23 MARS 1980 (Dimanche) BON ENCONTRE AGEN.-(47) 00000000000000000000 HEURE 20 H I2 Le Mardi 25 Mars 1980, le journal SUD.Ouest totrait : AGEN Un policier aperçoit un OVNI, il avait déjà accueilli un extra terrestre. ww Un policier en tenue du Commissariat d'Agen, le sous-briga- dier Pierre LEON, a indiqué hier matin aux gendarmes de la brigade territoriale d'Agen, qu'il avait aperçu, dimanche soir, dans le ciel de BON ENCONTRE, un objet volant non identifié... etc.... Monsieur RAULY, enquêteur LDLN a rencontré le témoin et ce dernier a écrit le récit de son observation, en voici la copie intégrale : DIMANCHE 23 MARS 1980, rue Pasteur à BON ENCONTRE, mon cyclo moteur était en parfait état.... le moteur s'est arrêté brutalement, j'ai tenté de remettre en route en pédalant et en actionnant la poignée des gaz, sans résultat. J'ai mis pied à terre, en même temps, j'ai eu un mouvement de tête en direction du ciel. Et j'ai aperçu à mon aplomb un engin de forme sphérique de la taille d'un ballon de baskett, d'une luminosité comparé à celle du soleil, sans provoquer d'éblouissement, égale dans tout son volume, d'une netteté parfaite. Couleur jaune pâle, transparente et émettant une intense clarté dans tout son volume intérieur, à l'arrière faisant partie intégrante de l'engin, j'ai remarqué un volume de faible largeur et de faible longueur de couleur rouge. L'ensemble sphérique avec ce volume n'émettait aucun halo. He précise que la coupure entre l'appareil et le ciel était stupéfiante de netteté. J'ai observé la limpidité du ciel, idéale pour cette observation, pas de nuage, pas de vent, étoilé. Immédiatement, pour être certain de ne pas être dans l'erreur, j'ai fait le rapprochement avec ce que j'aurai pu prendre pour une étoile filante, un ballon sonde poussé éventuellement par un vent qui serait plus violent, un engin construit par l'homme mais en définitive, il m'a fallu me rendre à l'évidence : je me trouvais en présence d'un phénomène inexpliqué. La durée a été de 2 à 3 secondes, vitesse trés élevée, direc- tion à partir de mon point d'observation: SUD plein NORD, paraissant suivre une trajectoire rectiligne mais légèrement plongeante vers la terre au moment où l'engin a disparu der- rière le côteau de BON ENCONTRE légèrement à droite de la statue de la Vierge. Heure de l'observation : 20 H I2. A la fin de ce fait et à sa disparition, le moteur de mon cyclo est reparti à la première sollicibbbion. Par la presse, je remarque la coupure du 26 Mars 1980: L'observation dans le ciel du LOT et GARONNE d'un objet volar non identifié par le sous brigadier Pierre LEON, du commissa- riat d'Agen a été également faite par quatre autres témoins, notamment Mesdames ROUSSEAU et BROCA, de St Médarde en Jalles (Gironde). Mme ROUSSEAU qui rentrait chez elle, nous a indi- qué qu'à la sortie de BAZAS elle a aperçu un " objet pointu ressemblant à une plume, de couleur rouge " traversant la route. Mme BROCA a aperçu le même phénomène. Les deux autres personnes, M. et Mme BERNARD de Périgueux qui regagnaient en train leur domicile aprés un séjour à Agen, ont eu leur attention attirée vers 20 H 40 (même jour que la Père observation du 23 MARS 1980 à 20 H 12), une dizaine de minutes avant d'entrer en gare, par une petite boule, particulièrement brillante paraissant accompagner le convoi. Un objet rond, scintillant, paraissant exécuter des paraboles avec tout à tout des virages pris à une vites- se fulgurante et des périodes d'immobilité complète, raconte M. BERNARD. Le centre de la boule était particulièrement brillante et des rayons lumineux semblaient de part et d'autre s'en échapper. A deux ou trois reprises l'objet a paru s'éteindre l'espace d'une demi-seconde, puis à nouveau la lumière revenait. Appés renseignement, j'ai pu amener une personne de la cité! Movanou, à faire une déposition au Service du Commissariat d'Agen, concernant l'observation qui serait en relation avec ma première déposition à la gendarmerie d'Agen. Cette personne a été réveillée par son mari qui avait aperçu une lumière mobile face à la fenêtre de la chambre à coucher, située àu 2ème étage de l'immeuble. Croyant que son épouse lui demandait l'heure, il lui a répondu 03 H 15, mais s'apercevant qu'elle dormait il l'a réveillée et elle a constaté la présence de cette lumière oscillante au même endroit venant du balcon et se réflé- chissant dans la pièce. Comme cette lumière était en mou- vement, elle a cru à une tentative de cambriolage, mais la pièce a été inondée de lumière trés vive. Pour en avoir s le coeur net, elle a ouvert la fenêtre et les volets et a vu à une centaine de mètres de son balcon, un engin ressemb 1 lant à une toupie évoluant trés lentement, muni de hublots latéralement; sur le dessus, face à l'immeuble, un " projec e teur" et sur le côté droit et gauche de l'engin était également visible à la partie supérieure deux petits "phares". Seul le projecteur a balayé la face de l'immeuble émettant une lumière argentée. L'ensemble de cette masse relativement volumineuse était baignée d'une lumière intense jaune émettant un fort halo. Ensuite aprés une petite pose statique, il a longé le bâti- ment, s'est élevé et a disparu à grande vitesse. Signalons que cette personne est posée, sensée, objective et a refusé de garder cette observation, pour soi et est allée aux services de permanence de Police d'Agen faire sa déposition. D'autre part, aprés son observation, cette per- sonne, d'une quarantaine d'années, a quelques heures aprés été prise de colique; mais pendant toute la durée de son observation elle a nettement été baignée de cette lumière n'a ressenti aucun phénomène physique anormal, au contraire elle m'a déclaré stétre sentie envahie par une douce quiétu- de et profondément relachée dans tous ses membres. Maintenant, toutes ces observations n'ont pas laissé de trace au sol, ni de réaction sur le voisinage. Je suis certain que d'autres gens ont été témoins des faits concer- nant cet immeuble, mais ont préféré se taire. POUR L'HUMANOIDE, approximativement cela s'est passé MI- FEVRIER 1976. Je finissais mon servide de nuit à 05 HOO du matin. Arrivé à la maison, 4, rue Sarocal à BON ENCONTRE, j'ai ouvert le garage, rentré he cyclompteur, accroché mon imperméable au porte manteau, enlevé mes chaussures, mis mes chaussons, défait ma vareuse ainsi que mon tricot, sans allumer la lumière; ensuite j'ai ouvert la porte d'accés au couloir, toujours dans l'obscurité... et, immédiatement, j'ai vu au niveau de la 7ème marche, un être qu'il est difficile Waaxado de décrire, tant ceci est simple et ardu: forme humaine par sa structure, hauteur normale : I, 70 m environ, carrure normale pour un homme de cette taille et qui serait d'un poids de 65 72 kilos; visage indéfinissable, aucune possibilité quant à sa description mais scul émanait un bloc lumineux, dont la lumière limitait les contours et ceci balable pour tout le reste du corps épaules, bras, jambes, ainsi que leur: extrêmités, tout étant constitué par un fuseau lumineux inté- rieur, trés vif, mais à partir du bas du visage, la netteté des volumes crées par tous les détails du tronc, épaules, bras, jambes ne laissaient pas de halo. L'on peut comparer à une coupure faite par laser (brillant noir sans dégradé ou sans nuance). Je suis resté pendant plusieurs secondes les bras ballants à le regarder, sans aucune manifestation, ni de crain- te, ni de surprise; ni de réaction quelconque sur mon corps (chaleur ou autre). Par rapport à mon emplacement me trouvant face à lui, il occupait la même position, je n'ai pu supporter l'observation du visage, obligé de diriger mon regard vers le centre de ce corps aprés observation de la périphérie (bras, jambes); j'ai attendu, le regardant toujours dans la même direction et ce que je peux évaluer à 4-5 secondes à partir de l'observation première (ensemble de ce bloc lumineux) qui a perdu de sa puissance lumineuse àune grande rapidité, puis sans bouger s'est dématérialisé... dés sa disparition, j'ai occupé sa place, cherchant soit contre les murs ou au sol sur la marche, s'il était possible d'y déceler une trace de débris ou de matière quelconque, ou de brûlures, je n'ai rien pu découvrir de semblable, également pas d'odeur perceptible. Tout en regagnant ma chambre, c'est à ce moment que mon esprit a commencé à réfléchir; jusqu'à là il était neutre, cooh eb sans aucune réaction. Mais tout en me changeant pour me reposer, je me suis demandé qui était cet être ? Que venait- il faire ici ? D'où venait-il ? Que me voulait-il ? Pourquoi n'avait il pas bougé, ni émis an son ou autre et manifesté sa vitalité d'une façon ou d'une autre. Toutes ces réponses sont attendues par d'autres êtres qui veulent et désirent connaître leurs intentions. Signé P. LEON. NOTE; D'aprés M. RAULY qui m'a dit avoir eu un entretien de cinq heures avec le témoin, ce dernier lui parait de bonne foi. Il aurait avoué à l'enquêteur que ses collègues du commis sariat ne l'auraient pas pris trés au sérieux. ENQUETE DE M. Michel RAULY communiquée à Mme Gueudelot.