toute émission par mesure de sécurité, j'ai tourné le bouton à l'arrêt. Je ne l'ai remis en marche que le lendemain, et je tiens à indiquer que j'ai du remplacer une piéce, soit un changeur de fréquence. Le poste de ma voiture est à l'état neuf et il est toujours placé sous garantie. Lorsque le poste s'est arrêté accidentellement, j'écoutais une émission espagnole. Depuis que je circule dans la region, c'est la première fois que je suis témoin d'une telle apparition. BOUCHAUD André : Né le 26.12.48 a DRAGUIGNAN Je confirme en tous points la déclaration de mon camarade PEBRE. Les faits se sont bien déroulés comme il l'a déclaré. Oui c'est moi qui ai appercu le premier l'engin alors que nous venions de dépasser le hameau de REBOUILLON et qui en ai averti mon camarade PEBRE. Au debut j'ai bien appercu la forme de deux phares lumineux plutôt ovales qui n'étaient séparés que par un intervalle d'un m environ, si j'en juge par la distance. J'estime que les phares devaient se trouver a ce moment là a une distance de 300 m de nous. Par la suite j'ai apercu alors complétement l'aéronef qui se trouvait stabilisé au dessus du vallon soit a une altitude de 200 m environ. Sa coque présentait une forme plutôt ronde mais applatie aux deux extrémités soit en forme de soucoupe et a l'une des extrémités j'ai appercu un genre de tuyere assez courte. Plus tard j'ai distinctement vu des projecteurs s'allumer a la base de l'engin. Les faisceaux de ces projecteurs étaient d'une lumiere plutot faible. Entre le moment où j'ai appercu les 2 phares et où l'aéronef a éclairé ses projecteurs dont je ne peux indiquer le nombre, j'ai appercu sur sa coque alors qu'il évoluait sans bruit en suivant le vallon en direction de DRAGUIGNAN, plusieurs petits hublots, 3 ou 4, qui étaient de forme ronde .Ces hublots étaient faiblements éclairés et par transparence je n'ai appercu aucune silhouette. Aprés la carriere de MR LAGET alors que nous roulions en direction de DRAGUIGNAN j'ai vu l'engin disparaitre au dessus du hameau de LENTIER ensuite il a frenchi la montagne et n'a plus reparu. Nous avons continué notre route. 9 2 GUILLAUME Henriette Née le 24.II.46.Demeurant immeuble "Les Augus- tins " Bld Kennedy (a quitté depuis DRAGUIGNAN.) Je n'ai rien a ajouter a ces déclarations .A la sortie de REBOUILLON lorsque l'engin a du se présenter de face, j'ai bien appercu la lueur des phares.Par la suite sur la coque de cet aéronef en forme d'elipse j'ai bien vu plusieurs hublots de forme ovale qui étaient faiblement éclairés. A un moment donné des projecteurs se sont allumés a la base de cet engin. L'un de ces projecteurs avait le faisceau lumine eux qui était brisé. Alors que nous avions de passé la carriere de MR LAGET j'ai vu l'appareil disparaitre au dessus du hameau de LENTIER qu'il a survolé puis a disparu derriere la montagne. MEIFFRET Georges Né en mars 38 employé de bureau demeurant a DRAGUIGNAN II9 Av de Grasse. Avec ma DAUPHINE j'avais pris la tête du convoi et à 9 quelque 500 m suivait la voiture SIMCA 1000 conduite par René PEBRE. A un moment donné alors qu'il devait être 3:30 et que nous avions dépassé le hameau de REBOUILLON j'ai appercu sur la droite dans mon sens de marche (vers DRAGUIGNAN) et légèrement au dessus de nous à une distance de 250 m environ à vol d'oiseau un objet circulaire ressemblant à une boite de camenbert dont le diametre devait mesuré une dizaine de m. Cet engin était uniformément éclairé d'une lumiere il se déplacait et n'émettait aucun bruit. opaque, Lorsque j'ai apercu cet aéronef je n'ai point remarqué de hublot de phare ni de tuyere. Sans préter plus attention à ce phénomène j'ai continué vers DRAGUIGNAN c'est alors que ne voyany pas arriver mes camarades et craignant qu'ils ne se soient accidentés, j'ai rebroussé chemin et je les ai rencontré à proximité du lieu dit "LA GRANEGONE" ( propriété appartenant à MR GUIRAN) alors qu'ils regardaient en direction du hameau de LENTIER. Je les ai questionnés c'est alors que j'ai appris que de leur côté ils avaient également appercu un engin bizarre dont ils semblaient avoir remarqué certains détails. Nous avons échangé mutuellement nos impressions et cet aéronef n'étant plus visiblexx, ensemble, nous avons regagné DRAGUIGNAN sans autre incident. NOTE : Je ne pense pas que l'engin que j'ai appercu soit un hélicoptere car il n'émettait aucun bruit de moteur, ni de pale d'helice particulier a ce genre d'appareil et se maintenait en dessus du sol dans le silence le plus complet. GAL Marius Né le 13.0I.II à BARGEMON berger, demeurant au Travaille au service plan d'HIESSE commune de CHATEAUDOUBLE de MR GIRAUD. ● " Comme j'en ai l'habitude je mene paitre mes moutons à proximité de la maison soit dans la petite vallée. A une date dont je ne me souviens pas mais qui peut se situer à l'avant dernier quartier de la lune soit la mi-juillet 66 alors qu'il devait ètre presque nuit et que les premeires étoiles faisaient leurs apparitions j'ai soudain appercu en direction de la bastide de "LA TRAMPE" et légèrement au dessus du mamelon bordant la plaine un objet d'une lumiere jaune et opaque comme la lune. NOTE Ce ne pouvait etre la lune car elle se leve dans une autre direction et plutôt sur le matin en cette saison. LoDsque j'ai apercu cet engin j'ai pu remarquer qu'il avait une forme plutôt ovale et de même diametre à peu près que la lune, quand elle est pleine. Presque aussitôt cet objet a pris une forme sphérique et a disparu à mes yeux. NOTE Lorsque j'ai apercu cet aéronef il était immobile et à une distance que je n'ai pu évaluer et à une distance de 300 m environ de mon point d'observation. Cet engin n'énéttait aucun bruit et lorsqu'il a disparu il n'y a eu aucun bruit de moteur. NOTE: à l'apparition de l'aéronef je tiens à indiquer que mes moutons et mon chien sont restés parfaitement calmes et je n'ai ressenti aucun malaise. Je suis le seul berger à garder les que je moutons sur le plan d'HIESSE. C'est la premiere fois suis témoin d'un pareil phénomene. A l'issue des déclarations des intéressés nous avons entendu R ROMEO technicien en télévision et appareil radio demeurant rue du tribunal à DRAGUIGNAN ( il y demeure toujours) Il nous a déclaré avoir effectivement vendu à MR PEBRE le 31.03 1966 un poste auto-radio de marque AREL. Mis au courant de l'arret accidentel du poste MR ROMEO nous a fait part que cela était très vraissemblable, une coupure d'emission se produisant sur tous postes survolés par un engin (Avion ou Helicoptere) .Ce phénomene assez courant est appelé "absorbtion". Dans le cas qui nous intéresse cela s'explique d'autant plus que MR PEBRE écoutait un poste espagnol une émission lointaine plus facilement perturbable. Nous avons également effectué des vérifications auprés de l'armée de l'air (E.A.LA.T.) stationnée au CANNET DES MAURES. qui nous a assuré qu'aucun vol de nuit n'avait été commandé ni n'était intervenu au cours de cette nuit dans la region de REBOUILLON. CONTRE ENQUETE SUR L'OBSERVATION DE REBOUILLON. VAR Cette observation a été faite dans la nuit du 16 au 17 Juillet 1966, et est inscrite sur le catalogue J.VALLEE sous le N° 781. NORD 06°25' EST. Carte Michelin 84 Pli 6 et 7. COORDONNEES GEOGRAPHIQUES. 43° 34 HEURE DE L'OBSERVATION : 03:45 DUREE :Plusieurs minutes. CONDITIONS METEOROLOGIQUES : Beau temps clair, visibilité excellente. TEMOINS : Un groupe de plusieurs musiciens d'un orchestre de danse de DRAGUIGNAN qui venait d'animer un bal à LA MARTRE et rentrait à DRAGUIGNAN par la R.N 555, à bord de voitures la premiere une DAUPHINE conduite par MR Georges MEIFFRET avec MM Maurice NEMANN et Paul PELLET comme passagers et la seconde une SIMCA I.000, conduite par R René PEBRE et, où avaient pris place Annie CUILLAUME, André BOUCHAUD. ENQUETEURS .MM J.C DUFOUR ET J CHASSEIGNE Nous n'avons pas pu interroger tous les témoins de cette observation .Annie GUILLAUME a quitté DRAGUIGNAN, René PEBRE ne veut plus parler de cette histoire. Nous n'avons pas retrouver MM NEMANN et MEIFFRET. Cependant nous avons eu connaissance des déclarations faites à l'époque. Seul André BOUCHOT à accepter de nous faire le récit de son observation.levoici :... J'étais dans la seconde voiture, en compagnie de René PEBRE qui conduisait, et Annie GUILLAUME . Nous faisions de fréquents arrêts, car Annie ne supportait pas les voyages en voiture. Nous etions à la hauteur du petit village de REBOUILION ( point N° I sur la carte) et nous venions de nous arréter pour Annie quand j'aperçus, sur la droite, de l'autre coté de la riviere et au-dessus des collines, une lueur qui me parut anormale. J'en avertis mon camarade RENE PEBRE qui la remarqua à son tour. Quelques instants plus tard, alors que nous roulions à nouveau vers DRAGUIGNAN,nous vîmes encore cette lueur, qui se déplacait parallélement à nous et à la même vitesse. C'était comme deux phares de voiture, carrés semblables à ceux d'une ami Sur la rive droite de la NARTÚBY, à cet endroit, le terrain est très accidenté et il n'y a aucune route. La lueur que nous observions ne devait pas être bien haute au-dessus des collines, car la lumiere était parfois masquée par les arbres. Tout en se déplaçant l'objet à allumé, à sa partie inférieu re, plusieurs faisceaux lumineux jaunes, tres puissants, dirigés vers le bas. Ils éclairaient violamment le sol.Nous l'avons situé à ce moment là, approximativement au-dessus du hameau de LENTIER et nous pensions qu'il s'était posé .Nous sommes allé sur place le lendemain, avec René PEBRE, mais nous n'avons trouvé aucune trace. Nous nous étions à nouveau arrête derriere un rideau d'arbres (point 5 de la carte ) Annie est malade et il faut descendre pour la faire vomir . L'engin était immobile, les faisceaux lumineux verticaux se sont éteints. Puis les arbres tout autour ont été éclairés par des lumieres blanches et puissantes qui se déplaçaient "On aurait dit des géants qui éclairaient la campagne. Je ne l'oublierai jamais". C'était comme lumiere blanchatre de tube au néon. C'était comme si quelqu'un se déplaçait dans la forêt avec une lampe électrique très trés puissante. On voyait comme en plein jour les arbres qui étaient illuminés. Puis la radio de la voiture est tombé en panne Textuellement : elle s'est mise à caffouiller et l'on entendait des bip-bip. Nous avons alors éteint toutes les lumieres de la voiture. . Les trois amis commençaient à ne plus être très rassurés .Ils décidèrent de partir tous phares éteints, DRAGUIGNAN n'était plus qu'à quelques Km. Au cours de leur descente dans l'obscurité, ils virent les lumiéres dans les arbres s'éteindre et assistèrent au décollage de l'engin. Celui-ci dévalla la pente à toute vitesse, dans la direction de la voiture des témoins et s'arréta brusquement à quelques dizaines de m d'eux, en contre bas, dans une vigne . 9 9 Ils s'arrétèrent à nouveau (point 6 de la carte), cachés par un bosquet de chénes verts. Pendant 2 ou 3 minutes ils purent observer, à travers les arbres un engin de forme lenticulaire immobile au-dessus de la vigne. Tout était éclairé la vigne et les environs. L'engin projetait des faisceaux lumineux blancs dans toutes les directions. Nous étions plus haut que le M.O.C et nous voyons donc le dessus de l'engin .Il était de couleur rouge sombre mat avec des hublots jaunes . Il n'y avait pas de dôme à sa partie supérieure. Nous n'avons pas remarquer de silhouettes à l'intérieur. Elle est resté environ 3 minutes dans la vigne, absolument immobile. J'avais peur je souhaite ne plus en voir comme celle- là. Vous voyez lorsque j'ai vu l'engin des NO URRADONS et bien je n'ai pas eu peur (?). Puis elle s'est éteinte sauf les gros phares carrés, qui sont resté allumés .Puis elle s'est envolée dans un départ fulgurant, en direction du N.O. 9 n'a 9 " Pendant l'observation rapprochée, aucun témoins ressenti de sensations particulieres, mais dès le lendemain A BOUCHOT est tombé malade et est resté très fatigué pendant une semaine, manque d'appétit, fatigue générale etc.... 9 A BOUCHOT, heureux homme refuse obstinément de porter une montre ce qui fait que nous n'avons pas pu lui poser la question sur le fonctionnement de celle-ci. COMMENTAIRES : Le récit d'A BOUCHOT diffère quelque peu de la déclaration faite par R PEBRE, le lendemain de l'observation. Il semble notamment qu'il y ait confusion dans l'ordre des séquences, R PEBRE plaçant l'épisode de la vigne avant l'atterrissage de LENTIER alors qu'André BOUCHOT le place après. 9 Dans notre "reconstitution " du 12 Fevrier, nous avons laissé BOUCHOT faire son recit sans faire allusion à la déclaration de PEBRE, mais aprés comparaison des 2 versions certaines précisions s'imposent. Nous allons tenter de les obtenir. COMMENTAIRES SUR L40BSERVATION DE MARIUS GAL L'observation de ce berger > n'est pas datée avec certitude mais se situe à la mi-juillet 1966, donc à la même époque que celle de REBOUILLON et il n'est pas impossible que ce soit le même objet qui ait été observé. " > Par ailleurs, cette observation n'a pas eu lieu à la même heure ¡l'observation de Marius GAL a été faite en début de nuit." il devait être presque nuit et les premieres étoiles faisaient leur apparition." Bien que nous n'ayons pas eu connaissance du dess in fait par le berger, sa description n'est pas tout-à-fait identique à celle de l'objet de REBOUILLON. Il pourrait donc s'agir d'une toute autre observation au lieu dit: LA BASTIDE de la TREMPE sur le PLAN d'HIESSE, qui se situe à 8 KM de LENTIER, à vol d'oiseau. Si l'on trace une ligne droite entre ces 2 points, on tombe, très exactement sur la trajectoire décrite par les témoins de LENTIER. > Le plan d'HIESSE est un plateau calcaire. Calcaires blancs bien statrifiés avec des intercalaires marneuses. SAMEDI 12 FEVRIER 72 nous avons de nouveau interrogé A BOUCHAUD afin de connaitre d'une façon précise qu'elle avait été la trajectoire de l'engin. Nous avons refait avec lui le parcours sur la RN 555 collines PT N° I .Début de l'observation .L'engin surgit entre il se trouve à mi hauteur de ces collines (voir carte).On ne voit que les phares frontaux. PT N°2 & 3.1'engin remonte la vallée en direction de LENTIER. PT N°4.L'engin atterrit dans le bois situé sur la colline dominant LENTIER au N.O. PT N°5; "Nous nous arrêtons derriere des feuillages, car nous ne sommes pas rassurés. Annie est malade et il faut descendre pour la faire vomir.L'engin, aprés s'etre posé dans le bois de LENTIER, a projeté des faisceaux lumineux à travers les arbres. On aurait dit des géants......etc. 4:00 le jour commençait à se lever. PT N°6."Nous voyons la soucoupe redescendre de LENTIER en 30" environ et venir s'arréter au dessus d'une vigne... Elle est restée environ 3¹ absolument immobile.Estimation 20m de diam. Elle s'est toute eteinte sauf les 2 gros phares.Elle s'est Fig I Fig 2 oo Fig 3 OOOO PELRE 0 oooo good gb yong Poog BOUCHAUD REBOUILLON. DRAGUIGNAN VAR OO OOOD GUILLAUME REBOUILLON FAILIS 352 500 -pos. 300 350 350. 400* -002· 300- 378 failes RN 555 La NARTUBY 536 500 LADLA tth 1965 -450 sse LENTIER 400 Carte J.CHASSEIGNE 350