2 NUIT DU 13 AU I4 SEPTEMBRE 1978.- LES MOULINOU .-(12) 000000 00000 HEURE: de 03 H 57 à 04 H I5. TEMOINS : M. ROQUES, gérant de discothèque. Mme ROQUES. RAPPORT: M. et Mme ROQUES avaient fermé leur établisse- ment et étaient allés se coucher, vers 02 H 00 du matin. M. ROQUES raconte : "J'étais couché et subitement je suis réveillé par le chien qui aboyait. Je me suis alors rendu compte que ma chambre à coucher était fortement éclairée. Me levant, j'ai regardé à la fenêtre et j'ai aperçu derrière un rideau d'arbres, une boule de lumière blanc-jaune, de la taille d'un ballon de football qui éclairait fortement la cour ainsi que les barrières de bois qui sont là et qui paraissaient fluorescentes sous cet éclairage. L'objet était au niveau des arbres, à deux ou trois mètres au-dessus, et il était fixe. Il n'y avait aueune zone d'ombre dans la cour, ni l'ombre des arbres, tellement il éclairait. Cette lumière fixe était trés impressionnante et ne ressemblait rien de connu. Je n'ai pas osé sortir, il était 04 H 00, j'ai voulu appeler un voisin, mais il ne m'a pas rémondu. La chose est restée là un bon quart d'heure, puis le phéno- mène s'est éloigné lentement vers le Nord. L'observation a eu lieu entre 03 H 57 et 04 H I5. Je crois que j'ai eu peur, je ne suis pas sorti craignant une réaction quelconque de l'objet qui semblait trés puissant." Dans CENTRE PRESSE du 18 Septembre, le récit est identi- que, quelques petits détails restituent mieux les faits : c'est Mme ROQUES qui s'est levée, la première et jette un coup d'oeil par la fenêtre. Quand elle a aperçu ce quéelle prenait tout d'abord pour des phares de voiture sur le parking situé un peu plus haut, à une centaine de mètres de là; elle appela son mari et c'est à ce moment que M. ROQUES se lève et que commence le rapport. C'est par téléphone qu'il a essayé d'appeler la ferme voisine pour leur demander s'ils voyaient quelque chose " j'étais tellement troublé que je me suis dit que le téléphone était détraqué." Il est également question de la peur ressentie 2" J'avoue avoir eu peur. A un moment, j'ai envisagé de sortir mais j'y ai renoncé. J'ai càlculé que le mur de la façade de notre chambre mesurant I m 50 d'apaisseur nous serions peut-être à l'abri en cas de radio-activité. J'ai renoncé également à allumer les projecteurs du parc de crainte de déclancher je ne sais trop quoi....." M. ROQUES avoue que jusque là il était plutôt seeptique lorsqu'il lisait dans les journaux des histoires d'OVNI. "J'ignore ce qui s'est passé l'autre nuit chez nous, mais il s'est produit quelque chose. Nous ne rêvions pas et nous étions parfaitement lucides ma femme et moi, Notre chien aussi a senti quelque chose. Il ne lit pas les journaux lui....." ENQUETE DE M. LORTAL (LDLN)