CAT J.VALLEE .CAS N° 390 EXTRAIT de : A PROPOS DES SOU UPES VOLANTES Aimé MICHEL -P.247 - 14 AVRIL 1957- 15:00 mes GARCIN et RAMI, de VINS (VAR), se promenaient sur la D 24 non loin du chateau de ce village, lorsqu'un assourdissant vacarme métallique les fit se retourner. A quelques dizaines de m, elles aperçurent un petit engin métallique en forme de toupie, hémisphérique par-dessus conique par-dessous, qui survolait lentement, à 2 ou 3 m du sol, le carrefour de la D 24 et de la route de VINS . Le cône inférieur était formé d'un faisceau de tigelles lumineuses multicolores et paralléles, agitées d'un mouvement rapide, et le vacarme provenait d'un des deux panneaux indicateurs du carrefour, qui lui aussi vibrait brutalement, comme si il était en résonnance entre le mouvement des tigelles et celui du panneau. Les femmes criérent, épouvantées. A trois cents m de là, sur la colline voisine un autre témoin, Mr BOGLIO entendit le vacarme et les cris. Croyant à u un accident d'auto il courut vers le carrefour et aperçu lui aussi l'engin, qu'il décrit en termes identiques. " > " A ce moment, l'objet, qui était suspendu au ras du sol fit une sorte de bond et survola un deuxieme panneau indicateur qui lui aussi se mit à vibrer, en produisant le même vacarme métal- lique. Poursuivant son vol, mais en silence, l'engin parcourut 200 m environ, se rapprocha une nouvelle fois du sol, peut-être à le toucher, fit un deuxieme bond ,accéléra et disparut vers le S.E à une vitesse modérée. Il y eut plusieurs enquêtes : tout d'abord, celle de la gendarmerie qui consigna tous ces détails, et conclut au passage d'un engin expérimental lancé d'une base militaire de la région. Les Gendarmes sont optimistes en prétant de tels engins à l'armée ). Une derniere enquête fut faite par MR VEILLITH qui confirma les détails ci-dessus. Une deuxieme enquête fut mené par J.GUIEU, de la commission d'enquête privée OURANOS. GUIEU constata, et fit constater aus gendarmes que les 2 Panneaux étaient anormalement magnétisés : aiguille de la boussole déviée de 15° à 5 cm de distance, alors que, dans les mêmes conditions, un troisieme panneau, plus éloigné, ne produisait aucune déviation. Il constata également qu'une vanne d'arrosage située à proximité du deuxieme point de rapprochement du sol était elle aussi magnétisée. EXTRAIT de : LES PHENOMENES INSOLITES DE L'ESPACE Jacques et Jeannine VALLEE P.53 à 56 ● Le cas de VINS fit l'objet d'enquêtes très poussées des services officiels français : la gendarmerie d'abord, puis la préfécture maritime de TOULON, des services scientifiques de LYON et de PARIS et aussi le D.S.T ont effectué des prélèvements et des analyses du sol et ont intérrogé les témoins. Les conclusions n'ayant jamais été publiées, nous nous en tiendrons aux éléments trouvés dans la presse, d'une part, dans les rapports d'enquêtes scientifiques privées d'autre part. VINS est une petite localité située près de BRIGNOLES . Deux personnes du village, Mmes GARCIN et RAMI, se promenaient sur la D 24, non loin du chateauv de VINS situé à I Km à l'est de la localité. Un assourdissant vacarme métallique les fit se retourner soudain. C'est alors qu'elles aperçurent à quelques m au sol, le carrefour de la D 24 et de la route de BRIGNOLES. Il était15:00 > Cet objet était en forme de toupie ou de cône, la pointe dirigée vers le bas. La description est formelle en ce qui concerne les dimensions : la hauteur n'était pas supérieure à 1,50 m, le diametre était de I m. Il est également établi que l'engin possédait une série de tigelles métalliques animées de vibrations rapides : en résonance avec ces vibrations, l'un des panneau indicateurs du carrefour vibrait aussi brutalement, produisant le vacarme qui avait attiré l'attention des témoins. La disposition des tigelles n'était cependant pas claire. D'après un document, elles se trouvaient perpendiculaires aux parois du cône. D'après un autre, le cône lui même était formé de tigelles et elles étaient lumineuses et multicolores. L'un des témoins déclara: "On aurait dit une grosse toupie .Sur la partie supérieure, il y avait de nombreuses tiges métalliques qui ressemblaient à des antennes d'automobiles " (Mme RAMI). Nous reviendrons sur cette question des tigelles, qui n'est opas clairement établie. Epouvantées les 2 femmes crièrent alors que l'objet se posait sur le sol du carrefour. A 300 m de là, sur une colline un troisieme témoin crut à un accident d'automobile et se précipita vers la scene. Il s'agit de Mr BOGLIO, conseiller municipal de VINS . Il déclara: " J'ai entendu un grand bruit, et j'ai pensé que deux voitures s'étaient télescopées. Je me suis dirigé en courant sur les lieux de l'accident présumé et j'ai vu un engin métallique qui faisait un bond énorme". En effet, l'objet était resté quelque secondes prés du sol et avait bondi sur une distance de 200 m passant au-dessus d'un second panneau indicateur qui entra également en vibration. Il est important de souligner que les 3 témoins virent aussi bien qu'ils entendirent les panneaux entrér en vibration : Nous avons sans doute là l'exemple le mieux établi d'effet Poursuivant son secondaire associé à l'observation d'un M.O.C. vol, l'objet alla se poser une seconde fois sur un petit chemin de terre et y demeura quelques instants, après quoi il s'éleva à la verticale en soulevant un tourbillon de poussiere et disparut vers le S.E à une vitesse modéré. Lorsque l'adjudant de Gendarmerie arriva avec deux de ses hommes, il trouva des traces indiscutables : sur trois m de diametre, l'herbe était toute roussie et foulée. Un cercle fut tracé autour de ce point et délimité par des piquets. Une grande activité fut déployée par les services officiels dans les jours qui suivirent, mais aucun résultat ne fut annoncé. Il est intéressant de faire plusieurs remarques à propos de cette observation. Prémiérement, les témoins sont bien connus : l'enquête permit d'établir leur bonne foi et d'obtenir des déclarations de plusieurs personnes qui se portèrent garantes de l'authenticité des témoignages.(notamment Mr VENTRE, maire de VINS, et plusieurs personnes de la région qui furent mêlées à l'enquête et connaissaient de longue date les habitants du village ). Deuxiemement, les distances et les dimensions ont pu être évaluées avec précision. Comme dans le cas de MARIGNANE, nous avons donc là des chiffres qui ne prêtent pas à discution dans une proportion appréciable. Troisiemement, il y eut un troisieme groupe de témoins indépendants : 2 personnes du village voisin (LA MOUTONNE) signalèrent la vision d'un 0.V. A.MICHEL signale que le cône inférieur de l'objet était constitué de tigelles lumineuses. Ces tigelles d'après lui, étaient mues par un mouvement rapide . Il voit dans ce détail l'indication que la "TOUPIE" de VINS n'était autre qu'une "Méduse " dont les appendices avaient une disposition différente : En interprétant l'objet décrit comme un appareil volant, on pourrait en effet penser que, muni de tigelles articulées, il peut prendre soit la forme d'une méduse loвsqu'elles s'ouvrent en éventail, soit la forme d'une toupie lorsqu'elles dessinent un cône. C'est point que nous n'avons pas été en mesure de controler jusqu'à présent. Nous conserverons donc la distinction entre les 2 appellations. Cependant nous noterons que la description de me RAMI s'accorde bien avec la relation faite le 29 JUIN 54 par Mr PARHAM en GEORGIE. La seconde version (tigelle perpendiculai- res aux parois du cône) n'est pas contradictoire avec cette interprétation. Ce serait alors l'image employée par A. MICHEL qui serait erronée....