NUIT DU Ier au 2 AOUT 1989.- LE DOLUS (Ile d'Oléron) 17 000000000 HEURE: 02 H 30. TEMOINS: M. LANGLADE Pascal, 27 ans, casseur auto. Melle COLLIN Edwige, 20 ans, employée. LIEUX : LE DOLUS Ile d'Oléron) I, 5 km au SUD. "La Blancharde " sur cadastre BN? TEMPS: pluie, ciel trés nuageux avec plafond bas, terrain boueux. Vent moyen, SUD.SUD.QUEST. LES FAITS: " Cela s'est passé le 2 AOUT à 02 H 30 du matin J'étais à ce moment là en tête à tête avec mon amie, à 100 m de chez moi, dans un chemin. Il pleuvait, mais ce n'était pas un orage, pourtant un violent éclair, vert, éclata au-dessus des arbres et vint frapper le sol à environ 15 m devant la voiture. Immédiatement, une lueur trés puis- dante, fit son apparition, elle était à peu prés à 100/150m de hauteur elle était énorme et elle éclairait le terrain comme en plein jour. Les branches du haut des arbres se mirent à battre avec violence. Je pris aussitôt le rappro- chement avec la lueur car dés qu'elle eut disparu, tout redevint comme avant, avec le vent qui soufflait moyennement. Cette lueur qui avait surgi de derrière une haute haie d'arbres, à droite, avait survolé le terrain silencieusement en décrivant des cercles sur un plan horizontal et elle disparut ensuite derrière une autre haie située à gauche. Tout ceci ne dura pas plus d'une minute. Le diamètre de cette lueur est trés difficile à situer vu qu'il pleuvait, qu'il faisait nuit et vu la distance, trés approximative qui nous séparait. Je penset outefois qu'elle devait faire une Dizaine de METRES DE Diamètre mais c'est trés incertain. Elle était blanche, trés puissante, mais n'éblouissait pas. Bien que ce que j'avais vu était trés bizarre je ne fus pas trés impressionné, par contre, Edwige était inquiète et cela n'allait pas s'arranger par la suite car pas moins de deux minutes plus tard, alors que j'étais couché sur le siège de la voiture et qu'elle était assise, elle me dit, comme ça, qu'elle voyait quelque chose bouger. Moi qui ait l'habitdde de la carrière je sais qu'il y a beaucoup de lapins et d'ani- maux qui se promènent par ici. Je me suis donc relevé et alors, j'ai aperçu tout autre chose. C'était devant à gauche, à 20 mètres à peu prés de la voiture et ça ressemblait à un pain de glace d'une hauteur peut-être de 80/90 cm de haut sur 30/40 cm de côté. Il avait l'air transparent, d'une couleur verte trés claire et il brillait un peu comme un ver luisant. Cela avan- çait vers la baie de gauche tout droit et épousait sans doute la forme des pierres ou bien flottait à ras du sol, il n'allait pas plus vite qu'un homme Marchant normalement. Arrivé à 15 m de nous, pour voir ce que c'était exactement et pour le sur- prendre, j'ai allumé trés rapidement les phares, instantané- ment, elle se volatilisa, on eat dit que la lumière l'avait fait disparaître et ensuite, même de nouveau dans le noir, on ne la revit pas. Maintenant, Edwige commençait à avoir vraiment peur et peut- être I/4 d'heure aprés la disparition du pain de glace, nous décidâmes de rentrer chez nous. Je sortis donc du chemin, en marche arrière, phares mallumés. Aprés l'avoir fait et alors que j'étais prêt à repartir en marche avant, nous nous aperça- nes que toute une partie du terrain d'en face et de la carrière, à une distance de 200 m, était éclairée. De nouveau, la lueur arrivait, elle avançait toujours de la même façon en décri- vant des ronds, j'approchais un peu la voiture et coupais le moteur en éteignant les phares. Arrivés à un certain point, la lueur se mit à décrire un cercle continu. Elle tourna ainsi pendant au moins 30 à 40 secondes et tout à coup sans que l'on sache pourquoi et qu'on se l'explique elle s'éteiggit. Brusquement de la clarté nous retombions dans l'obscurité. C'est alors que je vis qu'à la place de la lueur il y avait autre chose. C'était une ouverture, créee peut-être par une porte coulissante, d'une hauteur de 2 m sur peut-être I m 50 de largeur. L'intérieur était trés éclairé, d'une lumière trés blanche, qui me permettait malgré la pluie qui tombait de voir des détails. Il y avait un escalier qui descendait à terre de quatre ou cinq mar- ches, au milieu, il y avait une forme humaine, qui semblait parler à une autre qui se tenait à l'entrée et à une troi- sième qui se trouvait au fond de ce qui me semblait être une pièce ronde. A hauteur de ceinture de ce dernier, il y avait sur la paroi derrière lui, un bord comme le forme- raient deux assiettes que l'on poserait à l'envers l'une sur l'autre. Je ne pouvais distinguer que l'intérieur, le reste était plongé dans l'obscurité, mais logiquement, de l'extérieur, de jour, ça devait ressembler à cette forme. Pour mieux voir, j'ai alors décidé, malgré la peur d' Edwige d'aller voir de plus prés, j'ai démarré et roulé, phares éteints. Arrivé au virage, j'ai allumé. Arrivé sur les lieux, il n'y avait plus personne, plus rien, tout avait disparu. Le lendemain j'ai été voir avec mon père, on n'a trouvé aucune trace, bien que le terrain, dans cette partie soit boueux et trés meuble. QUELQUES REMARQUES : Témoignage de M. LANGLADE Pascal du 13/08/1979. M. Pascal LANGLADE paraît être un homme bien équilibré et dans l'ensemble assez sérieux. Il s'occupe de la casse auto avec son père. Il se marie au mois d'Octobre prochain avec Edwige Collin (second témoin). Il ne lit pas de roman de Science Fiction et ne s'interesse pas du tout aux OVNI, ni depuis son aventure, d'ailleurs il n'en a parlé quèà 2 personnes, son père et un cafetier qui est venu voir s'il y avait des traces. Ce n'est pas Pascal qui a fait les démarches à la mairie et à la gendarmerie il ne voulait pas de faire ridiculiser, c'est donc son père qu'il l'a fait, car il savait que lorsque l'on voit des choses comme son fils avait vu, il fallait le signaler. Pascal m'a fait son récit à ma Ière visite (I2 H 15/13 H 30) il avait du mal à expliquer à trouver les mots pour raconter son aventure car son histoire est non des moins surprenantes. Il m'a raconté cela pourtant bien calmement, d'un ton tout à fait naturel et trés sincère. Le spectable qu'il avait vu ce soir du Ier Août ne l'a absolument phs choqué, il n' a pas eu peur et d'ailleurs il même voulu s'approcher. J'ai noté quelques contradictions lors de ma 2ème visite (19 H/20 H) il me manquait des détail dans son récit. J'ai essayé d'être le plus perspicace possible mais je n'ai pu vraiment découvrir un indice qui fasse pencher la balance vers le canular. Il est dommage que je n'ai pu rencontrer le second témoin. - ottop - Son père a trés confiance en lui et le croit incapable d'inventer une histoire aussi rocambolesque. Il est vrai qu'il y a beaucoup de détails qui en font un cas à haut indice d'étrangeté. On a même l'impression, lorsqu'on 1'in- terroge qu'il n'a pas tellement envie de parler de ce qu'il a vu. Il n'a pas eu mal aux yeux depuis et dort bien. Pour répondre à la question" n'a-t-il pas eu d'ennuis de moteur ?" Je signale que c'était une 404 PEUGEOT DIESEL. L'opinion du père, comme un peu celle du fils, repose sur des travaux, des essais secrets de l'armée et le mutisme ainsi que le manque d'intérêt de la gendarmerie et de la mairie lui en donne maintenant la conviction. WOW ENQUETE DE PASCAL GROUSSOT. LDLN No 190 (DECEMBRE 1979) P. 20.21.22.