2 JANVIER 1979.- === REGION DE SAINT QUENTIN LA POTERIE.-(30) HEURE: 0I H 00 000000000000000 000000 000000 TEMOINS: Rolande F. et Roland L. Alors qu'ils sortaient de nouveau ensemble, le jeune homme et la jeune femme furent témoins d'un second phénomène qui semble curieusement se rapprocher du précédent. Cette fois, ce fut Roland qui eut son attention attirée par un ensemble de points lumineut dont la couleur et l'agence- ment lui rappelèrent le phénomène de la nuit du 31 Décembre. Rolande put observer les lumières elle aussi, du moins dans les derniers moments de l'apparition puisque celle-ci ne dura que 3 ou 4 secondes, dans un silence total, l'automobile des jeunes gens étant à l'arrêt. L'ensemble des lumières ne clignotaient pas, semblait faire un tout et se dirigeait du Nord au Sud, c'est-à-dire du point du premier lieu d'observa- tion vers UZES et ST SIFFRET. Le lendemain, de cette seconde observation, les deux témoins fortement impressionnés, vinrent me rendre visite. C'est ainsi qu'en compagnie de deux membres du groupe VERONICA, nous nous rendîmes sur les lieux présumés de l'atterrissage primaire. Une déception nous attendait : la pluie et surtout la neige, tombée la veille, avaient entièrement effacé les traces qui auraient subsister. LES TEMOINS: Rolande F et Roland L. ne cherchent en aucun cas à faire parler d'eux; ils ont même exigé 1'anonymat au cas où cette enquête viendrait à paraître dans un journal régional. Tous deux ne sont guère passionnés par les OVNI et ne sésirent que la tranquillité, une vie sans tapage, ni publicité. Il y a aussi une chose par laquelle je distingue aussitôt les témoins véritables des ystificateurs : la difficulté qu'ils eurent pour exprimer clairement leurs observations et les détails de l'aventure, ainsi qu'une certaine méfiance à 1'encontre de l'enquêteur, la crainte d'être pris pour des farceurs.... Il faut signaler également que Rolande F. assez émotive de nature fut profondément choquée par son observation. Des maux de tête la harcelèrent à l'époque, elle fit de nombreux cauchemars et redoutait de se trouver seule en pleine nuit ou simplement dans un endroit sombre. ENQUETE DE Gérard JARRETIE. DIGEST DE Joël JARRETIE. LDLN N° 192 (FEVRIER 1980) P. IO. II.