15 AOUT 1979.-
(Mercredi)
LIEU DIT: LA PRUNE com. de Lussac.-(17)
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HEURE: 23 H 00
environ
TEMOIN: M. VEILLAT Patrick, 20 ans, boulanger, CLION S/SEUGNE
I7240 SAINT GENIS DE SAINTONGE.
:
LIEU départementale N° 134, lieu dit " LA PRUNE" commune de
LUSSAC (Charente Maritime)
HUMANDIDE : UN. Combinaison grise métallisée.
BRUIT ; aucun.
DUREE DE L'OBSERVATION : Une à deux minutes.
LES FAITS: Il est dans les environs de 23 H 00, ce Mercredi
15 Août 1979 et il y a bal à MOSNAC SUR SEUGNE. Monsieur Patrick
VEDLLAT, 19 ans, revient de JONZAC où il est allé acheter des
cigarettes et roule seul à bord de sa voiture, une Renault 5 TL,
en direction de ST GEORGES DE CUBILLAC pour retourner au bal.
En traversant la commune de LUSSAC, un peu aprés l'embranchement
de chez Péraud sur la départementale I34, il aperçoit dans les
phares de sa voiture une forme humaine, à 100 ou 200 mètres
devant lui sur la bande d'herbe gauche de la route.
Arrivé à une vingtaine de mètres de cette forme humaine, il voit
celle-ci lever la main gauche, un peu comme un salut scout.
Automatiquement tout le système électrique de la voiture s'arrê-
te les phares, la radio et le moteur (essence). La voiture
sur sa lancée fait une dizaine de mètres en frein moteur et
s'arrête finalement à une dizaine de mètres avant cette forme
humaine Patrick tourne alors à clé pour couper le contact.
Une quinzaine de secondes s'écoulent ainsi. Cela ne fait pas
penser à un homme normal, car les mains indistinctes au bout
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de grands bras descendent en dessous de ce qui devraient
être des genoux. Il doit avoir dans les I m 20- I m 30 de
hauteur et il ne bouge pas. Le bras toujours levé, les deux
jambes jointes; question habillement, celui-ci ressemble à
une grande combinaison collante grise xxiii aluminium
barrée par ce qui paraît être une ceinture, léger trait
de teinte différente. Les mains sont comme si elles étaient
dans des gants, car elles sont indistinctes. Le bas des
jambes et les pieds ne sont pas visibles ou discernables.
A la place de la tête il y a un casque en forme de bulle
dont la I2 sphère de déessus est transparente. Elle paraît
comme telle car elle réfléchit la rare lumière qui émane
de la lune ce soir là.
L'humanoïde baisse alors la main, saute pieds joints laté-
ralement " sans plier le corps " le fossé et passe dans les
bois distants de 10 mètres.
Dix secondes encore environ et la lumière dès phares revient.
Patrick remet le contact et sa voiture redemarre.
Il rentre pris d'une grande peur en direction de MOSNAC
retrouver ses copains. Patrick raconte son histoire et ses
amis le poussent à aller à une gendarmerie raconter ce qu'il
a vu. Aussitôt dit, ils vont à la gendarmerie de JONZAC (où
ils sont plus ou moins éconduits puis à celle de ST GENIS
DE SAINTONGE où les gendarmes enregistrent sa déposition.
Il est dans les environs de 23 H 30. Ceci fait, il rentre
chez lui mais là ne parvint pas à trouver le sommeil, ni
d'ailleurs la nuit qui suit. Patrick a en effet eu trés peur.
Ses parents avec qui il vit à CLION sont obligés de faire
appel) M. X. docteur à JONZAC qui va lui prescrire du
Valium pour une durée de 8 à 15 jours, médicament qui va
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permettre de retrouver le sommeil.
Maintenant encore, même 4 mois 1/2 aprés au rappel de ses
souvenirs, Patrick qui est un garçon trés ensible est trés
bouleversé. A noter que juste avant l'arrivée de Patrick, la
gendarmerie de ST GENIS DE SAINTONGE a reçu un coup de télé-
phone d'un routier leur signalant la présence de grosses boules
de feu sur le côté droit de la route dans les bois de PLASSAC
en allant sur BORDEAUX, phénomène se situant dans les 3 à 5 kms
de l'observation de Patrick.
Les gendarmes ont alors envoyé une patrouille et lorsque celle
ci revint sans avoir trouvé la moindre trace de feu, M. Patrick
VEILLAT faisait sa déclaration.
Y a-t-il un rapport, oui ou non, impossible de le dire :
una enquête plus approfondie le déterminera peut-être.
ENQUETE CERPI N° par Claude SOURIS et Pierre PAILLAT.
BULLETIN CERPI N° 26 P. 13 et 14 ; 51, rue St Pallais
17100 SAINTES.
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