21 JUILLET 1978.- SAINT LATTIER .-(38) 00000 000000 HEURE: 22 H 55 TEMOINS : M. Bruno GIRARD3 21 ans, instituteur. M. Paul GRO, 52 ans, agriculteur. Mme Andrée CHAURON, 48 ans, CHAURON sa femme. Melle Françoise CHAURON, 20 ans étudiante, leur fille. Leurs amis : M. Alex OURLIN, 39 ans, plâtrier. Mme France OURLIN, environ 30 ans, sa femme. LIEU: SAINT LATTIER (Isème) Carte Michelin N° 77; Pli 3. METEO: beau temps. LESFAITS: Le groupe d'amis jouait aux boules dans la cour de la ferme, à la lumière d'une baladeuse. Soudain, leur attention fut attirée par un crépitement venant d'un bos- quet se trouvant en face d'eux, et situé à proximité d'un garage attenant à la maison d'habitation. M. Paul CHAURON fut le premier à voir un énorme bloce de lumière en forme de " grenade militaire à main " d'un blanc un peu aveuglant, d'unc luminosité à peu prés sembla- ble à celle du néon, bien que plus brillante et zébrée; il rayonnait peu alentours. Quand, aprés quelques secondes, cette étrange lumière 01 ça illumi- disparut, M. CHAURON s'aperçut vaguement que nait ailleurs, plus haut "; ce doit être à ce moment là que M. GIRARD et M. OURLIN ont à leur tour aperçu l'étrange apparition, entre les sommets de deux sapins et celui d'un cerisier, à environ 4 mètres de hauteur; puis ce fut au tour de Melle et Mme CHAURON d'observer le phénomène un peu plus bas et plus à droite, tout prés du toit du hangar et du mur de la maison. SIN L'apparition a ainsi décrit un arc de cercle de gauche à droite, non pas de manière continue, mais par apparitions successives, c'est-à-dire que les témoins ont vu l'OVNI à différentse emplacements, mais ils ne l'onte pas vu se déplacer; à l'exception peut-être de M. GIRARD qui n'en est cependant pas sûr du tout. Le bruit comparable à un essaim d'abeilles quoique plus saccadé, a cessé en même temps que le phénomène visuel. Il semble que la lueur soit apparue et ait disparu sur place comme une lumière qui s'allume et s'éteint,; cependant là encore les témoins n'en sont pas trés certains : en effet, lors de la phase finale du phénomène, la lumière de la baladeuse s'est éteinte et l'attention du petit groupe fut détournée au profit de cet incident, le courant est d'ail- leurs fevenu assez rapidement. Les témoins sont cependant persuadés que le phénomène lumineux n'est pas parti dans le ciel, de même qu'il n'est pas venu du ciel. Le chien de la famille qui était attaché à deux ou trois mètres du lieu où se produisit 1'apparition n'a pas aboyé, contraiement à son habitude et il est resté ainsi, comme stupéfait pendant environ 1/4 d'heure mais il n'a eu ensuite aucune répulsion ou autre réaction bizarre envers cet endroit Il a eu la même réaction que les humains c'est-à-dire qu'il s'est tourné vers le phénomène quand il a eu lieu. Les témoins se trouvaient entre 4 et dix mètres de cette manifestation; cette dernière n'a produit sur eux aucun effet secondaire pas même de la peur, pourtant Melle CHAURON se dit assez peureuse. Le groupe est ensuite allé voir sur les lieux avec la bala- deuse, mais n'a trouvé aucune trace; nous-mêmes nous , T, D n'avons rien trouvé. L'un des sapins semble dépérir les branches de son sommet sont sèches, mais cela n'est pas récent et a été causé par du déshebbant mis sous les arbres. Une ligne à moyenne tension passe à une cinquantaine de mètres de la ferme. Au cours de l'enquête, les témoins ont, séparemment, reproduit ce qu'ils ont vu les reproductions concordent, c'est d'ailleurs un enquêteur, M. CHALOIN qui a comparé ces esquisses à une " grenade à main militaire ". Les dimensions de cette masse lumineuse qui n'a pas du tout sembléeme matérielle aux témoins peuvent être estimées approximativement et modestement à I m de haut sur 50 cm de large. Plusieurs interventions furent faites auprés de l'E.D.F. pour connaître l'origine de la panne, mais aucun renseigne- obtenu ment n'a pu être les disjoncteurs de la ferme n'ont pas tenté. ENQUETE DE M. CHALOIN ET Michel et Rolande DORIER. UFO. INFO N° 22 (4ème trimestre 1979) A.A.M.T.